Derniers Avis : Pourquoi j'ai pas mangé mon père - Page 5

J'ai adoré ! de l'humour et des personnages attachants. Plein d'amour. et une moral...même handicapé, on peut être quelqu'un de grand ! je recommande.

On n'est pas dans le chef d'oeuvre mais je trouve les critiques dures avec ce dessin animé, scénario sympa bien qu'assez éloigné du livre, pleins de références suggérées peu grossièrement, cette comédie est bien meilleure que beaucoup d'autres bien bourrin du moment avec un succes immérité.

On peut toujours trouver des imperfections à ce film, comme la relative laideur de certains singes et son humour à base d’anachronismes un peu lourds spoiler: (la racaille des quartiers nord, les portugais préhistoriques…)
; impossible cependant de nier la part d’émotion qu’il dégage à travers une représentation de la théorie de l'évolution très personnelle, mais drôle et instructive pour les plus jeunes spoiler: (la découverte de la station debout, du feu, des armes, de la nourriture cuite, des arts... de l'amour et de l'espoir !).

mes enfants adorent, très belle production, bande son de qualité, l'histoire tient la route, jamel en fait bcp, c sure mais difficile de calmer le defunes qui sommeil en lui. Mais je retiens surtout un film intelligent, moins manichéen que les production américaine, une belle réussite.

Avant toute chose, je dois préciser que j'ai été voir ce film avec ma carte illimité. Je n'aurais pas voulu payer 12 euros pour ça. Comme beaucoup, j'ai trouvé ce film complétement nul, insipide et donc trés agaçant. Sur la forme, hormis la prouesse de la motion capture sur les acteurs (qui ne doit rien au talent de Jamel Debouze) , l'animation est tellement laide ! Les personnages sont ternes ... Sur le fond, c'est un parfait exemple d'adaptation totalement ratée. Le roman de Roy Lewis est super et d'un tout autre niveau et profondeur. Jamel ne fait rire que lui avec ses anachronismes et vannes façon humour de banlieue. Ca ne colle pas avec l'époque et le décor où sont sensés se dérouler l'histoire. Ce qui m'exaspére enormément, c'est que ce film ait obtenu un budget aussi enorme (40 millions d'euros ! ) si encore le film etait bon ! C'est vraiment exaspérant de voir que le fond d'aide au cinéma français (donc notre argent publique) ait accordé une telle somme, simplement parce que c'est Jamel Debouze. Cet humoriste, que j'appréciais sincérement dans ce qu'il sait faire, c'est à dire de l'humour stand up, bénéficie d'un tel traitement de faveur politico-médiatique ! J'ai l'impression d'avoir même participé au salaire de son épouse sur ce film avec mes impôts.. Quand je vois tant de jeunes réalisateurs talentueux qui galérent pour sortir un simple (mais interessant !) court métrage à 10 000 euros de budget, je crie à l'injustice !

Très bon film d'animation qui relate un travail de longue date qui dura 7ans. Film très personnel de Jamel avec une équipe très compétente. Il faut regarder le film avec du recul. La première lecture peut paraître un peu trop personnel et " vulgaire " parfois mais cela n'est pas. Au contraire, l'animation est très belle et très bien réussi, le décor est sublime et l'histoire est touchante et se tient tout autant que les personnages. La profondeur des personnages est saisissantes.

Etonnant film qui fait 2,3 millions d'entrées en 7 semaines d'exploitation mais qui obtient l'une des pires notes de l'année.
Pourtant la 3D est réussie, vivante, colorée, toute en perspectives.
L'histoire est à l'image de la plupart des comédies françaises, c'est-à-dire un scénario tiré par les cheveux qui se traîne et qui ne sait pas finir.

Un film d'animation très sympathique partant de très bons sentiments et mis en œuvre d'une belle façon de la part de Jamel Debbouze. Auteur d'une intrigue vitaminé, Jamel Debbouze signe une belle performance également en tant qu'acteur, où la motion capture prend le dessus dévoilant une bonne animation dans les gestes mais aussi dans la beauté visuel, riches en couleurs éblouissantes. On s'attache aux personnages, les dialogues et les doublages sont très réussis. L'histoire est relativement correcte et même prenante même si elle manque cruellement d'originalité, d'efficacité et de prise de risque. Elle provoque toutefois des situations sympathiques ainsi que de jolies séquences bien que prévisible, le tout dans une très bonne ambiance, joyeuse et même festive par moments grâce à d'excellentes musiques.

