Derniers Avis : Speed Racer - Page 26

Je m'attendais à un truc nul en voyant la bande annonce... même venant des frères Wachowski et j'ai été bien surpris.
Même si le début parait très kitch, enfantin et trop american idiot, c'est sympa... et plus on avance dans le film, plus on trouve que c'est sympa et marrant... Il ne s'agit pas seulement d'un film d'effets spéciaux sérieux montrant d'hypothétiques courses futuristes ultra dangereuses mais bien un véritable film de science fiction, qui mèle combat pour la liberté (de gagner une course) et gags en tout genre incessant.
Franchement surpris, franchement bon.

Ce film est une pure merveille.

Quelque part entre Matrix et Charlie et la chocolaterie.
Imprégné d'Orange mécanique, ou des séries télévisées des sixties.
Riche d'une culture populaire que seuls les génialissimes frères Wachowski sont capables de connaitre et de retransmettre avec une telle virtuosité.

Mais ce film, cette oeuvre d'art, ce prototype infernal d'innovation esthétique bourré d'humour pousse loin.
Si loin qu'il peut dérouter et demander à certains une ouverture d'esprit, une capacité à imaginer allant au delà du minimum nécessaire à la compréhension d'une publicité pour une marque de lessive...

Vous êtes parés pour décoller ?
Lachez les freins, et bonne route !

quelle daube...

Malgré un manque d’audace certain (pas de sexe entre autre, et demeure une ambiance aseptisé).Il faut admettre que l’on se complait aisément dans cette surproduction, qui est un vrai régal pour les yeux, en ne nous laissant pas une seconde de répit, et l’ambiance pop art / flashy y apporte une petite originalité non désagréable. Les circuits qui font penser de loin à des circuits en vente dans le magasins de jouets à première vu gagnent en profondeur et en finesse, les scènes de courses sont agréables nous offrant un bon délire visuel.
On se plait à les suivre avec plaisir tout en restant accrocher au fauteuil, passé l’appréhension du premier quart d’heure, de plus il véhicule des valeurs humaines et profondes, non sans talent. Mention bien à la scène du rallye qui est un moment mémorable!
Il s’en est fallut de peu pour que je lui accorde 4 étoiles : mais plusieurs handicaps déçoivent : il manque d’un vrai rival pour faire face au héros, et la pincée déjanté (le frère et son singe lui porte atteinte et ne sera pas du goût de tous), enfin « racer x » n’est pas assez mit en avant
Mais, il s’agit réellement de 2 heures de pur divertissement, un must !!

Hyper decu par ce film qui ne peut toucher que les jeunes spectateurs dont je ne suit pas.a noter quand meme Chritina Ricci que me fait metre 1 etoile.

On arrète tout de suite la comparaison avec "matrix". "speed racer" est un petit film de 2 frangins qui ont dû adoré "tron" à l'époque et passer un peu trop de nuit à jouer à "whipeout" sur psx. Malgré une histoire trés simple (comme tous les films de courses sportives), ce film a un certain charme notamment à cause de l'aspect visuel qui nous explose à la tronche et qui redonnerait la vue à un aveugle...je plaisante... mais je serai partant pour une version en relief. Les acteurs sont biens même si je préfère voir l'excellent Emile Hirsh dans "into the wild".
Le problème de ce film est qu'il a été fait "pour tous", famille à la "pierrafeu" (tiens, tiens encore John Goodman), humour trés gamin... en gros j'aurai adoré le voir à 10-12 ans.
Maintenant, le mérite reviens à l'originalité de l'entreprise mise en scène qui, malheureusement et injustement, a coulé à toute vitesse aux usa... tiens comme "tron" en 82, et pourtant ce film est resté dans les mémoires comme une révolution visuelle donc "speed racer" a ses chances de figurer, quand même dans l'histoire du cinéma.

Les frères Wachowski, à qui l’on doit l’impressionnante et révolutionnaire trilogie sur la Matrice : Matrix (1999) , Matrix Reloaded & Revolutions (2003) adapte au cinéma la série animée Japonaise Mahha Go Go Go (1967) de Tatsuo Yoshida. Et le résultat est pour le moins, inattendu et limite écoeurant !
Un mix entre des comics, des cartoons et des mangas, les frères ont voulu toucher à tout sans chercher à ce que le résultat final soit digeste, si bien que l’on en ressort exténué, mal de crâne et fatigue, après deux longues heures où la première partie paraît interminable face à la seconde qui bizarrement est tout son contraire, plus rapide, plus d’action, plus distrayante. Speed Racer est un film de voitures de courses à conseiller aux enfants, trop colorés, les plans en accélérés s’accumulent devant vos yeux sans pouvoir les voir. Cela va trop vite, on ne peut lors de certaines séquences, rien distinguer ! On a l’impression de voir une partie de jeu vidéo avec de vrais acteurs. D’ailleurs, c’est un peu du gâchis d’avoir réunit un tel panel de stars pour un film si exténuant (Emile Hirsch, Christina Ricci , John Goodman , Susan Sarandon & Matthew Fox). Sans oublier les blagues lourdingues, notamment entre l’enfant et le chimpanzé, trop répétitifs et lassants !

j'vais poster une critique conne je vois que les critiques sont pas terrible! nan mais vous rigolez! ce film est une merveille! apres matrix fabuleux , on tombes dans un tout autres jours qui nous fait retomber un enfance, rever, rigoler dans cette univers kitsh et surfait mais c'ets tout simplement genial! Avec de tres bon acteur en plus!
que demandez de plus?! la banalité ne sert vraiment a rien!

j ai pas accroché du tout a ce genre d images.....mais peut etre que les petits vont aimer....

