Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Paris Match
par Alain Spira
Si le film a un peu de mal à trouver son rythme, dès que le jeu de massacre commence, ce "vrai bonheur" devient un vrai régal. Les comédiens sont tous excellents, mais jetons une poignée de riz spéciale à Patrick Zard, Marie-Hélène Lentini, Véronique Barrault et Françoise Lépine.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
comédie rurale et adaptation d'une pièce rejouant l'éternel déballage des névroses bourgeoises à l'occasion d'un mariage-catastrophe.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Didier Caron se contente d'une mise en place très plan-plan qui emboîte simplement le pas des allées et venues des protagonistes. S'ils doivent souvent composer des personnages typés et convenus, dans des situations rebattues, ils donnent à ce petit divertissement la saveur de dialogues rythmés et percutants, déclinés avec entrain et vivacité.
Score
par Anthony Wong
Véritable machine à remonter le temps, Un vrai bonheur vous donnera l'impression d'être dans les années 80. (...) cette époque où florissaient les comédies vaudevillesques. Dans le genre le film est loin d'être épouvantable, il est juste un peu périmé.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Alain Riou
Didier Caron préfère trousser des variations féroces (...) dont la méchanceté même présente un certain intérêt. A notre époque plutôt sage, on est presque porté à louer l'affreuse misogynie du film, qui assimile son auteur (...) à un Marco Ferreri plutôt qu'à un accommodeur de guimauve. Restent quand même beaucoup d'idées toutes faites.
Zurban
par Charlotte Lipinska
De la copine célibattante à la femme trompée, des amants transis au couple usé, la quinzaine de personnages ne décolle guère du catalogue attendu d'amoureux en tous genres. Mais la drôlerie de certaines situations (...) et la vitalité de la distribution font passer un agréable moment.
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Nouveau genre dans la comédie française : le mariage-catastrophe. Il y a des acteurs attachants, beaucoup de poncifs et des répliques du genre : "Elle est tellement maigre ! Tu la baises, tu te coupes !" L'accroche de l'affiche se veut plus philosophique : "Y'a pas que le cul dans la vie." Y'a pas que la vulgarité non plus.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Dès le début (...), le spectateur a la désagréable impression de regarder un téléfilm... Dès lors, on espère que l'humour sera à la hauteur et là encore, c'est la désillusion. Les dialogues sonnent souvent faux, en cela peu aidés par des comédiens apparemment peu à l'aise devant une caméra.
Télérama
par Pierre Murat
Comme dans Mariages, de Valérie Guignabodet, on a droit au défilé prévisible de beaufs satisfaits. Avec, tout de même, l'évidente volonté de Didier Caron, qui a adapté sa pièce à succès, de trouver des excuses à ses pantins.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
La maladresse des acteurs au jeu souvent discordant, l'inexistence de toute préoccupation technique et cinématographique ne font que nourrir l'étrange sentiment d'avoir assisté non pas à un spectacle "beauf", mais tout simplement à une comédie rétrograde et ringarde d'un autre âge. Au moins, en été, la pilule sera plus facile à passer.
Paris Match
Si le film a un peu de mal à trouver son rythme, dès que le jeu de massacre commence, ce "vrai bonheur" devient un vrai régal. Les comédiens sont tous excellents, mais jetons une poignée de riz spéciale à Patrick Zard, Marie-Hélène Lentini, Véronique Barrault et Françoise Lépine.
Cahiers du Cinéma
comédie rurale et adaptation d'une pièce rejouant l'éternel déballage des névroses bourgeoises à l'occasion d'un mariage-catastrophe.
Ouest France
Didier Caron se contente d'une mise en place très plan-plan qui emboîte simplement le pas des allées et venues des protagonistes. S'ils doivent souvent composer des personnages typés et convenus, dans des situations rebattues, ils donnent à ce petit divertissement la saveur de dialogues rythmés et percutants, déclinés avec entrain et vivacité.
Score
Véritable machine à remonter le temps, Un vrai bonheur vous donnera l'impression d'être dans les années 80. (...) cette époque où florissaient les comédies vaudevillesques. Dans le genre le film est loin d'être épouvantable, il est juste un peu périmé.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Didier Caron préfère trousser des variations féroces (...) dont la méchanceté même présente un certain intérêt. A notre époque plutôt sage, on est presque porté à louer l'affreuse misogynie du film, qui assimile son auteur (...) à un Marco Ferreri plutôt qu'à un accommodeur de guimauve. Restent quand même beaucoup d'idées toutes faites.
Zurban
De la copine célibattante à la femme trompée, des amants transis au couple usé, la quinzaine de personnages ne décolle guère du catalogue attendu d'amoureux en tous genres. Mais la drôlerie de certaines situations (...) et la vitalité de la distribution font passer un agréable moment.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Nouveau genre dans la comédie française : le mariage-catastrophe. Il y a des acteurs attachants, beaucoup de poncifs et des répliques du genre : "Elle est tellement maigre ! Tu la baises, tu te coupes !" L'accroche de l'affiche se veut plus philosophique : "Y'a pas que le cul dans la vie." Y'a pas que la vulgarité non plus.
MCinéma.com
Dès le début (...), le spectateur a la désagréable impression de regarder un téléfilm... Dès lors, on espère que l'humour sera à la hauteur et là encore, c'est la désillusion. Les dialogues sonnent souvent faux, en cela peu aidés par des comédiens apparemment peu à l'aise devant une caméra.
Télérama
Comme dans Mariages, de Valérie Guignabodet, on a droit au défilé prévisible de beaufs satisfaits. Avec, tout de même, l'évidente volonté de Didier Caron, qui a adapté sa pièce à succès, de trouver des excuses à ses pantins.
aVoir-aLire.com
La maladresse des acteurs au jeu souvent discordant, l'inexistence de toute préoccupation technique et cinématographique ne font que nourrir l'étrange sentiment d'avoir assisté non pas à un spectacle "beauf", mais tout simplement à une comédie rétrograde et ringarde d'un autre âge. Au moins, en été, la pilule sera plus facile à passer.