Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
De la même manière qu'il nous avait émus avec sa vision du quotidien dans un camp de la mort (...) Roberto Benigni, anti-berlusconien affirmé, réussit à signer une comédie sur fond de guerre en Irak. Carrément jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Benigni, moitié-Zelig, moitié-Charlot. Rien ne lui résiste, pas même le spectateur...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Sur un rythme frénétique, Roberto Benigni, véritable diablotin a ressorts, nous entraîne dans ses délires avec son immense générosité et sa poésie lunaire.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Extrêmement touchante, cette course contre le temps rappelle les belles heures de la comédie à l'italienne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
Oscillant entre le rire et les larmes et mêlant poésie et humour, son film offre des répliques qui touchent au coeur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
aVoir-aLire.com
par Nicolas Bauche
Au-delà des clins d'oeil littéraires, Benigni prouve son talent d'orfèvre des mots. Malgré une mise en scène trop de convention, son film brille par le lyrisme inspiré de ses dialogues. Une élégie à l'amour. Et pour le spectateur, un ravissement de tous les instants.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Brazil
par Eric Coubard
(...) Le Tigre et la neige possède ses longueurs il n'en demeure pas déplaisant et touchant.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Question de justesse toujours perturbée par Benigni dont le cinéma maboul marie les contraires sans ajustement : opportunisme vomitif et folle sincérité, toute puissance et roue libre, humanisme sirupeux et égoïsme inouï.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Touchant, mais [Benigni] s'intéresse moins à l'Irak dévasté qu'à ses émois d'Occidental romantique. Cela dit, il y a quelques numéros plaisants
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Jean-Luc Bertet
Ces bons sentiments pour construire une histoire simple et touchante ne suffisent pas à masquer l'essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Didier Peron
L'hésitation constante rire/larmes finit par donner une fiction essentiellement grimaçante et pleine d'un humanisme superficiel.
MCinéma.com
par Franz Miceli
Mettant un point d'honneur à poétiser le monde, il aborde le thème de la guerre par la bande, met en prose des vers fameux de Neruda, Montale ou Eluard (...) Côté histoire d'amour en revanche, Benigni en rajoute une tonne (...) un bon film mais il aurait gagné à être plus concis.
Ouest France
par La Rédaction
Scénariste, réalisateur et interprète, il est présent à l'écran de la première à la dernière image. Benigni tel qu'en lui-même, léger dans ce qui fait son charme et empêtré dans ses habituelles lourdeurs.
Positif
par Paul Louis Thirard
Peut-être le destin de Benigni est-il plus dans la création d'un personnage que dans la réalisation d'une oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Score
par Emmanuelle Spadacenta
Benigni parle avec le coeur et n'est motivé que par la générosité. Ce qui est louable dans un film sans autres ambitions que le récit romanesque. En revanche, quand il s'agit de cibler la politique mondiale et sa profonde absurdité, le film s'empâte dans une couche superficielle de naïveté.
La critique complète est disponible sur le site Score
Télé 7 Jours
par Laurence Tournier
Si il y a là un message politique ou philosophique, ce qui est probable, il est noyé sous les débordements du Zébulon italien.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Zurban
par Véronique Le Bris
Au contraire, [Benigni] tombe dans la caricature de lui-même, omniprésent à l'écran, devenant par moments agaçant, voire insupportable. Même si sa tentative de se projeter ainsi dans l'histoire contemporaine reste méritoire.
Cahiers du Cinéma
par Eugenio Renzi
(...) un film de Benigni est tous simplement un reportage sportif, ou bien la chronique d'un jeu vidéo dont le but s'appellerait toujours Nicoletta.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Obs
par Fabrice Pliskin
Pour ainsi dire, on sentait le comique plus à l'aise à Auschwitz.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
On ressort de la salle de projection avec un sentiment de s'être fait rouler dans la farine par les tours de passe-passe de ce gentil Pierrot soi-disant concerné par l'état du monde et par cette éternelle comédie du remariage sans piment et sans bulles. La poésie a bon dos.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
(...) Il est temps pour Benigni d'oublier la poésie et de se consacrer au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
(...) ici, la guerre n'est qu'un pretexte pour montrer le courage du protagoniste, incarné par un Benigni narcissique et épuisant à force de gesticulations.
