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shindu77
95 abonnés
1 611 critiques
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2,5
Publiée le 12 mai 2016
Un petit dessin animé réalisé et joué par Jamel Debbouze. Il y a des passages drôles et intéressants. On reconnaît bien le style de l'humoriste. Toutefois, trop de passages très lents et longs et cela empêche de rester totalement dans le film. Pas mal mais peut mieux faire.
C'est un film sympa sans plus franchement. L'humour est assez lourd (même la référence à Louis de Funès est lourde je trouve). L'histoire est vraiment basique mais elle passe bien disons. Les personnages sont assez cliché (obligé pour ce genre d'histoire). L'animation est géniale en revanche, obligé de l'admettre. Les acteurs font le kob au niveau des voix, mais y'a pas beaucoup de profondeur. Bref, le film a été vendu comme incroyable, mais ce n'est pas le cas... Il n'est pas pour autant mauvais.
Je n'ai pas accroché sur l'histoire un peu niaise parfois et un peu lourde d'autres fois. Malgré tout il y a des passages intéressant mais pas suffisant pour en faire un film inoubliable. Il reste une performance artistique avec la motion picture réussie et des personnages travaillés. Un film qui aurait méritée également d'être plus marrant.
Un film à voir d'abord pour la prouesse de l'animation. Tourné entièrement en motion capture, Pourquoi j'ai pas mangé mon père est un film unique en son genre, à mi chemin entre le film et le dessin animé, il ne ressemble à rien de ce que l'on connaît actuellement. Ce film témoigne à la fois des progrès techniques vis à vis de la création, mais parle aussi de progrès, puisque l'histoire est celle de singes qui vont descendre de leur arbre et évoluer pour devenir des bipèdes qui maîtrisent le feu. A la réalisation et dans le rôle principal on trouve Jamel Debbouze qui ne nous surprend pas dans sa manière d'appréhender son personnage, mais qui a le mérite d'avoir fait un film vraiment spécial.
Pourquoi j'ai pas tué mon père a été écrit par Roy Lewis en 1960 en voulant l'adapté au cinéma, Jamel Debbouze a choisi une interprétation vraiment très libre. Car ici l'histoire est celle d'Edouard l'héritier du trône et roi des Simiens qui a été exclu à la naissance à cause de son aspect. Élevé par Ian, un autre Simiens lui aussi vivant en marge de la société. Très ingénieux et pas satisfait de sa place dans la société Edouard va découvrir qu'il est le fils du roi, mais il ne peut pas revendiquer la couronne car son frère cadet ainsi qu'une sorcière qui lui sert de conseillère vont tout faire pour l'en empêcher. Banni de son arbre, Edouard découvre la vie sur le sol et se met à marcher sur ses deux pieds. Il rencontre son âme sœur et réalise d'énormes progrès.
Pourquoi j'ai pas mangé n'est pas forcément une histoire passionnante, on retrouve plus ou moins l'histoire de Jamel. Mais certains clin d’œils sont vraiment géniaux et notamment le personnage de Vladimir qui fait revivre Louis De Funès dans toute sa gloire. Les dialogues restent comme l'histoire assez simples, il ne faut pas chercher de sous entendus. Certaines blagues sont efficaces quand d'autres tombent dans la facilité. Enfin, la bande originale est à saluer car elle est vraiment excellente.
Pourquoi j'ai pas mangé mon père ouvre de nouvelles opportunités pour le cinéma et plus particulièrement pour les tournages en motion capture. Si ce film ne m'a pas ému comme un bon disney, il ne faut pas non plus lui enlever tout son mérite, car il se laisse regarder.
