Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Brazil
par Caroline Vié
Les images sont absolument sublimes et laisseront les amateurs de documentaires animaliers avec le souffle coupé. Jacquet connaît et aime son sujet. Sa passion est largement communicative. Le film est instructif sans être didactique, poétique juste ce qu'il faut pour ne pas devenir lourdaud. (...)
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
France Soir
par Corinne Sabatier
Le genre est nouveau. Quasi révolutionnaire, à la frontière entre le documentaire animalier, la fiction, le reportage. (...) Le film est un exploit où la technique tout entière, la passion du réalisateur Luc Jacquet et l'inventivité des cameramen (...) sont au service de l'émotion à l'état pur et de l'innocence d'un peuple qui devient une sorte de tribu idéalisée par le regard de la caméra.
L'Obs
par Laure Garcia
Luc Jacquet a su insuffler une merveilleuse poésie à son film, qui prend des allures d'hymne à la vie, notamment en supprimant le commentaire habituel sur les us et coutumes des manchots. (...) Une manière saisissante de concilier naturalisme et création, et de présenter la vie comme une lutte pleine d'amour.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Paris Match
par Alain Spira
Ce film est un extraordinaire documentaire, une héroïque épopée (...). Drôle, cruelle, toujours étonnante, cette frisquette fresque est un exploit sans équivalent.
Première
par Christophe Narbonne
Un véritable docu-drame mis en scène avec un souci esthétique et un art du suspense typiquement cinématographiques. (...) La musique et la voix björkiennes d'Emilie Simon font quant à elles écho à la beauté cristalline des paysages, utilisés en contrepoint par jacquet pour évoquer le miracle de la vie dans un environnement qui n'en veut pas.
Rolling Stone
par Sabine Gros la Faige
Croyez-nous, en allant voir La Marche de l'Empereur, seul ou avec vos enfants, vous allez rire, frémir, pleurer être étonné ou enthousiaste devant l'incroyable spectacle qui se déroule sous vos yeux. (...) A travers cette aventure particulière, c'est sans doute l'humanité tout entière qui se retrouve dans cette leçon de vie terriblement touchante.
Score
par Johnny Be Good
Encore un docu animalier ? Oui, mais la marche de l'empereur est un vrai film épique qui pourrait rivaliser avec les meilleurs blockbusters ricains sortis cette année. (...) Luc Jacquet pond des séquences époustouflantes (...) et les assemble avec un art du suspens et du timing littéralement hallucinant.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Au-delà de la prouesse technologique et humaine, le film, véritable invitation au rêve, confirme l'existence d'une école française de haute volée dans le domaine du cinéma animalier.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle TRANCHANT
Les voix de Romane Bohringer et de Charles Berling ajoutent un commentaire poétique (qu'on peut juger anthropomorphique, mais qui a un certain charme) à de très belles images documentaires, détaillant la ligne des rites, la texture des plumages, le graphisme des anatomies. Il est captivant de voir à l'oeuvre l'invention de la vie pour subsister dans les lieux qui lui sont le plus hostiles.
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Beau docu sur les manchots de l'Antarctique, bien servi par la BO d'Emilie Simon.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Jacquet a fait un bon travail. Les plans sont suffisamment soignés pour satisfaire le regard. Le cadre naturel, esthétisant par définition, s'impose magistralement sur fond d'une musique doucement électronique signée Emilie Simon. Ce n'est d'ailleurs pas le point fort du film avec ses airs kitsch. On est loin de l'envergure de la musique d'un Bruno Coulais pour Le peuple migrateur.
Cinéastes
par Marie-Pauline Mollaret
Avoir capté de telles images, de telles séquences grandioses (...) avait quelque chose de magique et de prodigieux en soi. En y ajoutant une scénarisation artificielle et un dialogue emphatique, Luc Jacquet fait perdre de son mystère et de sa préciosité à son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Cette histoire singulière trouve dans le film de Luc Jacquet deux limites qui en réduisent considérablement l'intérêt. La première tient au sujet lui-même, dont la longue stagnation (...) constitue un défi de taille (...). La deuxième objection (...) tient au parti pris d'affubler deux spécimens du groupe d'une voix intérieure (...) afin d'individualiser un couple dont on suivrait le parcours tout au long du film. Cet effet de rhétorique un peu naïf est problématique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Sylvie BRIET
les manchots empereurs crèvent l'écran, sublimes comédiens, qu'ils se dandinent en bipèdes accomplis (...). (...) Gros handicap pour ces manchots : commentaires et musique squattent ce film qui ne se voulait surtout pas documentaire animalier. Leur incroyable boucan, leurs silences lors des tempêtes, ou les gémissements de la glace qui se déchire à l'approche de l'été, tout cela suffisait... Comme si les manchots étaient condamnés à prendre leurs spectateurs par la main.