Je ne m'attendais à rien en regardant ce film, partais sans a priori... mais je n'ai pas été satisfaite. L'histoire est sympathique mais sans plus et sans grande originalité à mon goût. Lorsque l'on regarde ce film on ne finit en se disant que c un navet mais tout de même, sans passer un mauvais moment, on fini sur sa fin. Je pense qu'il peut être apprécié par les plus jeunes, mais globalement passez votre chemin.

Simplet à souhait, Pourquoi J'ai Pas Mangé mon père tend vers la comédie familiale par excellence. Quelques fois drôles, quelques fois un peu lourdes, les scènes s'enchaînent pour y passer une heure quarante plutôt sympathiques. Les personnages sont particulièrement bien différents, le scénario bien placé, le film, qui au départ s'avançait sur le terrain principal de la bêtise a réussi à jouer avec le personnage loufoque joué par Jamel Debbouzze.

Je ne m'attendais pas à un film extraordinaire d'après les critique et les rumeurs qui circulaient autour de moi et puis je n'ai pas accroché au titre du tout.
MAIS, malgré tout ce qu'on a pu me dire, toutes ces personnes dures avec Jamel, j'ai adoré ce film. J'ai vraiment apprécié ce film pour de nombreuses choses, parmi tant d'autres, j'ai trouvé ce film drôle, inventif, bien réalisé, beau, touchant... J'ai presque eu le "frisson".
Je ne fais pas de bonnes critique mais je sais que j'ai vraiment aimé ce film, et qu'il mérite d'être regardé jusqu'à la fin, que ce soit autant pour les petits que les grands, ce film est adapté pour tout le monde. 5 étoiles pour ce film magnifique et pour le mauvais soutien sans vraiment de bonne raison de la part des autres spectateurs.

Pour sa toute première réalisation, autant dire que Jamel Debbouze s’est montré des plus ambitieux. En effet, au lieu de livrer un long-métrage des plus classiques, l’humoriste a préféré se lancer dans la mise en chantier d’un film d’animation. En motion capture, qui plus est ! Vous savez, cette technique qui a permis à Peter Jackson de donner naissance à Gollum ? Qui a aidé James Cameron à concrétiser son Avatar ? Qui s’est montré décisif pour la direction artistique du Tintin de Steven Spielberg ? Vous l’aurez compris, Jamel s’était lancé un pari d’envergure qui aurait très bien pu offrir de nouveaux horizons au cinéma français, aussi bien en termes de comédie que d’animation. Malheureusement, il s’est totalement loupé sur ce coup, et ce malgré le succès commercial de Pourquoi j’ai pas mangé mon père (plus de 2,3 millions d’entrées).

Déjà au niveau de l’aspect visuel : c’est tout simplement laid ! Il est vrai que Jamel Debbouze n’a pas bénéficié d’autant de moyen que sur Le Domaine des Dieux (23 millions d’euros contre un minimum de 30 millions), ni d’un talent aussi confirmé que Louis Clichy (ce dernier venant de chez Pixar). Mine de rien, il n’est pas excusable que Jamel se contente ainsi d’une œuvre qui, de nos jours, s’apparente bien plus à une cinématique de jeu vidéo issu de la première PlayStation que d’un film d’animation digne de ce nom. Et pour cause, l’ensemble ne donne nullement l’impression d’avoir été terminé, proposant pour le coup un visuel des plus discutables. Aux décors grossiers. Aux couleurs bien trop agressives pour la rétine. Aux personnages inexpressifs et raides comme des piquets ayant une gestuelle pesante et approximative. D’autant plus que le tout manque cruellement de finesse et de fluidité pour accrocher l’œil. Peut-être que si Jamel ne s’était pas autant pressé et avait pris plus de temps à fignoler son projet, le public aurait sans doute eu droit à quelque chose de bien plus présentable que cela.

