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Un visiteur
5,0
Publiée le 6 janvier 2015
Haute Sécurité , un film digne des plus grands classique dramatique, de très bons acteurs, de bonnes voix françaises. Puis pour moi Stallone c'est comme De Funès que des 10 ! Pour ceux qui ont jamais vu le film et qui vont le voir, sortez les mouchoirs.
Entre sentiment, morale et action, ce film ne peut qu'etre bien percu par tout les publics. Stallone c'est mon idole et la il explose tout sur son passage , sans pour autant etre le plus gros steak du film, il impose son charisme et jeu d'acteur habituel pour dominer tout le monde...les bras de fer sont trés bien filmé, on s'y croirai, l'histoire a plusieurs rebondissements, bref OVER THE TOP c'est le TOP...jsui fannnnnnnnn
Entre deux scènes de bras de fer où l'on peut magnifiquement admirer les muscles et les grimaces de Stallone, on nous colle des scènes ridicules sur la relation père-fils entre un routier et un gosse de riche. "Over the top" est un film vide et ennuyeux.
Après Rambo II : La Mission, Rocky IV et Cobra, l’image de Sylvester Stallone était devenue celle d’un acteur d’action aux gros bras et sans cervelle loin des velléités dramatiques des débuts de sa carrière. Over the top : Le Bras de fer marque clairement une volonté du comédien de retrouver l’aspect émotionnel de ses débuts. Stallone joue ainsi sur la sensibilité pendant la première heure du film dans ses rapports avec son fils et on y peut y voir une prémisse de ce qu’il développera dans les deux épisodes de Rocky suivantsspoiler: (le discours à son fils préfigure clairement celui plus marquant de Rocky Balboa) . Hélas, Stallone et son producteur-réalisateur (Menahem Golan) semblent avoir peur de jouer totalement sur cela et de mettre de côté l’aspect action star de l’acteur-scénariste et n’évitent pas certaines facilités scénaristiquesspoiler: : les méchants sont caricaturaux et leur développement est limité au minimum, les réactions de violence de Hawks face au grand-père sont stupides car elles lui enlèveraient automatiquement la garde de son fils qu’il désire tant, le voyage clandestin en avion de Michael est très peu crédible, la fin qui cherche à reprendre de manière moins subtile la structure des Rocky est littéralement expédiée après la victoire au bras de fer…
Malgré tout, Stallone arrive une fois de plus à être touchant et prouve à nouveau que l’acharnement des Razzie Awards qui le nommait une fois de plus au Razzie Award du pire acteur était totalement injustifiéspoiler: même s’il grimace de manière caricaturale quand il se concentre avant le match dans le bar . En outre, le film réussi plutôt bien la dramatisation des matchs de bras de fer même si la rapidité de ce sport et les moindres risques physiques encourus par les compétiteurs empêchent d’atteindre la force des combats de la saga Rockyspoiler: . Pour contrer cela, Golan et Stallone adopte une structure dramatique alternant les affrontements et des images d’interviews des candidats qui avait plutôt marqué le public à l’époque (la réplique concernant le retournement de la casquette est restée célèbre).
Over the top : Le Bras de fer est donc une histoire un peu simpliste (nous sommes dans une production Cannon, ne l’oublions pas) mais émouvante qui n’ennuie jamais et reste plaisante par son style typique des années 80 et surtout par son désir d’oublier un peu l’aspect héros d’action de son acteur principal pour privilégier son autre facette : l’émotion ! Hélas, le résultat commercial décevant de ce film marque les débuts d’une phase descendante de la carrière de Stallone.