MCinéma.com
par Caroline Collard
Véritable conte puisant sa dramaturgie dans la réalité de la nature et du comportement animal (...) l'histoire de ces pingouins marcheurs infatigables est totalement mise en scène. Et malgré les sublimes images proposées, l'aspect artificiel de l'ensemble nuit à notre émerveillement. Trop de musique, trop d'emphase, trop d'effets qui paraissent trop spéciaux, trop d'émotions téléguidées... Dommage, c'est l'émotion qui en pâtit.
Ouest France
par La rédaction
Images impressionnantes, c'est peu de le dire. (...) Ces images parlent d'elles-mêmes, en quelque sorte. Alors il n'y avait pas besoin de ces commentaires qui, par la bouche de Romane Bohringer, Charles Berling et Jules Sitruk font se raconter les manchots. Dommage et superflu. Le procédé est naïf et redondant, il surcharge une marche déjà bien longue, longue, longue.
Positif
par M. Ca.
Les images en plan d'ensemble présentent de beaux cadrages, mais souffrent d'une pauvre définition numérique. Les plans rapprochés et les gros plans pris au téléobjectif sont, en revanche, mieux réussis. Le commentaire (...) sombre instantanément dans la bêtise infantile. La bande sonore, quant à elle, est riche en sons réels, mais est anéhantie par la composition musicale totalement inadéquate d'Emilie Simon.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Guillemette Olivier
Par anthropomorphisme excessif ou pour apprivoiser le jeune public, le réalisateur a donné les voix de Romane Bohringer, Charles Berling et Jules Sitruk à trois d'entre eux. (...) Dès qu'ils nous livrent leurs pensées, la force évocatrice du règne animal prend du plomb dans l'aile et la magie fond. Pire encore : la BO électro-groove chichiteuse, composée et chantée par Emilie Simon, qui emmielle les plus forts moments du film.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Eric Quéméré
Dommage que Luc Jacquet ait privilégié au montage le romanesque au détriment du scientifique, les commentaires de Charles Berling et Romane Bohringer jouant à "papa et maman Pingouin" n'étant pas toujours heureux. Reste des images d'une beauté inouïe (...).
Brazil
Les images sont absolument sublimes et laisseront les amateurs de documentaires animaliers avec le souffle coupé. Jacquet connaît et aime son sujet. Sa passion est largement communicative. Le film est instructif sans être didactique, poétique juste ce qu'il faut pour ne pas devenir lourdaud. (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
France Soir
Le genre est nouveau. Quasi révolutionnaire, à la frontière entre le documentaire animalier, la fiction, le reportage. (...) Le film est un exploit où la technique tout entière, la passion du réalisateur Luc Jacquet et l'inventivité des cameramen (...) sont au service de l'émotion à l'état pur et de l'innocence d'un peuple qui devient une sorte de tribu idéalisée par le regard de la caméra.
L'Obs
Luc Jacquet a su insuffler une merveilleuse poésie à son film, qui prend des allures d'hymne à la vie, notamment en supprimant le commentaire habituel sur les us et coutumes des manchots. (...) Une manière saisissante de concilier naturalisme et création, et de présenter la vie comme une lutte pleine d'amour.
Paris Match
Ce film est un extraordinaire documentaire, une héroïque épopée (...). Drôle, cruelle, toujours étonnante, cette frisquette fresque est un exploit sans équivalent.
Première
Un véritable docu-drame mis en scène avec un souci esthétique et un art du suspense typiquement cinématographiques. (...) La musique et la voix björkiennes d'Emilie Simon font quant à elles écho à la beauté cristalline des paysages, utilisés en contrepoint par jacquet pour évoquer le miracle de la vie dans un environnement qui n'en veut pas.
Rolling Stone
Croyez-nous, en allant voir La Marche de l'Empereur, seul ou avec vos enfants, vous allez rire, frémir, pleurer être étonné ou enthousiaste devant l'incroyable spectacle qui se déroule sous vos yeux. (...) A travers cette aventure particulière, c'est sans doute l'humanité tout entière qui se retrouve dans cette leçon de vie terriblement touchante.
Score
Encore un docu animalier ? Oui, mais la marche de l'empereur est un vrai film épique qui pourrait rivaliser avec les meilleurs blockbusters ricains sortis cette année. (...) Luc Jacquet pond des séquences époustouflantes (...) et les assemble avec un art du suspens et du timing littéralement hallucinant.
