Pourquoi j'ai pas mangé mon père : Critique presse
Pourquoi j'ai pas mangé mon père
Note moyenne
3,1
28 titres de presse
Femme Actuelle
Metro
Paris Match
Public
Closer
Franceinfo Culture
L'Express
Le Journal du Dimanche
TF1 News
Télé 2 semaines
Les Fiches du Cinéma
Marianne
Ouest France
Positif
Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
Télérama
aVoir-aLire.com
Critikat.com
Ecran Large
La Croix
Le Monde
Les Inrockuptibles
Libération
Metro
Voici
Chronic'art.com
L'Obs
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Femme Actuelle
par Marie Boscher
Jamel Debbouze réalise ici une histoire tendre sur les hommes et leur création, à voir avec toute la famille, des plus petits aux plus grands.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Metro
par Maryline Letertre
POUR : Du rythme, de l’aventure, un humour à la portée de tous et de l’amour, au sens large du terme (...). Artistiquement, graphiquement, ce dessin animé, le premier entièrement réalisé en performance capture en Europe, est une grande réussite.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spira
L’immortel Numérobis de la "Mission Cléopâtre" crée la surprise (et la jalousie de certains), avec cette superproduction aussi animée que risquée. Le résultat est à l’image de son concepteur, à savoir, généreux, drôle, inventif, turbulent et, surtout, touchant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Public
par Florence Roman
Entre "L'Âge de glace" et "The Croods", le film plaira autant aux petits qu'aux grands enfants.
Closer
par La Rédaction
Un joli film d'animation signé Jamel Debbouze.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
L'humour de Jamel Debbouze domine de bout en bout et touchera toute la famille. Une belle réussite, doublée d'une performance.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
La forme sert à merveille le fond : réalisée en motion capture (capture numérique des mouvements des comédiens), l'animation est magnifique et autorise un joli retour de Louis de Funès à l'écran. Oui, vous avez bien lu. A vous de voir pour le croire.
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
C'est malin, enlevé, drôle et émouvant. La seconde partie, plus démonstrative, perd un peu de ce tonus initial côté écriture. Mais c'est tellement chaleureux qu'on adore se perdre dans cet univers cocasse et plein de charme (...). Avec, en prime, un brin de poésie.
TF1 News
par Yves Grosjean
Un film d'animation en demi-teintes, trépidant et audacieux dans la production actuelle, où Jamel se révèle comme jamais. Très attachant en somme.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Voilà un projet atypique et rafraichissant, bien loin de l’univers de Disney, même si certaines influences se font sentir, notamment celle du "Roi Lion". Passé un petit moment d’adaptation, nous voilà totalement pris dans cette transposition libre du roman presque éponyme de Roy Lewis, dotée de drôles de personnages, à la bouille étonnante.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
L'origine du feu pour abriter l'origine de l'amour, c'est l'un des thèmes (trop nombreux) de cette superproduction signée Jamel Debbouze. Si la technique est probante, le scénario, lui, manque d'ampleur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Danièle Heymann
Souvent spectaculaire, terriblement bruyante, esthétiquement discutable, et par instants extrêmement touchante, ainsi se présente la fable préhistorique et animée de Jamel Debbouze, "Pourquoi j'ai pas mangé mon père".
Ouest France
par Pierre Fornerod
Le premier film de et avec Jamel Debbouze. Fasciné par la technique de la motion capture et la 3D, il en oublie parfois de faire rire. Mais sa comédie se débride quand Edouard revient parmi les siens.
Positif
par Philippe Rouyer
La 3D rajoute à l'agitation perpétuelle qui semble devenue la norme depuis quelques années dans les blockbusters de l'animation. C'est dommage. Mais il convient de saluer la performance technique et quelques bons gags qui jouent sur les anachronismes pour filer la métaphore de la banlieue et esquisser un autoportrait fantasmé du charismatique Jamel.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Parfois hilarant ou spectaculaire, ce film reste, en revanche, confiné dans une puérilité inattendue.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Une ode à la tolérance et à la différence qui, bien que sans surprises et dénuée de l'esprit irrésistible qu'on espérait, séduira le jeune public et les fans de l'humoriste.
