En chantant derrière les paravents : Critique presse
En chantant derrière les paravents
Note moyenne
3,7
19 titres de presse
L'Humanité
Le Figaroscope
Le Monde
Aden
Chronic'art.com
L'Express
Le Figaro
Libération
MCinéma.com
Ouest France
Paris Match
Télérama
Zurban
Ciné Live
Les Inrockuptibles
Première
TéléCinéObs
Score
Studio Magazine
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
L'Humanité
par Michèle Levieux
Adapter au cinéma un conte chinois du XIXe siècle, le faire interpréter par des acteurs japonais parlant eux-mêmes italien, y ajouter Bud Spencer, le compère de Terence Hill dans les Trinita, sur fond de jonques et de batailles navales sur un lac du Monténégro, semble surréaliste. Mais lorsque le metteur en scène s'appelle Ermanno Olmi (...), une magie de génie s'installe. Pour notre plaisir esthétique et - intellectuel.
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Cette fable chinoise du XIXe siècle, inspirée de faits vrais, est merveilleusement mise en scène par Ermanno Olmi, avec une liberté de ton, une fantaisie et un raffinement extraordinaires (...) Le conte chante la fin de la violence et la paix qui peut s'installer lorsque le pardon est plus fort que la loi des armes. Et le film ajoute à cette sagesse la beauté qui éclate à chaque plan.
Le Monde
par Florence Colombani
un superbe film d'aventures qui contient, en creux, une méditation recueillie sur la mort et son acceptation, une oeuvre qui allie la plus grande rigueur à une fantaisie exquise.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Aden
par Philippe Piazzo
Ici, Olmi joue avec l'idée de distanciation pour atteindre un au-delà du spectacle, qui pourrait être une vérité des sensations. Pour le spectateur, la beauté du film est évidente mais le tout est de ne pas perdre pied, car dans cet intellectuel va-et-vient, c'est la spontanéité du plaisir qui risque de se perdre en route et de faire paravent.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Sorte d'embarcation délirante, En chantant derrière les paravents doit moins à ses ambitions un peu figées (exotisme sous-tendu par un discours bienveillant et pacifique) qu'à cette perpétuelle recherche de perspectives qui nourrit chacun de ses plans. L'aspect théâtral et bidimensionnel de la scène et des vignettes déployées ici trouve toujours une issue pour se renverser en fantaisie aérienne (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
par Olivier SEGURET
Le cinéma d'Olmi souffre aujourd'hui en France d'une image d'auteur vétuste et laborieux, tandis qu'en Italie, où il met aussi en scène de fréquents opéras, il est célébré avec l'affection ambiguë qu'on accorde aux vieux maîtres compassés. Dans les deux cas, En chantant derrière les paravents inflige un cinglant démenti : c'est un film enluminé par cette poudre magique que découvrent parfois les vieux cinéastes lestes, chez certains Oliveira comme dans les Kurosawa tardifs.
MCinéma.com
par Philippe Scrine
Bud Spencer est parfait en vieux capitaine. Il y a des canonnades, des abordages, des combats au sabre et même, un poil de sexe. Seulement, sous la patte du cinéaste, par l'habileté de sa mise en scène et de son montage, le film prend une autre forme et une autre dimension. Il devient tout à la fois un hommage au muet, au cinéma d'aventures, au théâtre et à l'opéra, sans que le fond, le discours sur le pouvoir et le pardon, n'en soit altéré.
Ouest France
par La rédaction
Ermanno Olmi avec Bud Spencer. Le générique le plus inattendu de la saison tant les deux hommes font du cinéma aux antipodes l'un de l'autre. Mais en l'occurrence c'est Trinita qui abandonne son répertoire de prédilection pour goûter l'expérience du monde rigoureux et sophistiqué de l'auteur
Paris Match
par Alain Spira
Ermanno Olmi enchante avec cette fable allégorique sur le pouvoir, la vengeance et le pardon. Le style hiératique du cinéaste s'adapte magnifiquement à la nature du récit original qui fonctionne, à la manière de la sagesse chinoise, par allusions et par énigmes successives, et prend son sens, après coup, pour livrer un message de paix.
Télérama
par Pierre Murat
Une brillante fantaisie barbaresque, par Olmi. (...) Olmi a toujours aimé les marginaux, les exclus. Il peint ses pirates avec la même tendresse que le clochard magnifique de La Légende du Saint-Buveur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique le Bris
Mixant à l'envi théâtre filmé, scènes d'action et d'aventures ou tranches de vie très intimes, l'auteur (...) prouve une fois encore sa maîtrisedu registre historique. Fantasque et poétique, son filmd'une beauté sublime, porté par un Bud Spencer gouailleur à souhait, reste toutefois un peu trop froid pour nous subjuguer totalement. Mais que c'est beau !
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Bud Spencer chez les pirates chinois...Une série Z ? Non, un film poétique d'Ermanno Olmi ! Intriguant mais pesant.
Première
par Gaël Golhen
Forcément, une histoire de pirates avec bud Spencer en Barbe-Noire, ça rappelle le bon vieux temps. On se calme: le film est signé Ermanno Olmi, cinéaste italien plus proche de Tarkovski ou de Dreyer que d'E.B. Clucher. (...) Les fans d'Olmi apprécieront cette suite formelle au Métier des armes. Les autres ressortiront leurs VHS de Deux super Flics.
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Ermanno Olmi (...) met en abyme un spectacle de théâtre raconté par Bud Spencer, et signe une reconstitution historique dont l'exotisme stylisé évoque à dessein l'atmosphère de Madame Butterfly.
