Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
L'Obs
par Jérôme Garcin
En petit bonhomme gris façon Sempé, Elie Semoun, humoriste contrarié, est époustouflant (...) Les raisons ne manquent pas pour aller voir ce film implacable tourné au cordeau.
Télérama
par Louis Guichard
(...) Un défi pour le cinéma, adroitement relevé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Pas de doute, Philippe Collin est un pur dandy dont l'age avancé et la présence feutrée lui confèrent une grâce folle et surtout une place idéale pour rayonner.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
par Michel Palmiéri
Sobrement mis en scène et interprêté par un Elie Semoun inattendu, Aux abois a le charme délicat des oeuvres froides, qui sucitent des émotions d'autant plus riches qu'elles ont tenté de les décourager.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Une curiosité esthétique au charme énigmatique.
Le Monde
par Isabelle Regnier
La manière dont Elie Semoun distille subtilement un jeu finement burlesque dans la gravité réelle de son personnage, et celle dont Philippe Collin joue, comme avec ses décors, avec l'image publique de son acteur sont pour beaucoup dans la réussite de l'ensemble (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Ange-Dominique Bouzet
Chances, menaces ou simples occurrences ? Philippe Collin, cursif, embrouille les cartes en inventant des raccourcis qui troublent le jeu de la narration. Le polar se subvertit en concise farce existentielle.
Paris Match
par Christine Haas
Philippe Colin impose sa patte raffinée et signe une oeuvre tragique et drôle qui échappe à tout formatage.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
"aux abois" se révèle un film inclassable, une espèce de comédie existencialiste, fantaisiste et grâve à la fois, dan sla veine, par moments, d'un Aki Kaurismäki.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
Au risque parfois de se laisser assoupir par la routine du rien, c'est bien dans le registre de la soustraction que brille Aux abois. (...) économie de moyens d'une mise en scène tranquillement elliptique et toujours soucieuse de raconter beaucoup avec peu (...)
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) désopilant et raffiné, qui nous embarque, par sa folie souterraine, plus loin que quelque épopée fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Par bonheur, la musique, quelques touches surréalistes et la mise en lumière de certains personnages, arrivant malheureusement trop tard, sauvent le spectateur de l'ennui.
Positif
par Pascal Sennequier
Une telle concision mêlée à l'étrangeté du récit séduit d'abord (...) égare ensuite (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier De Bruyn
Elie Sémoun, en contre-emploi, promène un dandysme vaguement inquiet (...) Hors temps et hors mode, un film dont la gravité légère peut charmer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
aVoir-aLire.com
par Pierre Langlais
Très sombre, dépressif bien que traversé de pâles rayons lumineux, Aux abois peint un monde gris, peuplé d'êtres en perdition, vieillis, qui survivent plus qu'ils ne vivent. Au milieu de ces silences, si l'ennui peut surgir, c'est surtout le décalage de son héros et le regard qu'il porte sur son monde qui lentement entraînent hors des sentiers battus.
Brazil
par Caroline Vié
Embarrassant !
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Ouest France
par La rédaction
On imagine ce que Philippe Collin a voulu faire, mais la fantaisie, le loufoque, le jeu avec les mots et l'absurde ne fonctionnent pas.
Score
par Gaël Golhen
(...) la réalisation bâclée et le jeu accablant du comique en tueur maniaco-dépressif laissent définitivement... aux abois.
La critique complète est disponible sur le site Score
Zurban
par Véronique Le Bris
(...) l'adaptation du roman de Tristan Bernard, que Philippe Colin a transposé dans les années 50, se perd dans les détails de la reconstitution.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
L'Obs
En petit bonhomme gris façon Sempé, Elie Semoun, humoriste contrarié, est époustouflant (...) Les raisons ne manquent pas pour aller voir ce film implacable tourné au cordeau.
Télérama
(...) Un défi pour le cinéma, adroitement relevé.
Chronic'art.com
Pas de doute, Philippe Collin est un pur dandy dont l'age avancé et la présence feutrée lui confèrent une grâce folle et surtout une place idéale pour rayonner.
Elle
Sobrement mis en scène et interprêté par un Elie Semoun inattendu, Aux abois a le charme délicat des oeuvres froides, qui sucitent des émotions d'autant plus riches qu'elles ont tenté de les décourager.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Une curiosité esthétique au charme énigmatique.
Le Monde
La manière dont Elie Semoun distille subtilement un jeu finement burlesque dans la gravité réelle de son personnage, et celle dont Philippe Collin joue, comme avec ses décors, avec l'image publique de son acteur sont pour beaucoup dans la réussite de l'ensemble (...)
Libération
Chances, menaces ou simples occurrences ? Philippe Collin, cursif, embrouille les cartes en inventant des raccourcis qui troublent le jeu de la narration. Le polar se subvertit en concise farce existentielle.
Paris Match
Philippe Colin impose sa patte raffinée et signe une oeuvre tragique et drôle qui échappe à tout formatage.
TéléCinéObs
"aux abois" se révèle un film inclassable, une espèce de comédie existencialiste, fantaisiste et grâve à la fois, dan sla veine, par moments, d'un Aki Kaurismäki.
Cahiers du Cinéma
Au risque parfois de se laisser assoupir par la routine du rien, c'est bien dans le registre de la soustraction que brille Aux abois. (...) économie de moyens d'une mise en scène tranquillement elliptique et toujours soucieuse de raconter beaucoup avec peu (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) désopilant et raffiné, qui nous embarque, par sa folie souterraine, plus loin que quelque épopée fantastique.
MCinéma.com
Par bonheur, la musique, quelques touches surréalistes et la mise en lumière de certains personnages, arrivant malheureusement trop tard, sauvent le spectateur de l'ennui.
Positif
Une telle concision mêlée à l'étrangeté du récit séduit d'abord (...) égare ensuite (...)
Première
Elie Sémoun, en contre-emploi, promène un dandysme vaguement inquiet (...) Hors temps et hors mode, un film dont la gravité légère peut charmer.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
Très sombre, dépressif bien que traversé de pâles rayons lumineux, Aux abois peint un monde gris, peuplé d'êtres en perdition, vieillis, qui survivent plus qu'ils ne vivent. Au milieu de ces silences, si l'ennui peut surgir, c'est surtout le décalage de son héros et le regard qu'il porte sur son monde qui lentement entraînent hors des sentiers battus.
Brazil
Embarrassant !
Ouest France
On imagine ce que Philippe Collin a voulu faire, mais la fantaisie, le loufoque, le jeu avec les mots et l'absurde ne fonctionnent pas.
Score
(...) la réalisation bâclée et le jeu accablant du comique en tueur maniaco-dépressif laissent définitivement... aux abois.
Zurban
(...) l'adaptation du roman de Tristan Bernard, que Philippe Colin a transposé dans les années 50, se perd dans les détails de la reconstitution.