Télérama
par Guillemette Odicino
Le scénario est un brin fourre-tout : c'est que Jamel veut tout dire — et on le comprend — (...) "Pourquoi j'ai pas mangé mon père" ressemble plus à un Disney sur de la musique soul, écrit par le Gérard Oury de "Rabbi Jacob"... et c'est une bonne surprise.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Cette expérience française de Motion-Capture n’est ni le désastre redouté, ni le spectacle populaire fade qu’il pouvait laisser transparaître au premier abord, il suinte l’effort, la volonté de transcender les préjugés et ne trahit jamais la pertinence politique de Jamel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Ursula Michel
Malgré la formidable faute de syntaxe de son titre, le film évite le zéro pointé en assumant son caractère vulgarisateur, entre humour et didactisme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Hystérique, mégalomane et techniquement déficient, le film est à réserver aux fans hardcore du comique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Marie Soyeux
Ce film, au débit mitraillette rendant parfois inintelligibles les échanges des personnages, déborde de clins d’œil à la filmographie de Jamel Debbouze lui-même, à des dessins animés comme "L’Âge de glace", "le Roi lion" et "Tarzan" dont certaines scènes sont presque textuellement issue, et même à Louis de Funès.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Isabelle Régnier
Le film foisonne de mini-gags charmants, qu'écrase malheureusement un fracas de bruitages, de chansons pop poussées à plein volume, de références cinématographiques en cascade (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Sur le plan du rythme du récit, de l'humour des dialogues et de la qualité kinétique de l'animation, le film n'a pas grand chose à envier aux productions hollywoodiennes même si l'aspect 'film français qui court après ses modèles américains' est toujours un poil gênant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clément Ghys
Dans une France qui fait des gargarismes de discours réacs, voir l’une de ses célébrités les plus populaires prendre le contre-pied total - et ce, sans aucune naïveté ou niaiserie - est évidemment très louable, voire franchement aimable. Mais l’habillage visuel, pas beau, n’est pas à la hauteur de ce discours.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Mehdi Omaïs
CONTRE : Au-delà de la problématique laideur des personnages et des décors, le bât blesse notamment dans l’écriture, inégale, inaboutie et lestée de métaphores aussi disgracieuses qu’un éléphant piégé dans un magasin de porcelaine (sur l’exclusion, entre autre).
La critique complète est disponible sur le site Metro
Voici
par La Rédaction
Pourquoi avoir choisi ou si mal maîtrisé la technique de la motion capture qui rend le film si vilain visuellement ? Dommage, le héros est franchement sympathique.
Chronic'art.com
par Yal Sadat
Expert du verbe détraqué, du bégaiement et du sur-place, Jamel cloisonne forcément un récit qui ne demande qu'à se déployer dans le mouvement et la vitesse. Chaque arène se réduit donc à une scène de stand-up riquiqui, où son doppelganger poilu ne fait qu'ânonner son répertoire 90's.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Tout ça pour ça ! Sept ans de production, huit scénaristes, plus de 30 millions d’euros de budget et, à l’arrivée, ce truc hystérique et insipide.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Femme Actuelle
Jamel Debbouze réalise ici une histoire tendre sur les hommes et leur création, à voir avec toute la famille, des plus petits aux plus grands.
Metro
POUR : Du rythme, de l’aventure, un humour à la portée de tous et de l’amour, au sens large du terme (...). Artistiquement, graphiquement, ce dessin animé, le premier entièrement réalisé en performance capture en Europe, est une grande réussite.
Paris Match
L’immortel Numérobis de la "Mission Cléopâtre" crée la surprise (et la jalousie de certains), avec cette superproduction aussi animée que risquée. Le résultat est à l’image de son concepteur, à savoir, généreux, drôle, inventif, turbulent et, surtout, touchant.
Public
Entre "L'Âge de glace" et "The Croods", le film plaira autant aux petits qu'aux grands enfants.
Closer
Un joli film d'animation signé Jamel Debbouze.
Franceinfo Culture
L'humour de Jamel Debbouze domine de bout en bout et touchera toute la famille. Une belle réussite, doublée d'une performance.
L'Express
La forme sert à merveille le fond : réalisée en motion capture (capture numérique des mouvements des comédiens), l'animation est magnifique et autorise un joli retour de Louis de Funès à l'écran. Oui, vous avez bien lu. A vous de voir pour le croire.
Le Journal du Dimanche
C'est malin, enlevé, drôle et émouvant. La seconde partie, plus démonstrative, perd un peu de ce tonus initial côté écriture. Mais c'est tellement chaleureux qu'on adore se perdre dans cet univers cocasse et plein de charme (...). Avec, en prime, un brin de poésie.
TF1 News
Un film d'animation en demi-teintes, trépidant et audacieux dans la production actuelle, où Jamel se révèle comme jamais. Très attachant en somme.
Télé 2 semaines
Voilà un projet atypique et rafraichissant, bien loin de l’univers de Disney, même si certaines influences se font sentir, notamment celle du "Roi Lion". Passé un petit moment d’adaptation, nous voilà totalement pris dans cette transposition libre du roman presque éponyme de Roy Lewis, dotée de drôles de personnages, à la bouille étonnante.
