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Un visiteur
5,0
Publiée le 29 septembre 2006
Quand les zombies deviennent plus humains que nous les Hommes, c'est Land Of The Dead, par le maître George Romero. Tous ces films sont des paraboles des problèmes de la vie (politique surtout) et celui ci n'en rechappe pas ! Bien sûr, c'est moins dans la dentelle, tout comme le Président actuel des USA (pour cause de péremption de critique je vais rappeler qu'à l'heure actuelle, c'est toujours George W bush qui occupe le poste). L'histoire poursuit en toute logique des zombies de plus en plus humains, de plus en plus intelligent, et des Hommes donc, réduient en esclavage pour les plus chanceux, devenuent des chiens prêts à tuer pour dominer, pour les pires ! Et au milieu de tous ce vacarme, 2 types qui essayent de s'en sortir, travail pour l'ennemi pour gagner un peu d'argent, et peut être trouver leurs paradis ! Au passage, rencontre avec la fille d'un autre maître de l'horreur (Asia Argento sublime comme à l'accoutumée), et Cholo, un méxicain bien burné (très bon personnage, le meilleur sûrement après le chef des zombies!).
Une espèce de série B nanardisante à gros budget qui ne contient pas plus de trois passages qui mettent vraiment les pétoches. Si c'est ça les "fameux films de Romero" j'crois bien que je n'irais pas chercher plus loin.
La vache, j'aurais jamais cru noter un film de zombies de Romero aussi mal... mais là, la déception est trop forte. C'est mou, où est la hargne du zombie ? La terreur des personnages de Night of the living dead ? L'ambiance opressante du huit clos du jour des morts vivants ? Tout cela est remplacé par des héros manichéens, de méchants riches, des pauvres qui tentent en vain d'atteindre une vie meilleure... J'ai beau être un grand fan de Romero, ces clichés sont assez indigestes, et faire dire "we don't negociate with terrorists" à Dennis Hopper qui joue le role du tyran capitaliste clairement inspiré de George Bush est une critique sociale franchement facile et téléphonée. Quand au gore, il est presque inexistant, il y a tellement peu d'humains que les zombies ne bouffent pas grand monde, ils passent plutot leur temps à apprendre à manier le marteau piqueur et la pompe à essence... Dans l'ensemble on se retrouve avec un film qui sent le deja vu. Même en grand fan de zombie je me suis ennuyé... c'est vraiment dommage.
De retour après des années d'absence, Romero signe un nouveau film de zombies, des zombies qui sont cette fois plus intelligents donc plus dangeureux. Un scénario rudement bien mené et des armes qui cassent la baraque et bien sur comme dans chaque film de Romero, une critique sociale sur les USA ( toujours bon à entendre). Ce film ne manque pas de zombies et de divertissement
Voila le film de zombie par excellence ! "L'armée des morts" et "28 jours plus tard" étaient déjà pas mal, mais "Land of the dead" leur est légèrement supérieur. L'idée de base était très bonne (une ville dernier bastion du genre humain), Romero a su lui donner vie. Il est vrai que le scénario ne brille pas par son excellence, mais ce n'est pas là un problème. Il règne dans ce film une atmosphère de fin du monde, où les humains ne sont guère meilleurs que les zombies qu'ils flinguent à tout bout de champ. Ce film bien bourrin jouit d'un rythme excellent où l'on a quasiment pas le temps de souffler. La représentation des morts-vivants est géniale, et même parfois marrante. Le film foisonne de mille et une idées disséminées ici et là. Le "dead reckoning" tant convoité est superbe, il se dégage de lui une impression de puissance. Quant à Dennis Hopper, il est parfait dans son rôle de salaud. Les zombies paraissent plus amicaux que lui ! Le reste du casting est composé de seconds couteaux qui s'en tirent haut la main. Mention spéciale à Big daddy. Bref, "Land of the dead" se situe sur la première marche du podium de ce genre de film, suivi des deux films cités au début de cette critique. A voir absolument avant que les morts-vivants ne viennent nous dévorer !