Score
par La rédaction
Ce drôle de film de pirate oscille entre la fable intello cryptée (...) et l'épopée Z. Le pire ? Un Bud Spencer élimé qui a visiblement l'air de s'ennuyer ferme.
La critique complète est disponible sur le site Score
L'Humanité
Adapter au cinéma un conte chinois du XIXe siècle, le faire interpréter par des acteurs japonais parlant eux-mêmes italien, y ajouter Bud Spencer, le compère de Terence Hill dans les Trinita, sur fond de jonques et de batailles navales sur un lac du Monténégro, semble surréaliste. Mais lorsque le metteur en scène s'appelle Ermanno Olmi (...), une magie de génie s'installe. Pour notre plaisir esthétique et - intellectuel.
Le Figaroscope
Cette fable chinoise du XIXe siècle, inspirée de faits vrais, est merveilleusement mise en scène par Ermanno Olmi, avec une liberté de ton, une fantaisie et un raffinement extraordinaires (...) Le conte chante la fin de la violence et la paix qui peut s'installer lorsque le pardon est plus fort que la loi des armes. Et le film ajoute à cette sagesse la beauté qui éclate à chaque plan.
Le Monde
un superbe film d'aventures qui contient, en creux, une méditation recueillie sur la mort et son acceptation, une oeuvre qui allie la plus grande rigueur à une fantaisie exquise.
Aden
Ici, Olmi joue avec l'idée de distanciation pour atteindre un au-delà du spectacle, qui pourrait être une vérité des sensations. Pour le spectateur, la beauté du film est évidente mais le tout est de ne pas perdre pied, car dans cet intellectuel va-et-vient, c'est la spontanéité du plaisir qui risque de se perdre en route et de faire paravent.
Chronic'art.com
Sorte d'embarcation délirante, En chantant derrière les paravents doit moins à ses ambitions un peu figées (exotisme sous-tendu par un discours bienveillant et pacifique) qu'à cette perpétuelle recherche de perspectives qui nourrit chacun de ses plans. L'aspect théâtral et bidimensionnel de la scène et des vignettes déployées ici trouve toujours une issue pour se renverser en fantaisie aérienne (...)
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
Le cinéma d'Olmi souffre aujourd'hui en France d'une image d'auteur vétuste et laborieux, tandis qu'en Italie, où il met aussi en scène de fréquents opéras, il est célébré avec l'affection ambiguë qu'on accorde aux vieux maîtres compassés. Dans les deux cas, En chantant derrière les paravents inflige un cinglant démenti : c'est un film enluminé par cette poudre magique que découvrent parfois les vieux cinéastes lestes, chez certains Oliveira comme dans les Kurosawa tardifs.
MCinéma.com
Bud Spencer est parfait en vieux capitaine. Il y a des canonnades, des abordages, des combats au sabre et même, un poil de sexe. Seulement, sous la patte du cinéaste, par l'habileté de sa mise en scène et de son montage, le film prend une autre forme et une autre dimension. Il devient tout à la fois un hommage au muet, au cinéma d'aventures, au théâtre et à l'opéra, sans que le fond, le discours sur le pouvoir et le pardon, n'en soit altéré.
Ouest France
Ermanno Olmi avec Bud Spencer. Le générique le plus inattendu de la saison tant les deux hommes font du cinéma aux antipodes l'un de l'autre. Mais en l'occurrence c'est Trinita qui abandonne son répertoire de prédilection pour goûter l'expérience du monde rigoureux et sophistiqué de l'auteur
Paris Match
Ermanno Olmi enchante avec cette fable allégorique sur le pouvoir, la vengeance et le pardon. Le style hiératique du cinéaste s'adapte magnifiquement à la nature du récit original qui fonctionne, à la manière de la sagesse chinoise, par allusions et par énigmes successives, et prend son sens, après coup, pour livrer un message de paix.
Télérama
Une brillante fantaisie barbaresque, par Olmi. (...) Olmi a toujours aimé les marginaux, les exclus. Il peint ses pirates avec la même tendresse que le clochard magnifique de La Légende du Saint-Buveur.
Zurban
Mixant à l'envi théâtre filmé, scènes d'action et d'aventures ou tranches de vie très intimes, l'auteur (...) prouve une fois encore sa maîtrisedu registre historique. Fantasque et poétique, son filmd'une beauté sublime, porté par un Bud Spencer gouailleur à souhait, reste toutefois un peu trop froid pour nous subjuguer totalement. Mais que c'est beau !
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Bud Spencer chez les pirates chinois...Une série Z ? Non, un film poétique d'Ermanno Olmi ! Intriguant mais pesant.
Première
Forcément, une histoire de pirates avec bud Spencer en Barbe-Noire, ça rappelle le bon vieux temps. On se calme: le film est signé Ermanno Olmi, cinéaste italien plus proche de Tarkovski ou de Dreyer que d'E.B. Clucher. (...) Les fans d'Olmi apprécieront cette suite formelle au Métier des armes. Les autres ressortiront leurs VHS de Deux super Flics.
TéléCinéObs
Ermanno Olmi (...) met en abyme un spectacle de théâtre raconté par Bud Spencer, et signe une reconstitution historique dont l'exotisme stylisé évoque à dessein l'atmosphère de Madame Butterfly.
Score
Ce drôle de film de pirate oscille entre la fable intello cryptée (...) et l'épopée Z. Le pire ? Un Bud Spencer élimé qui a visiblement l'air de s'ennuyer ferme.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com