Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le deuxième film de Lisandro Alonso, tourné en pleine nature, ne ressemble à rien de connu dans la fiction (...). Un film itinérant, équivalent rural d'un road-movie, fluide, cru, distillant une certaine angoisse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
Los Muertos reconduit la formule basique du premier film : quasiment pas de dialogues, un climat indécis de cauchemar ensoleillé, la nature souveraine partout présente et la puissance de gestes élémentaires (...). Le sens du film demeure scellé au plus profond du mutisme du personnage qui nous laisse seul avec notre étonnement et nos questions.
Télérama
par Jacques Morice
Los Muertos, grand film " behavioriste " à la lisière de l'ethnographie, sera ce périple en compagnie d'un repris de justice qui part rejoindre sa fille devenue adulte. (...) La fin est ouverte, tout le film est ouvert, sur une multitude de signes, de sensations et d'appréhensions qui font la richesse incroyable de cet arte povera.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Sylvain Coumoul
Alonso insiste pour expliquer que Vargas n'a de toute façon pas cette notion d'une spécificité de la vie humaine. (...) Los Muertos est un film linéaire sur un homme unidimensionnel.
Elle
par Elisabeth Quin
Votre tête lorsque vous en sortirez. Ensuqués. Hébétés. Avez-vous vu un film de terreur ou un poème? On ne sait pas. (...) Désagréable. Inoubliable. Oh, votre tête !
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Héritier de Luis Buñuel (...), Lisandro Alonso fait sourdre autre chose que ce qu'il montre (...). Il réussit à nous suggérer, (...) que l'impassibilité de son "héros" est son alibi, que nous avons affaire à un être moins sensuel, plus complexe, (...) qu'il n'y paraît. Le premier film de ce cinéaste radical s'intitulait La Liberté. Ce qu'il nous distille ici, (...), serait-ce la peur, face à l'image d'un homme qui s'est octroyé la liberté de tuer ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Rien ou presque ne sera dit sur cet homme. Reste la beauté de la nature, filmée de manière sidérante. En un magnifique plan-séquence d'ouverture, où la caméra glisse sur la frondaison de la forêt laissant apercevoir des corps mutilés, Lisandro manifeste l'étendue de ses talents de cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Alors que s'écoule Los Muertos, on ressent plusieurs évidences. (...) D'abord que ce n'est pas rien, le second film de Lisandro Alonso (...). Ensuite on sent qu'on tient là un film-à-festival qui fera son effet, sur lequel ils seront au moins quelques-uns à crier au génie. Enfin on n'est pas sûr d'en faire partie, parce qu'on n'est pas sûr de tenir là un objet absolument décisif.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaroscope
par Brigitte BAUDIN
Un film lent, un peu maladroit comme ce canoë qui tente de se frayer un chemin avec difficulté dans les herbes hautes et impénétrables de la jungle amazonienne
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
La forêt est belle mais elle est aussi monotone. Il y a enfin une limite au trip " tout est mystérieux ", à la posture d'ours impénétrable. On ne sait pas qui est cet homme, où il va. C'est finalement ce générique de fin et le titre qui nous éclairent le plus. Il y a bien un problème.
Première
Los Muertos est un film de petit malin, mais esthétiquement vertigineux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Positif
par Yann Tobin
La vogue actuelle du nouveau cinéma argentin (...) et l'ascèse esthétique toujours prisée par des aristarques justifient-elles l'engouement (...) pour le cinéma d'Alonso, qui admet d'ailleurs que "le spectateur peut presque s'assoupir en dépit de l'agressivité des images ?" En fait, le caractère lénifiant des plans n'a d'égal que l'attitude hautaine de celui qui les signe.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Cinéaste de l'extrême, Alonso supprime radicalement les codes de narration pour signer une lourde parabole sur un pays sinistré et une radiographie peu subtile de la bestialité enfouie en chacun de nous. (...) Le réalisateur confond transcendance du quotidien et transcendance du néant.