TéléCinéObs
Au-delà de la prouesse technologique et humaine, le film, véritable invitation au rêve, confirme l'existence d'une école française de haute volée dans le domaine du cinéma animalier.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Les voix de Romane Bohringer et de Charles Berling ajoutent un commentaire poétique (qu'on peut juger anthropomorphique, mais qui a un certain charme) à de très belles images documentaires, détaillant la ligne des rites, la texture des plumages, le graphisme des anatomies. Il est captivant de voir à l'oeuvre l'invention de la vie pour subsister dans les lieux qui lui sont le plus hostiles.
Les Inrockuptibles
Beau docu sur les manchots de l'Antarctique, bien servi par la BO d'Emilie Simon.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
Jacquet a fait un bon travail. Les plans sont suffisamment soignés pour satisfaire le regard. Le cadre naturel, esthétisant par définition, s'impose magistralement sur fond d'une musique doucement électronique signée Emilie Simon. Ce n'est d'ailleurs pas le point fort du film avec ses airs kitsch. On est loin de l'envergure de la musique d'un Bruno Coulais pour Le peuple migrateur.
Cinéastes
Avoir capté de telles images, de telles séquences grandioses (...) avait quelque chose de magique et de prodigieux en soi. En y ajoutant une scénarisation artificielle et un dialogue emphatique, Luc Jacquet fait perdre de son mystère et de sa préciosité à son sujet.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Cette histoire singulière trouve dans le film de Luc Jacquet deux limites qui en réduisent considérablement l'intérêt. La première tient au sujet lui-même, dont la longue stagnation (...) constitue un défi de taille (...). La deuxième objection (...) tient au parti pris d'affubler deux spécimens du groupe d'une voix intérieure (...) afin d'individualiser un couple dont on suivrait le parcours tout au long du film. Cet effet de rhétorique un peu naïf est problématique.
Libération
les manchots empereurs crèvent l'écran, sublimes comédiens, qu'ils se dandinent en bipèdes accomplis (...). (...) Gros handicap pour ces manchots : commentaires et musique squattent ce film qui ne se voulait surtout pas documentaire animalier. Leur incroyable boucan, leurs silences lors des tempêtes, ou les gémissements de la glace qui se déchire à l'approche de l'été, tout cela suffisait... Comme si les manchots étaient condamnés à prendre leurs spectateurs par la main.
MCinéma.com
Véritable conte puisant sa dramaturgie dans la réalité de la nature et du comportement animal (...) l'histoire de ces pingouins marcheurs infatigables est totalement mise en scène. Et malgré les sublimes images proposées, l'aspect artificiel de l'ensemble nuit à notre émerveillement. Trop de musique, trop d'emphase, trop d'effets qui paraissent trop spéciaux, trop d'émotions téléguidées... Dommage, c'est l'émotion qui en pâtit.
Ouest France
Images impressionnantes, c'est peu de le dire. (...) Ces images parlent d'elles-mêmes, en quelque sorte. Alors il n'y avait pas besoin de ces commentaires qui, par la bouche de Romane Bohringer, Charles Berling et Jules Sitruk font se raconter les manchots. Dommage et superflu. Le procédé est naïf et redondant, il surcharge une marche déjà bien longue, longue, longue.
Positif
Les images en plan d'ensemble présentent de beaux cadrages, mais souffrent d'une pauvre définition numérique. Les plans rapprochés et les gros plans pris au téléobjectif sont, en revanche, mieux réussis. Le commentaire (...) sombre instantanément dans la bêtise infantile. La bande sonore, quant à elle, est riche en sons réels, mais est anéhantie par la composition musicale totalement inadéquate d'Emilie Simon.
Télérama
Par anthropomorphisme excessif ou pour apprivoiser le jeune public, le réalisateur a donné les voix de Romane Bohringer, Charles Berling et Jules Sitruk à trois d'entre eux. (...) Dès qu'ils nous livrent leurs pensées, la force évocatrice du règne animal prend du plomb dans l'aile et la magie fond. Pire encore : la BO électro-groove chichiteuse, composée et chantée par Emilie Simon, qui emmielle les plus forts moments du film.
Zurban
Dommage que Luc Jacquet ait privilégié au montage le romanesque au détriment du scientifique, les commentaires de Charles Berling et Romane Bohringer jouant à "papa et maman Pingouin" n'étant pas toujours heureux. Reste des images d'une beauté inouïe (...).