Les Fiches du Cinéma
L'origine du feu pour abriter l'origine de l'amour, c'est l'un des thèmes (trop nombreux) de cette superproduction signée Jamel Debbouze. Si la technique est probante, le scénario, lui, manque d'ampleur.
Marianne
Souvent spectaculaire, terriblement bruyante, esthétiquement discutable, et par instants extrêmement touchante, ainsi se présente la fable préhistorique et animée de Jamel Debbouze, "Pourquoi j'ai pas mangé mon père".
Ouest France
Le premier film de et avec Jamel Debbouze. Fasciné par la technique de la motion capture et la 3D, il en oublie parfois de faire rire. Mais sa comédie se débride quand Edouard revient parmi les siens.
Positif
La 3D rajoute à l'agitation perpétuelle qui semble devenue la norme depuis quelques années dans les blockbusters de l'animation. C'est dommage. Mais il convient de saluer la performance technique et quelques bons gags qui jouent sur les anachronismes pour filer la métaphore de la banlieue et esquisser un autoportrait fantasmé du charismatique Jamel.
Studio Ciné Live
Parfois hilarant ou spectaculaire, ce film reste, en revanche, confiné dans une puérilité inattendue.
Télé 7 Jours
Une ode à la tolérance et à la différence qui, bien que sans surprises et dénuée de l'esprit irrésistible qu'on espérait, séduira le jeune public et les fans de l'humoriste.
Télérama
Le scénario est un brin fourre-tout : c'est que Jamel veut tout dire — et on le comprend — (...) "Pourquoi j'ai pas mangé mon père" ressemble plus à un Disney sur de la musique soul, écrit par le Gérard Oury de "Rabbi Jacob"... et c'est une bonne surprise.
aVoir-aLire.com
Cette expérience française de Motion-Capture n’est ni le désastre redouté, ni le spectacle populaire fade qu’il pouvait laisser transparaître au premier abord, il suinte l’effort, la volonté de transcender les préjugés et ne trahit jamais la pertinence politique de Jamel.
Critikat.com
Malgré la formidable faute de syntaxe de son titre, le film évite le zéro pointé en assumant son caractère vulgarisateur, entre humour et didactisme.
Ecran Large
Hystérique, mégalomane et techniquement déficient, le film est à réserver aux fans hardcore du comique.
La Croix
Ce film, au débit mitraillette rendant parfois inintelligibles les échanges des personnages, déborde de clins d’œil à la filmographie de Jamel Debbouze lui-même, à des dessins animés comme "L’Âge de glace", "le Roi lion" et "Tarzan" dont certaines scènes sont presque textuellement issue, et même à Louis de Funès.
Le Monde
Le film foisonne de mini-gags charmants, qu'écrase malheureusement un fracas de bruitages, de chansons pop poussées à plein volume, de références cinématographiques en cascade (...).
Les Inrockuptibles
Sur le plan du rythme du récit, de l'humour des dialogues et de la qualité kinétique de l'animation, le film n'a pas grand chose à envier aux productions hollywoodiennes même si l'aspect 'film français qui court après ses modèles américains' est toujours un poil gênant.
Libération
Dans une France qui fait des gargarismes de discours réacs, voir l’une de ses célébrités les plus populaires prendre le contre-pied total - et ce, sans aucune naïveté ou niaiserie - est évidemment très louable, voire franchement aimable. Mais l’habillage visuel, pas beau, n’est pas à la hauteur de ce discours.
Metro
CONTRE : Au-delà de la problématique laideur des personnages et des décors, le bât blesse notamment dans l’écriture, inégale, inaboutie et lestée de métaphores aussi disgracieuses qu’un éléphant piégé dans un magasin de porcelaine (sur l’exclusion, entre autre).
Voici
Pourquoi avoir choisi ou si mal maîtrisé la technique de la motion capture qui rend le film si vilain visuellement ? Dommage, le héros est franchement sympathique.
Chronic'art.com
Expert du verbe détraqué, du bégaiement et du sur-place, Jamel cloisonne forcément un récit qui ne demande qu'à se déployer dans le mouvement et la vitesse. Chaque arène se réduit donc à une scène de stand-up riquiqui, où son doppelganger poilu ne fait qu'ânonner son répertoire 90's.
L'Obs
Tout ça pour ça ! Sept ans de production, huit scénaristes, plus de 30 millions d’euros de budget et, à l’arrivée, ce truc hystérique et insipide.