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1,5
Publiée le 16 avril 2016
"Pourquoi j'ai pas mangè mon père" est le premier long-mètrage de Jamel Debbouze! C'est aussi le tout premier film rèalisè en motion capture en France! L'histoire ne prend pas de pincette, celle de Edouard, le premier à être le roi des simiens et qui se fait exclure parce que trop chètif, trop ètrange, trop diffèrent par rapport au deuxième fils qu'à eu le roi des simiens actuel! La première partie se laisse franchement voir (la naissance du bèbè rejetè par son père prèsageait pourtant que du bon). Arrive la seconde partie (l'arrivèe de Lucie / Mèlissa Theuriau et le comique purement sur les dialogues font capoter le film) où l'on retrouve tous les tics verbaux (et insupportables) de Debbouze! Ce qui est fort regrettable car le relief est utilisè ici de façon intèressante! Ce fils aînè du roi des simiens reprèsente en quelque sorte une règion (les Yvelines), un type d'homme (le petit dèlinquant de banlieue) et un pays (le Maroc). Mais Edouard / Jamel Debbouze n'a pas le talent de le dècrire comme quelque chose d'individuel et d'intime qui, à ce titre, ne touche pas vraiment le spectateur comme le malheur d'un ami! Et puis se servir de la capture de mouvement pour faire renaître Louis de Funès sous les traits d'un vieux singe grimaçant est une très mauvaise blague! On se demande par quel miracle Debbouze arrive t-il à conserver sa dignitè dans ce film d'animation en employant ce procèdè ? Nul ne le sait sauf sa famille et ses amis! Avec un budget de 23 000 000 €, on ne peut avoir que des regrets car tout n'est pas à mettre à la poubelle...
Film décevant au vu du budget et du potentiel. Hélas tout est trop lisse ou trop appuyé et on s'ennuie très vite de ces singeries enfantines. Les clins d'oeil à De Funès, Galabru où Debouze lui même tournent en rond et lassent inévitablement. Seul le très jeune public, peut, à la limite trouver ce film amusant.
Et bien j'ai passé un très bon moment en famille devant ce dessin animé, pas d'ennui, on comprend vite le lien entre la vie de Jamel et ce film et c'est très bien amené mine que rien. Nous l'avons même revu plusieurs fois et ri de bon coeur. Des bons sentiments, de l'action ,de l'aaaaamour, de l entraide, de la rigolade que demandez de plus ?
Un conte des origines non dénué de défauts (quelques facilités et un peu de recyclage), mais plutôt fun et bourré de clins d’œil et de références, ou comment un seul être a fait franchir des millions d'années d'évolution à toute une espèce en l'espace d'une vie : bipédie, découverte du feu, de l'amour... Tout cela avec de savoureux anachronismes.
Sur le papier, la nouvelle création Jamel Debouze fait rêver. Un dessin correct, dans la lignée des surproductions américaines, une motion capture enfin utilisée en France (cocorico !) fluide et sans fausse note,… Oui mais voilà, à force de se frotter à tout, Debouze en à oublier le plus important : l’histoire. Son « Pourquoi j’ai pas mangé mon père », par delà son nom à coucher dehors, est dépourvu d’un quelconque scénario, survolant les difficultés, sacrifiant ce qui est intéressant à l’autel de la banalité et s’arrêtant là où les choses deviennent vaguement intéressantes. On rajoute des dialogues niveau 3-6 ans (vous savez, cette période ou l’on inventait des mots par combinaisons d’idées), quelques préjugés faciles sur les minorités, et on arrive à un film plat, inintéressant et royalement vide…
Pour un 1er film Jamel Debbouze s'en sort parfaitement bien. Il raconte à sa sauce et donc avec beaucoup d'humour les origines de l'espèce humaine. Une bonne surprise pour les grands et les petits.
Je m'attendais à pire, n'étant pas un grand fan de Jamel. L'animation est vraiment belle et on rit pas mal. Il y a 2 défauts majeurs cependant. Dabord c'est trop long. Mais surtout ce film apparaît comme un géant mélange de tout et n importe quoi : le Roi lion, De Funes , le livre de la jungle, Martin Luther King, etc... Si bien qu'il en devient impersonnel. Dommage.
Les premières images me faisaient redouter une catastrophe c est loin d être le cas. Si le film donne l impression de manquer de maîtrise c est plus par excès de générosité qu autre chose. La technique elle est par moment franchement douteuse, si certains plans sont plutôt réussis, au niveau de l attitude et du regard des personnages, par moment cela donne l impression d être bâclé (comme le personnage de la sorcière absolument hideux, alors qu il devrait être un personnage essentiel du récit). C est plus amusant que vraiment drôle mais l'originalité du sujet réussi au final à emporter la mise malgré quelques gros défauts.
Un film d'animation sans réelle identité ni charme qui m'a fait fortement penser ( je ne sais pas pourquoi !) à "Arthur et les Minimoys". Comme ce dernier, ce film me semble être un sous produit de consommation courante.