Mon compte
    Vincent, François, Paul et les autres
    Note moyenne
    3,8
    1151 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Vincent, François, Paul et les autres ?

    92 critiques spectateurs

    5
    16 critiques
    4
    26 critiques
    3
    33 critiques
    2
    11 critiques
    1
    5 critiques
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 avril 2007
    Portrait de groupe un peu trop terne et moyennement peaufiné.
    Backpacker
    Backpacker

    78 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mai 2014
    Autant le dire tout de suite, un Sautet mineur. A voir essentiellement pour sa magnifique distribution. Pour l'histoire et le rythme, en revanche, vous repasserez!
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 11 janvier 2013
    (VIDEO) Des comédiens, d'accord. Une direction d'acteur, peut-être. Mais tout le reste est tellement navrant...
    Hubert Guillaud
    Hubert Guillaud

    125 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 juin 2020
    Entre bonheur et mélancolie, Sautet raconte un morceau de vie de quelques quinquagénaires, dont les illusions sont en train de passer. Mais surtout, il raconte dans ce portrait d'une époque polyphonique, une amitié océanique, campée par des personnages puissants, attachants et uniques, dont Sautet dévoile les représentations et fait céder l'intimité. Un film empathique et plein d'humanité. Majestueusement banal.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 182 abonnés 4 175 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 août 2015
    "Vincent, François, Paul et les autres" symbolise sans doute le mieux aujourd'hui ce qui fait réputation du cinéma de Claude Sautet. La difficulté d'être un homme dans une société construite par et pour lui mais qui imperceptiblement vacille sur ses bases sous les coups de boutoirs de la révolution féministe . Voilà sans doute ce qu'exprime le mieux les films de Sautet des "Choses de la vie" à "Une histoire simple". S'agrègent autour de cette thématique centrale, l'amitié virile, la peur du temps qui passe, la crise économique durable qui guette, le doute sur l'idéal bourgeois matérialiste de l'après guerre et la difficulté de vivre en couple. Certains films de cette période féconde comme "Max et les ferrailleurs" (1971) ou "Mado" (1976) s'appuient sur une trame empruntée au film de genre édifiant une colonne vertébrale rassurante au scénario. Rien de tout cela dans "Vincent, François, Paul et les autres" sorte de travail d'équilibriste bâti sur la chronique toute simple de la vie d'un petit groupe d'amis constitué par les trois prénoms du titre du film au sein duquel de manière un peu utopique les plus jeunes et les moins fortunés trouvent leur place. La cinquantaine est l'heure des bilans et des interrogations sur la suite à donner à une vie dont immanquablement le rayon d'action va se réduire. Les trois amis n'abordent pas la période au mieux de leur forme. spoiler: Vincent (Yves Montand), industriel charismatique et hâbleur qui refuse de vieillir s'affiche au bras d'une très jeune femme (Ludmilla Mikaël) et voit les difficultés financières de son entreprise assombrir la verve et l'assurance qui faisaient l'admiration du groupe. Paul (Serge Reggiani), écrivain en panne d'inspiration, soutenu sans faille par son épouse (Antonella Lualdi) semble avoir renoncé à toute possibilité de se réinventer. François (Michel Piccoli), riche médecin d'une clientèle huppée a le sentiment diffus d'avoir trahi depuis trop longtemps ses idéaux politiques de jeunesse qui lui faisait rêver d'ouvrir des dispensaires en banlieue. Il tente de cacher son trouble en écrasant les autres de sa supériorité
    . Dans cette période morose, l'amitié est tout ce qui leur reste. Malgré les mises à l'épreuve parfois brutales qu'elle va subir en raison du mal-être de chacun, elle permettra à ces trois mousquetaires de rester unis et de garder la tête hors de l'eau. La fidélité en amitié plus souvent fantasmée que réelle était le crédo de Claude Sautet dont les emportements légendaires étaient à la hauteur des déceptions ressenties à chaque coup de canif supposé dans le contrat. Fortement égocentriques, les hommes de Sautet se rachètent par leur fragilité qui les amène souvent à s'en remettre aux femmes bien plus fortes et équilibrées que ces grands enfants qui croient trop longtemps qu'ils vont pouvoir prolonger indéfiniment leur adolescence, l'épouse compréhensive remplaçant docilement la mère aimante. A ce sujet la scène entre Paul et son ex femme (Stéphan Audran) alors qu'il est au fond du trou est particulièrement éclairante. Comme Robert Altman qu'il admirait, Sautet aime diriger les scènes de groupes en mouvement où l'attention doit être portée sur le moindre détail qui pourrait fait jouer faux l'orchestre. Tel Karajan ou Furtwängler à la tête de leur philarmonique, Sautet dirige en virtuose l'ensemble de ses acteurs, des premiers violons aux remarquables solistes que sont Piccoli, Montand et Reggiani tous les trois au sommet de leur art. Sautet ne pouvait sans doute pas aller beaucoup plus loin dans cette quête de "saisir sur le vif la vie des hommes quarantenaires". Juste après "Mado" (1976) il offrira à Romy Schneider son film de femmes puis entamera avec "Un mauvais fils" (1980) son cycle consacré à l'incommunicabilité entre les êtres, autre particularité humaine qui le fascinait. Chaque nouvelle vision de "Vincent, François, Paul et les autres" apporte son lot de surprises et la joie renouvelée de voir tous ses acteurs se renvoyer la balle comme dans la vie . A ce jeu là, le tout jeune Depardieu à peine sorti des "Valseuses" (Bertrand Blier en 1973) montre qu'il n'est pas manchot, on connait la suite.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    134 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 juillet 2011