Vraiment Romero reste le maître absolu en matière de films de zombies! On retrouve avec un malin plaisir l' attaque des zombies sur la ville qui même à cette époque(le XXIéme siécle)n' arrive pas à s' entendre et à faire front ensemble, les riches dans un énorme building, les pauvres autour du building. Les zombies communiquent, savent coordonner leur attaque, bref ils ont évolué mais pas dans leur maniére de tuer ce qui reste toujours aussi gore et aussi bon !!! Mais pour un film interdit aux moins de 12 ans c' est un peut trop gore, -16 ans aurait été plus approprié mais le spectacle est d' autant plus bon qu' il est plus gore...
Bon ben voilà, il l'a fait! Romero a raté son grand come back. Non mais qu'est-ce que c'était que cette plaisanterie? On sent bien la volonté de mettre des messages socio-politiques (lourds et faciles mais bon, ils sont là) mais alors qu'est-ce que la réalisation est mauvaise! Les personnages sont des caricatures qui, pour la plupart n'ont pas de raison d'être présent dans le film. Le scénario est un des plus prévisible que j'ai pu voir. Non, vraiment passez votre chemin, il n'y a vraiment pas grand chose à retenir de ce ratage historique.
Je donne raison à la presse mais qu'en partie. En effet le film critique la société américaine contemporaine, en effet il dépeint une image de la société dirigée par des grippe-sous malhonnêtes et verreux. Mais en dehors de cela il faut aussi voir le coté "divertissement". Un film n'est pas là que pour critiquer et se voir jeter des fleurs par les magasines de cinéma. Il faut aussi et avant tout je pense, plaire au spectateurs c'est à dire : le divertir. Hors on a ici un film d'une banalité consternante. L'idée de départ est plutôt bonne. Le scénario paraissait alléchant. Je m'attendais à voir un film d'horreur, un film d'épouvante, mais voilà ce film est plus gore qu'effrayant. Tellement gore et si peu effrayant, à un tel point que lorsque les scènes de bataille arrivent on rit en voyant la boucherie... Le jeu des acteurs et correct malheureusement ils ne parviennent pas à nous séduire, et on ne s'attache pas à eux, ils pourraient crever le spectateurs ne ressentirait même pas un picotement au coeur. On est loin de la prestation des acteurs de Shaun Of The Dead. Mais bref, deux étoiles car ce film est amusant malgré lui, les effets spéciaux sont très corrects, et il critique (soi-disant) le gros vilain gouvernement américain. Deux étoiles en moins car au delà de la critique des magasines il faut aussi penser à divertir le spectateurs. Je pensais que le but d'un film était là."
Derrière ses zombies, George A. Romero dresse une sévère critique social sur le mondialisme et la politique. Land of the dead (le territoire des morts) est une totale réussite qui ravira les fans d'un genre qui commençait à tourner en rond. Bravo.
Et bien moi qui adore les films d'horreur, j'ai été deçu par cette oeuvre. En effet tout le long du film ce n'est que massacre (pour les zombies) et mesquineries (pour les humains) = pas grand interêt!! Romero essaye ici de nous montrer que les hommes sont plonger dans une lutte des classe mais sa maladresse rend le projet branlant et sans aucun sens!! De plus, les zombies intelligent c'est un peu gros et bientôt Romero nous sortirat carrement un film ou il chercherons du travail ! Non mais attendez !! Le seul bijou du film est la brillante interprétation de Simon Baker qui fait preuve de sa qualité... Donc heureusement qu'il y a lui !
Pas mal. C'est plutôt bien fichu, les effets spéciaux tiennent la route, mention spéciale pour les acteurs, le film est sombre et marqué par le climat post-11 septembre. De plus, il évite le manichéisme : des zombies ou des vivants, on ne saurait dire précisément lesquels sont les bons et les méchants. Romero montre sa sympathie pour les zombies, on se rend compte que ce sont eux aussi des victimes. A signaler l'étonnant chef des zombies, intellectuellement évolué, le pompiste noir ; rien qu'avec des grognements, l'acteur lui compose une belle psychologie. Un mélange de La nuit des morts-vivants et de Mad Max plutôt agréable, et les amateurs de gore et de sensations fortes ne seront pas déçus.