Mais même si le rendu visuel avait été soigné, Pourquoi j’ai pas mangé mon père se serait montré tout aussi décevant qu’il ne l’est déjà. La faute revenant principalement une écriture en roue libre, qui transforme l’œuvre de Roy Lewis (Pourquoi j’ai mangé mon père, roman riche en thématiques) en un one man show raté. Un film dans lequel Jamel Debbouze ne fait que se donner en spectacle au point de se représenter littéralement à l’image (jusqu’à son atrophie) et en faisant jouer sa propre femme Mélissa Theuriau, productrice de métier et non actrice. N’en faisant que pour lui, Debbouze en oublie de donner de la matière à son histoire qui part véritablement dans tous les sens, se présentant telle une coquille vide et énervante à cause de comédiens braillant constamment à plein poumons (n’ayant pas eu droit à une sensationnelle direction d’acteur). Et surtout, il fait l’impasse sur ce qu’il réussit pourtant le mieux, à savoir l’humour. Contre toute attente, Pourquoi j’ai pas mangé mon père se révèle être avare en gags et ne met que trop rarement dans le mille, les situations comiques et autres réparties tombant bien trop souvent à plat. Tout comme ce soi disant hommage à Louis de Funès (deux personnages, notamment celui de Vladimir, ayant son faciès et ses mimiques) qui le singe comme ce n’est pas permis. Autant dire qu’avec un divertissement qui brasse du vent et qui ne fait pas spécialement rire, les adultes et surtout les enfants n’auront pas grand-chose à se mettre sous la dent.

Reste-il au moins des atouts à Pourquoi j’ai pas mangé mon père pour sauver les meubles ? Pas vraiment … Peut-être un rythme un chouïa endiablé qui permet à certaines séquences (comme celle de la charge des rhinocéros) de sortir du lot de par leur dynamisme. Ou encore une bande son, également en roue libre, mais qui offre un peu d’énergie à cette animation bien balourde et mollassonne. Certes, les plus jeunes pourront s’en contenter et se laisser aller sans s’ennuyer une seule seconde, mais cela n’est toujours pas suffisant pour faire passer cette terrible déception. Preuve que malgré son ambition et sa volonté, Jamel Debbouze s’est montré bien trop paresseux et n’a tout simplement pas l’étoffe d’un metteur en scène. Et ceci n’est pas une question d’animation, car même en dehors de ce genre de cinéma, il faut savoir diriger ses comédiens tout en parvenant à mettre en image ses idées via les différentes techniques mises à disposition (dont le montage, les effets spéciaux…). Critères que Jamel n’arrive pas à remplir ici, donnant pour le coup un produit brouillon au possible.

Pas sûr que les fans les plus assidus de l’humoriste puissent avoir leur compte avec ce long-métrage. Pourquoi j’ai pas mon père a beau partir d’une idée novatrice pour le cinéma français, il n’est finalement rien d’autre qu’un cuisant échec sur bien des points. Si Jamel décide de persister sur la voie de la réalisation, il lui est fortement conseiller de faire mieux que cela. Sinon, il n’est vraiment pas certain que son prochain projet parvienne à réunir autant de spectateurs que Pourquoi j’ai pas mangé mon père.

Je ne comprend tout simplement pas pourquoi il y a tant de commentaires négatifs !!!! Ce film est vraiment génial ! Un peu difficile de rentrer dans le bain au début mais une fois qu'on y est on rit de bon coeur et on est complètement prit dans l'histoire !
Je crois que beaucoup n'ont pas aimé la satire de la société qui est faite ici et viennent se déchainer plus pour des raisons politiques, qu'artistiques. Cette satire est subtile mais efficace, ceux qui disent que c'est uniquement destiné aux enfants sont totalement passés à côté du film.

C'est dommage car à cause de tous les commentaires négatifs, je me suis privée de le regarder pendant un bon moment alors qu'il est très bien !

Un film pas si mauvais que ça, si l'on arrive à passer à côté des problèmes d'élocution des interprètes et sur la performance technique, remarquable mais pas franchement exceptionnelle... On a ri, les enfants aussi donc le contrat est rempli pour cette petite comédie animée malheureusement située à des km de l'oeuvre de Roy Lewis.

Beaucoup d'énergie, de tchatche, d'idées marrantes malheureusement desservie par la laideur de l'animation.