Elle
De la même manière qu'il nous avait émus avec sa vision du quotidien dans un camp de la mort (...) Roberto Benigni, anti-berlusconien affirmé, réussit à signer une comédie sur fond de guerre en Irak. Carrément jubilatoire.
Télérama
Benigni, moitié-Zelig, moitié-Charlot. Rien ne lui résiste, pas même le spectateur...
Le Figaroscope
Sur un rythme frénétique, Roberto Benigni, véritable diablotin a ressorts, nous entraîne dans ses délires avec son immense générosité et sa poésie lunaire.
Le Monde
Extrêmement touchante, cette course contre le temps rappelle les belles heures de la comédie à l'italienne.
Le Parisien
Oscillant entre le rire et les larmes et mêlant poésie et humour, son film offre des répliques qui touchent au coeur.
aVoir-aLire.com
Au-delà des clins d'oeil littéraires, Benigni prouve son talent d'orfèvre des mots. Malgré une mise en scène trop de convention, son film brille par le lyrisme inspiré de ses dialogues. Une élégie à l'amour. Et pour le spectateur, un ravissement de tous les instants.
Brazil
(...) Le Tigre et la neige possède ses longueurs il n'en demeure pas déplaisant et touchant.
Chronic'art.com
Question de justesse toujours perturbée par Benigni dont le cinéma maboul marie les contraires sans ajustement : opportunisme vomitif et folle sincérité, toute puissance et roue libre, humanisme sirupeux et égoïsme inouï.
L'Humanité
Touchant, mais [Benigni] s'intéresse moins à l'Irak dévasté qu'à ses émois d'Occidental romantique. Cela dit, il y a quelques numéros plaisants
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Journal du Dimanche
Ces bons sentiments pour construire une histoire simple et touchante ne suffisent pas à masquer l'essentiel.
Libération
L'hésitation constante rire/larmes finit par donner une fiction essentiellement grimaçante et pleine d'un humanisme superficiel.
MCinéma.com
Mettant un point d'honneur à poétiser le monde, il aborde le thème de la guerre par la bande, met en prose des vers fameux de Neruda, Montale ou Eluard (...) Côté histoire d'amour en revanche, Benigni en rajoute une tonne (...) un bon film mais il aurait gagné à être plus concis.
Ouest France
Scénariste, réalisateur et interprète, il est présent à l'écran de la première à la dernière image. Benigni tel qu'en lui-même, léger dans ce qui fait son charme et empêtré dans ses habituelles lourdeurs.
Positif
Peut-être le destin de Benigni est-il plus dans la création d'un personnage que dans la réalisation d'une oeuvre.
Score
Benigni parle avec le coeur et n'est motivé que par la générosité. Ce qui est louable dans un film sans autres ambitions que le récit romanesque. En revanche, quand il s'agit de cibler la politique mondiale et sa profonde absurdité, le film s'empâte dans une couche superficielle de naïveté.
Télé 7 Jours
Si il y a là un message politique ou philosophique, ce qui est probable, il est noyé sous les débordements du Zébulon italien.
Zurban
Au contraire, [Benigni] tombe dans la caricature de lui-même, omniprésent à l'écran, devenant par moments agaçant, voire insupportable. Même si sa tentative de se projeter ainsi dans l'histoire contemporaine reste méritoire.
Cahiers du Cinéma
(...) un film de Benigni est tous simplement un reportage sportif, ou bien la chronique d'un jeu vidéo dont le but s'appellerait toujours Nicoletta.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Pour ainsi dire, on sentait le comique plus à l'aise à Auschwitz.
Les Inrockuptibles
On ressort de la salle de projection avec un sentiment de s'être fait rouler dans la farine par les tours de passe-passe de ce gentil Pierrot soi-disant concerné par l'état du monde et par cette éternelle comédie du remariage sans piment et sans bulles. La poésie a bon dos.
Première
(...) Il est temps pour Benigni d'oublier la poésie et de se consacrer au cinéma.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) ici, la guerre n'est qu'un pretexte pour montrer le courage du protagoniste, incarné par un Benigni narcissique et épuisant à force de gesticulations.