Quasiment vingt ans que l'on attendait un quatrième opus à la saga horrifique de George A. Romero, maître du genre zombie, théâtre de ses meilleurs films. Le réalisateur n'a rien perdu de son energie dans les messages qu'il veut faire passer à travers ses long-métrages. Et ici, il s'attaque à l'Amérique traumatisée du 11 septembre, avec toutes les conséquences qui ont suivi, beaucoup de séquences ont un écho avec l'actualité, le terrorisme, le conflit irakien, le repli de son pays par rapport au reste du monde imagé par la forteresse contrôlé par un Dennis 'Kaufman' Hopper diabolique, proche de son idole républicain Donald Rumsfeld. A part que cette fois-çi, profitant du revival du genre 'zombie' grâce aux jeux Resident Evil (eux-mêmes inspirés du premier opus de Roméro) et de ces discutables films, il réalise pour un grand studio, Universal, donnant ainsi plus de moyen. Moyen qui se retrouve à l'écran, avec contrairement aux précédents, des acteurs connus, et des effets speciaux convainquants. Se passant quasiment tout le temps dans la pénombre, le mort-vivant subit des évolutions, Big Daddy retrouvera des instincts de chef afin de mener la rebéllion envers la caste des riches humains, ces hordes de zombies ne cherchant finalement qu'à cohabiter. Mais au-delà de toute allégorie politique très voyante, bien sentie voir parfois manichéenne, George A. Roméro n'en oublie pas à la façon de john Carpenter d'offrir à son publique (et ses fans) un bon vieux film de série B, avec du suspens, de l'action, voire du gore, pour un spectacle certe classique mais très efficace.
Romero, pourtant grand maître des zombie ne m'a pas convaincu sur ce film-là. Il n'y a absolument aucun suspens dans ce film de mon point de vue. Les deux couleurs dominantes sont le noir et le rouge:En effet c'est une véritable boucherie.J'estime que par rapport à la bande annonce qu'on peut voir ce film peut décevoir comme cela a été le cas avec moi.
Petite déception, le message social que Romero teinte habituellement sur ses films me paraît moins fort que sur les précédents, même si il est présent, il y a un parfun de lutte des classes, avec le grand magnat cynique qui survit dans sa grande tour (tiens) et qui lance "on ne négocie pas avec les terroristes", certaines similitudes avec une figure connue non ?
Le sujet bien traité est l'évolution des morts-vivants, on a désormais le droit à un protagoniste zombie qui justement devient de plus en plus humain, qui a des sentiments, troublant.
Autre chose que j'ai bien aimé : le Dead Reckoning, ce gros camion blindé spécialisé dans l'éclatage de zombie, cela prouve que finalement l'humanité arrive à s'adapter à un fléau qui dépasse l'entendement, on sent également que les personnages sont moins propre à la folie, ils ont appris à vivre avec les zombies, ce qui les rend peut-être moins intéressants au final.
De plus, Asia Argento, dont on espérait le meilleur vu sa tenue lors de la première scène, est royalement sous-epxloitée et fait tapisserie, bad point.
J'ai l'impression que le film n'est pas fini, les autres avaient un fin beaucoup plus apocalyptique où presque tout le monde meurt à la fin, or ici je trouve qu'il reste trop de personnages et qu'au final cette attaque de zombies intelligents n'a pas été si destructrice (souvenez-vous dans Night of the Living Dead, tout le monde mourrait sans exception).
Bon c'est à contrebalancer avec le fait que beaucoup de perso meurt au cours du film et qu'on a pas le droit pour une fois au cliché du "tu t'es fait mordre c'est horrible mais je ne veux pas te tuer tout de suite non non juste quand tu seras vraiment un zombie là je le ferais oui oui".
On salue également les zombies plus vrais que nature, les nombreux effets gore parsemés tout au long du film par le grand Tom Savini qui prouve qu'on peut encore avoir des couilles au cinoche et montrer des tripes, du déchirage de peau et du broyage d'os sans être