Les Inrockuptibles
Le deuxième film de Lisandro Alonso, tourné en pleine nature, ne ressemble à rien de connu dans la fiction (...). Un film itinérant, équivalent rural d'un road-movie, fluide, cru, distillant une certaine angoisse.
Libération
Los Muertos reconduit la formule basique du premier film : quasiment pas de dialogues, un climat indécis de cauchemar ensoleillé, la nature souveraine partout présente et la puissance de gestes élémentaires (...). Le sens du film demeure scellé au plus profond du mutisme du personnage qui nous laisse seul avec notre étonnement et nos questions.
Télérama
Los Muertos, grand film " behavioriste " à la lisière de l'ethnographie, sera ce périple en compagnie d'un repris de justice qui part rejoindre sa fille devenue adulte. (...) La fin est ouverte, tout le film est ouvert, sur une multitude de signes, de sensations et d'appréhensions qui font la richesse incroyable de cet arte povera.
Cahiers du Cinéma
Alonso insiste pour expliquer que Vargas n'a de toute façon pas cette notion d'une spécificité de la vie humaine. (...) Los Muertos est un film linéaire sur un homme unidimensionnel.
Elle
Votre tête lorsque vous en sortirez. Ensuqués. Hébétés. Avez-vous vu un film de terreur ou un poème? On ne sait pas. (...) Désagréable. Inoubliable. Oh, votre tête !
Le Monde
Héritier de Luis Buñuel (...), Lisandro Alonso fait sourdre autre chose que ce qu'il montre (...). Il réussit à nous suggérer, (...) que l'impassibilité de son "héros" est son alibi, que nous avons affaire à un être moins sensuel, plus complexe, (...) qu'il n'y paraît. Le premier film de ce cinéaste radical s'intitulait La Liberté. Ce qu'il nous distille ici, (...), serait-ce la peur, face à l'image d'un homme qui s'est octroyé la liberté de tuer ?
TéléCinéObs
Rien ou presque ne sera dit sur cet homme. Reste la beauté de la nature, filmée de manière sidérante. En un magnifique plan-séquence d'ouverture, où la caméra glisse sur la frondaison de la forêt laissant apercevoir des corps mutilés, Lisandro manifeste l'étendue de ses talents de cinéaste.
Chronic'art.com
Alors que s'écoule Los Muertos, on ressent plusieurs évidences. (...) D'abord que ce n'est pas rien, le second film de Lisandro Alonso (...). Ensuite on sent qu'on tient là un film-à-festival qui fera son effet, sur lequel ils seront au moins quelques-uns à crier au génie. Enfin on n'est pas sûr d'en faire partie, parce qu'on n'est pas sûr de tenir là un objet absolument décisif.
Le Figaroscope
Un film lent, un peu maladroit comme ce canoë qui tente de se frayer un chemin avec difficulté dans les herbes hautes et impénétrables de la jungle amazonienne
MCinéma.com
La forêt est belle mais elle est aussi monotone. Il y a enfin une limite au trip " tout est mystérieux ", à la posture d'ours impénétrable. On ne sait pas qui est cet homme, où il va. C'est finalement ce générique de fin et le titre qui nous éclairent le plus. Il y a bien un problème.
Première
Los Muertos est un film de petit malin, mais esthétiquement vertigineux.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Positif
La vogue actuelle du nouveau cinéma argentin (...) et l'ascèse esthétique toujours prisée par des aristarques justifient-elles l'engouement (...) pour le cinéma d'Alonso, qui admet d'ailleurs que "le spectateur peut presque s'assoupir en dépit de l'agressivité des images ?" En fait, le caractère lénifiant des plans n'a d'égal que l'attitude hautaine de celui qui les signe.
aVoir-aLire.com
Cinéaste de l'extrême, Alonso supprime radicalement les codes de narration pour signer une lourde parabole sur un pays sinistré et une radiographie peu subtile de la bestialité enfouie en chacun de nous. (...) Le réalisateur confond transcendance du quotidien et transcendance du néant.