Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Aden
par La rédaction
Les petits hasards de la vie deviennent des événements, que le jeune cinéaste filme avec une simplicité qui impose sa beauté. La rigueur du cadre, la durée des plans... (...) Il Dono signifie " le don ". Pas de meilleur titre pour ce film magnifique que l'on reçoit comme un cadeau.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Jamais impudique, le film de Frammartino est un petit bijou de finesse et d'intelligence : sous sa carapace peu flamboyante, toujours au bord du néant et de la rétention, y résiste une force vitale à même de s'offrir comme pure proposition de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
Sans paroles, sinon quelques borborygmes fondus dans une bande-son remarquable, peuplé de figures fugitives, plus que de personnages, Il Dono est un film à la beauté minérale, qui a presque autant à voir avec la peinture qu'avec le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Olivier Seguret
Le film n'est pas muet mais silencieux. Il agit comme une peinture filmée qui nous donnerait le sentiment de marcher lentement, sereinement, dans un tableau proustien. (...) La démonstration d'Il Dono, tout aphasique qu'il soit, est éloquente : c'est un film qui grandit à mesure qu'il soustrait, là où tant d'autres cinéastes ne cessent d'additionner, noyant l'écriture des films sous les déluges d'un visuel surchargé. Ici, nous avons affaire à du plan, de l'image, du temps filmé, mais jamais à de l'iconographie, de l'illustration ou de l'effet.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
(...) son film est remaquablement dépourvu de discours, implicite ou explicite. il se contente (et c'est magnifique) de transformer en questionnement ce qui nourrit trop souvent thèses et antithèses.
L'Humanité
par Emile Breton
C'est un film étonnant, pour ce qu'il dit sans phrases, les personnages ne prononçant que quelques mots, rares échanges (...) Un cinéma minimal fait de quelques moments de vies juxtaposées.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Il Dono se situe un peu en dessous de la vie, des émois, des larmes, des rires, de la violence, du sexe, tout en restant toujours en contact direct avec eux, comme la roche sous l'herbe d'un causse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Yannick Lemarié
Si le réalisateur, de son propre aveu, ose une histoire de surfaces, il fait ressortir la vérité des lieux : tout en restant le plus souvent aux seuils des maisons, il réussit à en percer l'intimité. (...) Ce que montre Il dono, c'est la vie diverse, ramenée à des gestes et prise dans son épaisseur.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gaël Golhen
On aurait pu craindre le pire avec ce film contemplatif qui avance sans dialogue. Pourtant, de cette banalité quotidienne, de ces plans fixes qui s'éternisent, jaillit une forme de poésie intangible, une mystique humaniste silencieuse teintée d'humour noir qui fait d'Il Dono un objet à la beauté froide fascinante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Un film figuratif et contemplatif, oscillant entre fiction et documentaire, subjuguant par son choix de ne jamais rien expliciter mais de révéler par le simple pouvoir de l'image.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Marc Kressmann
La mise en scène, épurée de tout artifice, et l'absence d'intrigue donne au film une forte impression de documentaire, mais le réalisateur Michelangelo Frammartino (...) capture le vide, l'ennui de ces quelques villageois calabrais qui vivent au ralenti. Mais il le fait si " bien ", à grands coups de plans séquences parfois interminables, que le public à son tour sombre lui aussi dans un engourdissement total. Et ce ne sont pas les quelques dialogues qui vont le réveiller...
Aden
Les petits hasards de la vie deviennent des événements, que le jeune cinéaste filme avec une simplicité qui impose sa beauté. La rigueur du cadre, la durée des plans... (...) Il Dono signifie " le don ". Pas de meilleur titre pour ce film magnifique que l'on reçoit comme un cadeau.
Chronic'art.com
Jamais impudique, le film de Frammartino est un petit bijou de finesse et d'intelligence : sous sa carapace peu flamboyante, toujours au bord du néant et de la rétention, y résiste une force vitale à même de s'offrir comme pure proposition de cinéma.
Le Monde
Sans paroles, sinon quelques borborygmes fondus dans une bande-son remarquable, peuplé de figures fugitives, plus que de personnages, Il Dono est un film à la beauté minérale, qui a presque autant à voir avec la peinture qu'avec le cinéma.
Libération
Le film n'est pas muet mais silencieux. Il agit comme une peinture filmée qui nous donnerait le sentiment de marcher lentement, sereinement, dans un tableau proustien. (...) La démonstration d'Il Dono, tout aphasique qu'il soit, est éloquente : c'est un film qui grandit à mesure qu'il soustrait, là où tant d'autres cinéastes ne cessent d'additionner, noyant l'écriture des films sous les déluges d'un visuel surchargé. Ici, nous avons affaire à du plan, de l'image, du temps filmé, mais jamais à de l'iconographie, de l'illustration ou de l'effet.
Cahiers du Cinéma
(...) son film est remaquablement dépourvu de discours, implicite ou explicite. il se contente (et c'est magnifique) de transformer en questionnement ce qui nourrit trop souvent thèses et antithèses.
L'Humanité
C'est un film étonnant, pour ce qu'il dit sans phrases, les personnages ne prononçant que quelques mots, rares échanges (...) Un cinéma minimal fait de quelques moments de vies juxtaposées.
Les Inrockuptibles
Il Dono se situe un peu en dessous de la vie, des émois, des larmes, des rires, de la violence, du sexe, tout en restant toujours en contact direct avec eux, comme la roche sous l'herbe d'un causse.
Positif
Si le réalisateur, de son propre aveu, ose une histoire de surfaces, il fait ressortir la vérité des lieux : tout en restant le plus souvent aux seuils des maisons, il réussit à en percer l'intimité. (...) Ce que montre Il dono, c'est la vie diverse, ramenée à des gestes et prise dans son épaisseur.
Première
On aurait pu craindre le pire avec ce film contemplatif qui avance sans dialogue. Pourtant, de cette banalité quotidienne, de ces plans fixes qui s'éternisent, jaillit une forme de poésie intangible, une mystique humaniste silencieuse teintée d'humour noir qui fait d'Il Dono un objet à la beauté froide fascinante.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Un film figuratif et contemplatif, oscillant entre fiction et documentaire, subjuguant par son choix de ne jamais rien expliciter mais de révéler par le simple pouvoir de l'image.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
La mise en scène, épurée de tout artifice, et l'absence d'intrigue donne au film une forte impression de documentaire, mais le réalisateur Michelangelo Frammartino (...) capture le vide, l'ennui de ces quelques villageois calabrais qui vivent au ralenti. Mais il le fait si " bien ", à grands coups de plans séquences parfois interminables, que le public à son tour sombre lui aussi dans un engourdissement total. Et ce ne sont pas les quelques dialogues qui vont le réveiller...