Avec Over The Top, Menahem Golan réalisé un film d'action dramatique de bonne facture. L'histoire nous fait suivre Lincoln Hawk, un modeste routier pratiquant le bras de fer, qui va devoir s'occuper de son fils qu'il n'a pas vu depuis dix ans à la demande de son ex-femme très malade. Seulement, le grand-père bourgeois de l'enfant va tout faire pour avoir sa garde alors que dans le même temps Lincoln tente de se rapprocher de son fils qui lui est étranger. Ce scénario s'avère plaisant à suivre tout du long de sa durée d'une heure et demie, même si l'intrigue est assez classique et donc sans surprise. Tous les ingrédients nécessaires sont présents pour que le récit fonctionne, à savoir une relation père fils difonctionnelle ainsi qu'un combat aussi physique que moral à mener pour garder l'enfant et s'en sortir financièrement. Car oui, là ou le titre trouve son originalité c'est qu'il nous fait pénétrer dans ce milieu sous stéroïdes du bras de fer, une thématique peu vue à l'écran. Cette discipline virile donne lieu à des scènes d'action statiques d'un nouveau genre pendant lesquels les biceps sont à deux doigts d'exploser. L'équilibre étant bien trouvé entre aspect dramatique et action. L'ensemble est porté par un Sylvester Stallone physiquement taillé pour ce rôle. Il est entouré entre autre par David Mendenhall, Robert Loggia, Susan Blakely ou encore Rick Zumwalt. Les relations entretenues par ces individus tentent de procurer de l'émotion, notamment via ces retrouvailles paternelles un peu trop mal jouées et trop niaises pour parvenir à toucher. Au contraire, elles ont plutôt tendances à provoquer de la moquerie tant c'est trop too much, surtout qu'elles ne sont pas aidés par des dialogues simplets. Sur la forme, la réalisation du cinéaste israélien se veut qualitative. Sa mise en scène est très convenue mais soignée et évolue dans des environnements appréciables. Ce visuel tout en muscles est accompagné par une b.o. aux compositions agréables bien que peu marquantes signée Giorgio Moroder. Ses notes sont en accord avec les images sans pour autant être impactantes. Ce combat personnel, social et physique s'achève sur une fin attendue mais tout de même satisfaisante, venant mettre un terme à Over The Top, qui, en conclusion, est un long-métrage se laissant visionner mais qui est loin d'être un indispensable.
Souvent laissé de côté à l'évocation de la carrière de Sylvester Stallone,"Over the top"(1987)est pourtant très regardable.C'est marrant,mais énormément d'éléments m'ont fait penser à "Rocky IV",avec cette culture de la revanche et de la victoire,célébrée sur du rock FM d'époque.Sauf qu'ici,les enjeux dramatiques sont différents,puisque Stallone,chauffeur-routier ayant abandonné son fils à la naissance,doit renouer les liens avec lui,lors d'un voyage vers Las Vegas,alors qu'il doit participer à un concours...de bras de fer!oui,oui,vous avez bien lu.Ca semble risible,mais la compétition est montrée de façon aussi sérieuse qu'un combat de boxe ou qu'un tournoi d'art martiaux.Stallone s'y défend comme un chef,en jouant ce Rocky Balboa bis.Il est moins à l'aise dans les scènes dites émouvantes,parasitées de plus par une musique omniprésente.Mélange de road-movie,de drame familial et de film sportif;ce film ne brille pas par sa subtilité,mais plutôt par son manichéisme.Et pourtant,il possède un certain charme,et le petit qui joue le fils de Stallone est enthousiasmant.
Ne vous fiez surtout pas à l'affiche : elle vous vend un film d'action pour beaufs (pourquoi cet aigle en arrière-plan ? On cherche encore...), et Over the Top se révèle très vite être un drame familial au scénario bien ficelé, avec beaucoup de bons sentiments, de facilités sur la fin, mais qui fonctionne dans l'ensemble. Sylvester Stallone joue un père revenu sur le tard chercher son garçon à l'institut militaire où ce dernier étudie, pour aller faire un dernier adieu commun à leur femme / mère qui est en phase terminale... Directement, on sait qu'on nous a trompé sur la marchandise (les combats de bras-de-fer ne sont qu'un prétexte pour créer du lien entre ces deux inconnus qui n'ont que quelques jours pour se découvrir), et ce n'est pas plus mal, tant le drame marche bien, avec un twist très attendu (on ne tombe pas vraiment de son siège en apprenant que spoiler: les deux garçons sont arrivés trop tard, que la maman est déjà décédée ) mais le scénario a l'intelligence de l'exploiter à fond (cela remet en question le lien entre père et fils :spoiler: en insistant pour l'emmener en camion, pour lui forcer la main sur leur relation, le père a pris le risque immense de retarder leur arrivée et de rater les adieux à la maman... Un choix égoïste et / ou naïf, selon le point de vue du spectateur). On aime bien la sensibilité (oui, oui, la sensibilité) de Stallone en mode "bon gars papounet", on aime bien l'enfant BCBG qu'il faut apprivoiser lentement, on aime bien le rebondissement des bad guys qui en veulent à cette famille (un peu d'action au milieu du drame, Stallone oblige), on aime les bras-de-fer très bien mis en scène (la tension est palpable)...bref, on aime. C'est niais, certes, très prévisible, mais on y passe un bon moment. Ce n'est absolument pas le film que toute la promo (et le résumé) nous vend, c'est mieux.
