Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
TéléCinéObs
par Alain Riou
Les anti-Lelouch trouveront, par principe, à s'énerver de quelques tics de l'auteur, dont un goût immodéré pour les fausses fins, mais d'autres se distraieront beaucoup avec cette oeuvre brillamment jouée, pleine de surprises, et très heureusement dégraissée.
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Pas un Lelouch grand cru. Mais une cuvée honorable.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
On soufflera que les parties chantantes ne contribuent pas à emballer la fable. Pour le reste, il y aurait mauvaise grâce à (re)faire usage du fusil mitrailleur. Car, en grande partie délesté de ses travers, le film est de nature à contenter un public populaire acquis à ce type de roman-photo convivial qui dénonce les impasses de l'adultère. (...) le cinéaste a signé dans le passé des vaudevilles bien plus punissables.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La rédaction
Bien évidemment, Lelouch ne s'est pas comme par magie défait des sentences et formules dont il charge ses dialogues et il se met toujours au coeur de son récit. Mais il a retrouvé la légèreté, le rythme et la fraîcheur qui font vibrer son habileté à faire de l'image séduisante.
Télérama
par Pierre Murat
On retrouve, dans cette fresque intimiste nettement plus excitante que l'autre, toutes les obsessions du cinéaste. Son goût du romanesque à la frontière du mélo. Sa passion pour les mises en abyme. (...) Certes, le tricotage effréné auquel Lelouch s'est livré entraîne quelques invraisemblances. (...) Mais bon : une fois de plus, Lelouch a su rebondir. Proche d'un réalisme poétique à l'ancienne, plutôt malin, Le Courage d'aimer rappelle le brio du Voyou, de La Bonne Année et d'Itinéraire d'un enfant gâté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Caroline Vié
Celui-là a des allures de foutage de gueule. Claude Lelouch commence par nous resservir un remontage de 80 minutes des "Parisiens" avant de conter la suite de l'histoire. Les autres [que les fans] éviteront de s'exposer à près de deux heures de philosophie de café du commerce.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Vous ne rêvez pas : on est bien en juin 2005, et si vous avez l'impression d'avoir déjà vu ce film, c'est normal. Balancer sur les écrans un film pour moitié composé d'images extraites d'un film sorti il y a moins d'un an, c'est la grande classe.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
Les anti-Lelouch trouveront, par principe, à s'énerver de quelques tics de l'auteur, dont un goût immodéré pour les fausses fins, mais d'autres se distraieront beaucoup avec cette oeuvre brillamment jouée, pleine de surprises, et très heureusement dégraissée.
Le Figaroscope
Pas un Lelouch grand cru. Mais une cuvée honorable.
Le Monde
On soufflera que les parties chantantes ne contribuent pas à emballer la fable. Pour le reste, il y aurait mauvaise grâce à (re)faire usage du fusil mitrailleur. Car, en grande partie délesté de ses travers, le film est de nature à contenter un public populaire acquis à ce type de roman-photo convivial qui dénonce les impasses de l'adultère. (...) le cinéaste a signé dans le passé des vaudevilles bien plus punissables.
Ouest France
Bien évidemment, Lelouch ne s'est pas comme par magie défait des sentences et formules dont il charge ses dialogues et il se met toujours au coeur de son récit. Mais il a retrouvé la légèreté, le rythme et la fraîcheur qui font vibrer son habileté à faire de l'image séduisante.
Télérama
On retrouve, dans cette fresque intimiste nettement plus excitante que l'autre, toutes les obsessions du cinéaste. Son goût du romanesque à la frontière du mélo. Sa passion pour les mises en abyme. (...) Certes, le tricotage effréné auquel Lelouch s'est livré entraîne quelques invraisemblances. (...) Mais bon : une fois de plus, Lelouch a su rebondir. Proche d'un réalisme poétique à l'ancienne, plutôt malin, Le Courage d'aimer rappelle le brio du Voyou, de La Bonne Année et d'Itinéraire d'un enfant gâté.
Brazil
Celui-là a des allures de foutage de gueule. Claude Lelouch commence par nous resservir un remontage de 80 minutes des "Parisiens" avant de conter la suite de l'histoire. Les autres [que les fans] éviteront de s'exposer à près de deux heures de philosophie de café du commerce.
Chronic'art.com
Vous ne rêvez pas : on est bien en juin 2005, et si vous avez l'impression d'avoir déjà vu ce film, c'est normal. Balancer sur les écrans un film pour moitié composé d'images extraites d'un film sorti il y a moins d'un an, c'est la grande classe.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com