    On suit une bande de copains dans leurs histoires sentimentales jusqu’à un dénouement que l’on attend plus dramatique encore.
    Ce film de Claude Sautet réuni la plus belle brochette des acteurs de l’époque : Reggiani, Depardieu, Ardant, Piccoli, Montand,… Le tout donne un film bien interprété mais qui 35 ans plus tard fait un peu chronique de mœurs datée. Dieu que çà a mal vieilli. Ces histoires de cœur, d’affaires et d’amitié suscite en fait que très peu d’émotion ; seul le duo Montant-Ardant marche à merveille.
    On peut laisser tomber ce Sautet et en voir plutôt d’autres.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 novembre 2014
    Sur ma lancée Claude Sautet, "Vincent, François, Paul et les autres" fait partie du cinéma des 70's ancré dans toutes les mémoires de cinéphiles. Comment parler d'un film choral sur la société sans citer "Vincent, François..." ? Au sujet des problèmes de la quarantaine, comment ne pas évoquer les drames de la vie à travers "Vincent, François..." ? Sur les problèmes sociétaux donc, "Vincent, François..." fait ainsi partie d'une culture cinématographique immanquable et incontournable, car rarement ces amours brisées n'ont été superbement mises en scène.
    Film ancré dans la mémoire populaire aussi car, succès au box-office français aidant (2,8 millions de spectateurs en 1974), Claude Sautet pointe du doigt les degrés de liberté de la femme (droit de mariage, de libertinage...) et de la politique post soixante-huitarde en général.
    Pour toutes ces qualités, "Vincent, François, Paul et les autres" fait office de référence d'un point de vue scénaristique, et de retrouver pour la troisième fois Claude Néron (après "César..." et "Max..." et Dabadie (présent depuis "Les choses de la vie") aux commandes d'une histoire écrite et chapeauté par Sautet lui-même. Le point d'orgue de "Vincent, François..." qui permet à Claude Sautet de se considérer comme étant le raconteur de la société.
    Les compères jouant le médecin désavoué (Piccoli), l'industriel dévastateur cloporte (Montand), l'écrivain-journaliste en manque d'inspiration (Reggiani) et le boxeur à moitié perdu (Depardieu) servent, avec une précision radicale, l'atmosphère du scénario brillamment retranscrite par l'esprit de camaraderie qui anime ce film de bout en bout. Une interprétation générale sans faille jamais dominé par un acteur ou une actrice en particulier au cours du film. L'envie de Sautet de jouer sur la carte du sentimentalisme de la société ? Oui et non. D'un côté, on a les acteurs, tous bons, et de l'autre, l'ambiance générale retranscrite par un Sautet qui s’acoquine de ce quatuor d'acteurs pour nous dépeindre cette société grisée. Un peu à la "Max et les ferrailleurs", Sautet nous embarque dans son œuvre empruntée de réalisme mais sans nous convier forcément à ses repas du dimanche. De ce fait, on oscille sans arrêt entre film d'auteur et film de divertissement. Dommage pour Claude Sautet qui atteint ici les sommets d'un film choral maîtrisé à la perfection.
    Pour revenir côté casting, nous sommes en plein divertissement, assurément ! On retrouve Yves Montand (dans sa période Costa Gavras : "Z", "L'aveu", "Etat de siège"...), Michel Piccoli (il a joué pour Ferreri dans "La grande bouffe" l'année précédente), Serge Reggiani (remarqué chez Cayatte ("Les amants de Vérone") et Becker père ("Casque d'or")), Gérard Depardieu (il joue la même année dans "Stavisky" et "Les valseuses" : rien que ça !!), Stéphane Audran (gagnant des galons grâce aux "Cousins", elle deviendra Madame Chabrol à la ville), Catherine Allégret (fille d'Yves et mère d'un présentateur fétiche de la première chaîne française, on l'a vue aux côtés de Johnny dans "L'aventure, c'est l'aventure" parmi tant d'autres), Marie Dubois la "Grande vadrouilleuse", Ludmila Mikaël (alors au début de sa carrière) et Antonella Lualdi (elle est consacrée par Claude Autan-Lara dans "Le rouge et le noir"). Du beau monde en quelque sorte.
    Toujours à la barre, Philippe Sarde nous compose des partitions languissantes au possible qui ont l'art d'accompagner nos tristes compagnons de route sur la voie de la vie et d'une possible renaissance.
    Pour conclure, ce septième long-métrage de Claude Sautet se délecte d'une façon bien particulière, celui de s'ancrer dans le contexte des 70's, à n'en pas douter !. Je reste juste surpris de ne pas avoir reçu la claque à laquelle je m'attendais de la part du metteur en scène de "César et Rosalie". Indéniablement,un immanquable Sautet.
    Spectateurs, à vos Marlboro !
    Dora M.
    Dora M.