Un bon souvenir de gamin que ce film naïf et simpliste mais qui respecte le cahier des charges de tout film d'action des années 80 : drame personnel, dépassement de soi et musique rock bien d'époque pour emballer le tout. Le film a plutôt mal vieilli et c'est avec un sourire nostalgique qu'on (re)découvre ce qu'était le sommet de la coolitude il y a trente ans : des coupes (de cheveux et de vêtements) pas possibles et des gros camions. On a également un peu de mal à imaginer qu'une compétition de bras de fer puisse ainsi déchaîner les foules, mais ma foi, aux Etats-Unis tout est possible ! A revoir avec ses yeux d'enfant (vous savez, ceux qui acceptent sans broncher que des matchs de foot de poussins se déroulent dans des stades bondés de 80 000 personnes) pour une histoire qui est plutôt belle.
Over the Top : Le Bras de Fer est un film plutôt sympathique de Sylvester Stallone. Abordant le registre du film familial (un road-trip où un père et son fils qu'il n'a pas vu depuis sa naissance), le film réussit plutôt son coup. La thématique du bras de fer n'est finalement qu'un élément de décor pour que les deux personnages apprennent à s'apprécier. Les acteurs jouent plutôt bien (même le jeune enfant, ce qui est plutôt rare pour être noté). Ce n'est pas forcément le meilleur film de la carrière de Stallone (il n'en a pas la prétention), mais il constitue un bon divertissement.
Cette réalisation est dans la même veine que les Rocky en ce qui concerne le côté touchant des relations entre les personnages principaux, ici entre un père et son fils qui ne le connait pas et qui le découvre peu à peu. On retrouve aussi un personnage simple incarné par Sylvester Stallone, ce qui avait fait le succès de la saga. Par opposition, sans surprise on perd le côté spectaculaire, puisqu'un bras de fer l'est forcément moins qu'un match de boxe, malgré les efforts faits pour rendre les bras de fer impressionnants.
Une histoire pleines de tendresse dans un monde de costauds !!! Film que j'ai découvert ayant le meme age que le petit garçon de Stallone au début des années 90, réalisé par le producteur qui lança la carrière de Jean-Claude Van Damme et confirma celle de Chuck Norris, Menahem Golan. Co-écrit par Sylvester Stallone dont on reconnait les messages de moralité comme celui qu'il adresse à son fils dans le film "La vie ne fait pas de cadeau, souviens toi de ça" et autres font penser à la saga "Rocky" à divers orientation de la vie, un message à ses jeunes fans de l'époque. "Over the top le bras de fer" est une histoire de tentative de reconciliation entre un père routier rongé par ses erreurs passés et son fils riche et gaté élevé par son grand père qui lui a raconté toute sa vie des mensonges sur son père. Sur la demande de sa mère mourante, ils apprennent à se connaitre. Mais un film de Stallone sans action n'est pas rentable à l'époque, c'est le bras de fer qui accompagne le film avec un tournoi final à Las Vegas spectaculaire. Un long métrage que j'aime toujours au fil du temps meme s'il faut reconnaitre des défauts par ci par là. Sylvester Stallone est trés bon tout comme le gamin. Divertissant et touchant.
Bien sûr ça frise la madeleine de mon adolescence mais en ayant revu ce film je ne peux que me rendre compte qu'il est encore parfaitement regardable sans rougir . Stallone y est crédible et se montre aussi impliqué que possible de ce rôle de père. Réalisation datée mais les comédiens ont le beau rôle.
Film mythique des années 80, jolie histoire d'amour père/fils, scènes musclées jouissives, musiques inoubliables, tout est là pour en faire un film mémorable de cette fabuleuse époque. Malgré tout le film se veut pompeux, réalisé de manière un peu "téléfilmesque" et assez prévisible. Pour les fans de Stallone et des années 80 !
Stallone au top de sa notoriété, veut casser un peu son image de dur, sans sentiment; voici le film, qui lui permet de casser un peu les codes. Mais pour que ces fans ne soient pas en reste, il faut un peu de testostérone dans cette histoire; alors pas trop de violence, quelques coups de sang, et des bras de fer bien viril. Pour le reste, Stallone se la joue mec normal, l'histoire n'est qu'une suite de poncifs avec un dénouement facile à deviner. On est bien dans cette décennie, le film a pris un coup de vieux mais se laisse regarder sans déplaisir.