Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Dans cette tension entre discours et représentation, l'ambition du film est élevée et l'exercice terriblement périlleux. On le mesure encore davantage dans la dernière scène du film, qui vient s'ajouter telle une morale finale.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Ce film sur la folie meurtrière qui peut dévaster un pays est un acte de foi en l'homme. Et cela par la force d'abord de la mise en scène qui, faisant monter la tension tout au long de cette nuit où ceux qui se sont affrontés la veille doivent se serrer la main, sait ménager des pauses, des ruptures de ton. (...) Ce qu'on aime aussi dans ce film, c'est qu'il ne craint pas la démesure.
La cinéaste traite avec une droiture exceptionnelle autant les relations politiques et militaires que les drames de la vie privée. (...) Et cela avec une maîtrise de la mise en scène qui la propulse comme le fer de lance du renouveau du cinéma africain. Chapeau.
Une reprise de grands modèles de narration et de représentation (...) venus de l'Antiquité. (...) Qu'avec un premier long métrage (y compris dans le choix hors convention de son dénouement), une jeune cinéaste participe de ce mouvement est une belle promesse.
Avec des moyens modestes, mais pas ridicules, Fanta Regina Nacro installe une atmosphère de peur ordinaire, cette sensation d'omniprésence de la mort et de l'horreur au point qu'elles sont devenues familières, qu'elles manqueront presque si elles viennent à disparaître.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Pour mener à bien son entreprise cathartique, la cinéaste n'hésite pas à insérer quelques plans d'une rare violence : un fleuve charriant des bouts d'être humain, un homme découpant le sexe d'un autre. Ces quelques instants sont d'autant plus frappants que la paix règne désormais entre les peuples.
Dans ce cadre très démonstratif, la cinéaste parvient, l'espace d'un regard ou d'un éclat de violence, à montrer l'extrême tension, à révéler les abîmes de chacun. Elle sait insuffler à son récit une générosité palpitante et une indéniable force.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Sans miévrerie, Fanta Régina Nacro tente une fable brûlante sur un sujet grave (...). Malheureusement, l'allégorie est freinée par une mise en scène rudimentaire et un casting épouvantable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Un récit fort, oppressant, qui avance lentement vers l'horreur tout en dégageant une réflexion essentielle. Dommage alors que l'inconsistance du cadrage appauvrisse la facture.
La critique complète est disponible sur le site Score
La réalisatrice africaine sait nous émouvoir par la sincérité de son implication (...) mais le manque de moyens, l'amateurisme de l'interprétation et l'absence de souci esthétique réduisent considérablement les qualités de ce film (...) tout en accentuant l'âpreté de ses propos. Du cinéma de conviction au contenu trop ascétique.
Africultures.com
Dans cette tension entre discours et représentation, l'ambition du film est élevée et l'exercice terriblement périlleux. On le mesure encore davantage dans la dernière scène du film, qui vient s'ajouter telle une morale finale.
L'Humanité
Ce film sur la folie meurtrière qui peut dévaster un pays est un acte de foi en l'homme. Et cela par la force d'abord de la mise en scène qui, faisant monter la tension tout au long de cette nuit où ceux qui se sont affrontés la veille doivent se serrer la main, sait ménager des pauses, des ruptures de ton. (...) Ce qu'on aime aussi dans ce film, c'est qu'il ne craint pas la démesure.
Zurban
La cinéaste traite avec une droiture exceptionnelle autant les relations politiques et militaires que les drames de la vie privée. (...) Et cela avec une maîtrise de la mise en scène qui la propulse comme le fer de lance du renouveau du cinéma africain. Chapeau.
Cahiers du Cinéma
Une reprise de grands modèles de narration et de représentation (...) venus de l'Antiquité. (...) Qu'avec un premier long métrage (y compris dans le choix hors convention de son dénouement), une jeune cinéaste participe de ce mouvement est une belle promesse.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Avec des moyens modestes, mais pas ridicules, Fanta Regina Nacro installe une atmosphère de peur ordinaire, cette sensation d'omniprésence de la mort et de l'horreur au point qu'elles sont devenues familières, qu'elles manqueront presque si elles viennent à disparaître.
MCinéma.com
Pour mener à bien son entreprise cathartique, la cinéaste n'hésite pas à insérer quelques plans d'une rare violence : un fleuve charriant des bouts d'être humain, un homme découpant le sexe d'un autre. Ces quelques instants sont d'autant plus frappants que la paix règne désormais entre les peuples.
Positif
L'autobiographie a peu de place, c'est l'universel de la guerre que Fanta Regina Nacro met en scène avec brio.
TéléCinéObs
Sombre et inspiré.
Télérama
Dans ce cadre très démonstratif, la cinéaste parvient, l'espace d'un regard ou d'un éclat de violence, à montrer l'extrême tension, à révéler les abîmes de chacun. Elle sait insuffler à son récit une générosité palpitante et une indéniable force.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Ouest France
Un sujet brûlant d'actualité, traité avec une profonde sincérité, angoissée et tendue. Avec aussi une certaine envie de démontrer.
Première
Sans miévrerie, Fanta Régina Nacro tente une fable brûlante sur un sujet grave (...). Malheureusement, l'allégorie est freinée par une mise en scène rudimentaire et un casting épouvantable.
Score
Un récit fort, oppressant, qui avance lentement vers l'horreur tout en dégageant une réflexion essentielle. Dommage alors que l'inconsistance du cadrage appauvrisse la facture.
aVoir-aLire.com
La réalisatrice africaine sait nous émouvoir par la sincérité de son implication (...) mais le manque de moyens, l'amateurisme de l'interprétation et l'absence de souci esthétique réduisent considérablement les qualités de ce film (...) tout en accentuant l'âpreté de ses propos. Du cinéma de conviction au contenu trop ascétique.