    64 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 décembre 2019
    C’est un film de « potes », genre dont je ne suis pas hyper fan. C’est confirmé ici : je n’ai pas trouvé un grand intérêt à suivre cette bande de copains. Alors oui ça se laisse regarder, il y a les problèmes d’argent de Vincent / Yves Montand, les soucis conjugaux de François / Michel Piccoli, le manque d’inspiration dans l’écriture de Paul / Serge Reggiani, le combat de boxe à venir de Jean / Gérard Depardieu... Les relations fluctuantes entre les uns et les autres sont intéressantes, mais pour autant l’ensemble manque de rythme.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    195 abonnés 2 511 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 octobre 2020
    Vincent, François, Paul et les autres est un film qui ne m'a que moyennement séduit même si je dois reconnaître que ce n'est pas du tout un mauvais film.
    Mais c'est plus un film à portrait qu'un film à histoire. Et pour le coup, le film est très maîtrisé sur ce plan. Les personnages ont une véritable personnalité, permettant de la complexité et de l'empathie, à l'image de Vincent, à qui en apparence tout sourit, mais qui vit en réalité péniblement le départ de sa femme et ses difficultés financières.
    Ils sont campés par des acteurs au sommet de leur forme (avec un quatuor de tête ni plus ni moins tenu par Serge Reggiani, Yves Montant, Michel Piccoli et Gérard Depardieu).
    Malheureusement, au-delà du talent de portraitiste de Claude Sautet, le film ne m'a pas vraiment emballé sur le plan de l'intrigue, qui finalement n'est pas si percutante et reste très peu en mémoire.
    Bref, le film est bien réalisé et permet d'excellentes performances par ces acteurs principaux, mais l'histoire est très vite oubliable.
    cylon86
    cylon86

    2 515 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 septembre 2011
    Claude Sautet, fin observateur de la société de son époque, livre ici un portrait subtil de la classe moyenne des années 70 en mettant en scènes ces amis, leurs amours et leurs emmerdes. Le jeu des acteurs est très fin, tout est dans les regards, les gestes, les non-dits et on peut percevoir le désespoir d'Yves Montand ou la solitude de Michel Piccoli. Sautet sait décidément bien filmer ces petites choses qui font la vie.
    riri2
    riri2

    16 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mai 2009
    Quelque peu déçu de ce film dont on me vantait les charmes. Si "Vincent, Fraçois..." a incontestablement vieilli en terme de forme (image, etc.), la forme ne m'a qu'à mopitié convaincu. Reposant sur des prestations d'acteurs remarquables (dont celles de Regianni), sa description d'hommes pris dans les affres de la vie n'est pas toujours si bien mise en valeur. Seule l'amitié - et ses défauts - sont parfaitement traités. Paradoxalement, le film ne démarre qu'au dernier tiers : le combat du ring est un beau moment de cinéma où l'individu se confronte - finalement - au collectif. Il en va de même dans la scène de train suivante. Pour le reste, "Vincent, François..." reste bien décevant, souvent en dessous de l'enjeu...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 20 janvier 2008
    il va falloir exprimer les atteintes sur les individus de la "société libèrale avancée": à ce petit jeu, Reggiani possède un avantage naturel incontestable du fait de son visage plissé; qu'à cela ne tienne Montand et Piccoli referont leur retard par un concours de grimaces et de mimiques appuyées,en jouant à celui qui tirera le plus fort sur sa cigarette pour exhaler leur mal de vivre.
    Aprés l Alfa Roméo des choses de la vie, on quitte l' Italie pour des BMW que l'on garera toujours avec facilité, contairement à la vie réelle que ce film est censé montrer. Au secours!
    bsalvert
    bsalvert

    409 abonnés 3 579 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juillet 2011
    un film avec des relations fortes entre amis, c'est simple d'apparence et pourtant quand on y regarde de plus près....
    cbio
    cbio

    6 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 janvier 2013
    Le film est porté par ses acteurs, mais le scénario est sans intérêt, à part de montrer qu'en 1974 un cardiologue recevais ses patients la clope au bec. Sautet a fait bien mieux.
    Eselce
    Eselce

    1 395 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 juillet 2022
    Je n'ai pas du tout aimé malgré le casting. Des banalités, des mondanités, des petits tracas, une bande d'amis qui se soutient sans réel soutien, des tromperies, des abandons... Déprimant
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top