Speed Racer : des bolides automobiles super gonflés à bloc. Les effets spéciaux hauts en couleur et histoire avec de vraies valeurs humaines. On ne s'ennuie pas sur les circuits c'est plein d'imagination... ça décoiffe !!!

Ni un bon film ni un mauvais film ce speedracer joue plutôt dans la catégorie d'un spykids. Mon fils de 6 ans a adoré les scènes de courses et jouait avec ses pokémons entre les deux. Un bon film pour le 6-10 ans pour les autres attendez le dvd.

L’ovni de 2008. Un film attendu et à la fois redouté. Au final, force est de constater que ce Speed Racer déçoit, faisant office de pétard mouillée, possédant un scénario trop simpliste (certes le film est destiné à un jeune public mais quand même…) qui n’est qu’une excuse à une débauche d’effets visuels trop tape à l’œil. Cela le place dans la catégorie des banales blockbusters estivaux, mais pourtant le potentiel était là. La seule prise de risque a été l’esthétique très particulière et discutable du film qui se veut révolutionnaire, un trip de 120 millions de dollars en gros. Chapeaux. L’ambition était pourtant noble, mais force est de constater que plus les Wachowsky on de moyen, plus leurs œuvres frisent la démesure dans le mauvais sens du terme. Ou est donc passé le temps des "Bound" et "Matrix" premier du nom ?! Coté casting, l’ensemble est plaisant sans ne jamais exceller. Un "beau" gâchis à tout les niveaux, c‘est le cas de le dire.

Epoustouflant, surprenant, bourré de références et d'inventivité, d'une classe qui enterre Sparrow et Spiderman. Les Wachowsky offrent une leçon que Lucas, Sam Ramy, et autres pris dans les méandres du film commercial et formaté, feraient bien de suivre. Le film débute à 800 à l'H pour ne plus s'arrêter. Pas un virage raté! Quand on prend peur qu'une scène tache le film, les frères nous foutent une bonne claque disant "mais pour qui tu nous prend!". Bon, C'est un film pour "enfant". Mais les réa ont parmi leurs références leur propre enfance, Ken le survivant, Dragon ball, Les fous du volant, de nombreux japanims...et bien sur l'esprit F-Zero que le film sublime. Mais l'écart de génération mêlé à un mauvais ciblage du public a nuit fortement à l'image du film. Si les parents pensaient voir Dora, winxclub et autre bouses que leurs rejtons regardent ils ont du être surpris. Pour les autres, on se renseigne sur le film avant de dire "réservé aux moins de 5 ans et aux fans de mangas débilisants", et on se cultive! Ça peu aider. L'œuvre est un hommage à l'enfance et réveille celui qui est en nous. Jamais je n'ai vue de courses si proches de celle que faisaient mes Majorettes dans ma tête. Point de vu réa, le film est un bijou de trouvailles, de rythme, un réel exercice de style. Il est si singulier qu'on pourrait très bien le projeter dans un cinéma d'auteur. Le monde (très travaillé) possède une puissante teinte PopArt, Andy Warhol aurait aimé. Le design est hallucinant. Le tout donne un cachet "PopRetroFuturiste" du plus bel effet. Les plans sont surréaliste à en être indicibles. Mais malgré la vitesse (800Kmh ;)) et les cabrioles chimérique, la lisibilité et parfaite (à l’inverse de Transformers), nos rétines explosent devant la beauté et l’inventivité de la mise en scène, sans parler des combats. Le scénario (pas si nanar que ça) et brillamment narré "où passé et présent se mêlent dans une vraie poésie". Bref, acteur, musique, montage..rien ne cloche, un Chef-d'œuvre

Après le succès mondial de l'estampillé trilogie culte "Matrix" , les frères Wachowski sont de retour avec "Speed racer" , adaptation sur grand écran d'une célèbre série d'animation japonnaise. Le résultat est au final décevant , les réalisateurs prouvent une fois de plus leur savoir-faire en matière d'effets spéciaux encore plus révolutionnaires que jamais , les séquences de courses sont impressionnantes de virtuosité technique et font ballader la caméra dans des endroits encore jamais vu , sans néanmoins faire atteindre au spectateur un summum de jouissance comme l'a fait Tarantino avec ses course-poursuite dans "Boulevard de la mort". En revanche , c'est plutôt régressif du côté du scénario où l'hollywoodianisme des films pour enfants est mis en avant (bons sentiments,musique lancinante destiné à arracher une petite larme,morale des valeurs familiales écoeurantes). Tout ce qu'on pourra dire c'est qu'après la brillante revisitation complexe mais claire de la caverne de Platon dans "Matrix" , Andy et Larry Wachowsky réalisent avec "Speed racer" un grand écart scénaristique assez douloureux pour les sens.

Passé l'apréhension du premier quart d'heure ou on se dit qu'on va avoir mal aux yeux et aux oreilles, on se laisse finalement porté par le film et ses images plus que flashy (pour compenser le ton blafard de la matrice?).
On se prend finalement au jeu.