Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Libération
par Philippe AZOURY
Petite bombe de film où une heure dix durant, dans Téhéran, femmes et hommes se laissent aller à une confession sensuelle, libre, désirante, heureuse, déprimée, frustrée, en colère, pétrie d'hypocrisie (...) Malgré la clandestinité qui seule a rendu possible Tabous, l'existence quoi qu'il en soit d'un film dans lequel on peut voir un religieux et une transsexuelle s'adresser à la suite et sans chuchoter à une caméra tenue par une femme, a valeur de révolution.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Le Figaro
par Brigitte Baudin
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Ces propos recueillis auprès d'Iraniens les plus divers transsexuels, mollahs, médecin, jeunes femmes tracent un portrait assez désespérant de l'Iran contemporain. Le poème, même s'il est assez maladroitement mis en scène, rappelle que cette chape de plomb n'a pas toujours été l'apanage de l'Iran et que Les Mille et Une Nuits font aussi partie de la tradition persane.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
C'est au bout du compte, à travers ces images et ces paroles, au spectacle de la formidable hypocrisie et de la schizophrénie galopante qui règnent aujourd'hui dans la société iranienne que nous convie ce film, qui se place ainsi au coeur du débat politique actuellement en cours dans ce pays.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Philippe Scrine
Filmé avec très peu de moyens, la réalisatrice a même tourné, par choix esthétique, la partie fiction en Super 8, Tabous est une intéressante étude sociologique qu'on ne peut que recommander.
Ouest France
par La Rédaction
Un implacable portrait d'une société enfermée dans ses préjugés, ses contradictions, ses diktats et ses traditions.
Positif
par Françoise Audé
La cinéaste dit tenir au contrepoint poétique qui ponctue son film. On ne peut la suivre sur ce terrain allégorique désuet. En revanche, en cinéma direct, son offensive frontale contre les tabous qui polluent la mentalité collective iranienne est percutante.
Première
par Sophie Grassin
Mitra Farahani donne la parole à toutes les générations, aux transsexuels, aux mollahs, et décode frustrations tenaces et arrangements avec les apparences. Ce faisant, elle brise avec un courage soucieux d'éclectisme la loi du silence.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Sans jamais tomber dans le facile réquisitoire antireligieux, Tabous dresse un portrait tout en nuances d'une société complexe où la question du corps, du désir et de l'amour reste un enjeu politique et religieux central.
Télérama
par Cécile Mury
On aimerait plus de clarté dans l'exposition de sujets ici mal connus (...) et l'on se passerait des interludes de fiction, naïvement allégoriques, adaptés d'un poème persan. Mais Mitra Farahani compose, au fil de son documentaire, un portrait engagé, attachant et sans concession de la société iranienne d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
Les interviews faites par Mitra Farahani révèlent combien ces préceptes moraux servent à asservir les femmes. Les intermèdes fictionnels arrivent alors à point nommé pour nous faire espérer qu'au milieu de tant d'hypocrisie, un art d'aimer est encore possible.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
La cinéaste a beau être iranienne et jouer avec les codes de sa culture, son film n'en respire pas moins l'approche classique du reporter de guerre embarqué. (...) Prêcher des convaincus, c'est le crédo de Tabous qui ne s'adresse qu'au public de festival, au spectateur qui aime regarder les infos, se cultiver et s'insurger par plaisir. Le film n'existe que pour souligner des informations pré-existantes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Jean Roy
L'échantillonnage ne suffit pas bien sûr à résumer tout un pays et une époque. Il n'en éclaire pas moins un domaine où tout, là-bas, ne peut se pratiquer que dans le noir.
Cahiers du Cinéma
par Elisabeth Lequeret
Le conte intrigue vaguement, mais le dispositif documentaire ronronne vite. (...) Ce qui frappe, dans Tabous, est moins le monolithisme des propos que la naïveté d'une cinéaste capable de croire que la juxtaposition de paroles en provenance d'univers si divers soient-ils suffit à dessiner un paysage.
Les Inrockuptibles
par La Rédaction
Un catalogue de témoignages sur la sexualité en Iran. Sans intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
Petite bombe de film où une heure dix durant, dans Téhéran, femmes et hommes se laissent aller à une confession sensuelle, libre, désirante, heureuse, déprimée, frustrée, en colère, pétrie d'hypocrisie (...) Malgré la clandestinité qui seule a rendu possible Tabous, l'existence quoi qu'il en soit d'un film dans lequel on peut voir un religieux et une transsexuelle s'adresser à la suite et sans chuchoter à une caméra tenue par une femme, a valeur de révolution.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Ces propos recueillis auprès d'Iraniens les plus divers transsexuels, mollahs, médecin, jeunes femmes tracent un portrait assez désespérant de l'Iran contemporain. Le poème, même s'il est assez maladroitement mis en scène, rappelle que cette chape de plomb n'a pas toujours été l'apanage de l'Iran et que Les Mille et Une Nuits font aussi partie de la tradition persane.
Le Monde
C'est au bout du compte, à travers ces images et ces paroles, au spectacle de la formidable hypocrisie et de la schizophrénie galopante qui règnent aujourd'hui dans la société iranienne que nous convie ce film, qui se place ainsi au coeur du débat politique actuellement en cours dans ce pays.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Filmé avec très peu de moyens, la réalisatrice a même tourné, par choix esthétique, la partie fiction en Super 8, Tabous est une intéressante étude sociologique qu'on ne peut que recommander.
Ouest France
Un implacable portrait d'une société enfermée dans ses préjugés, ses contradictions, ses diktats et ses traditions.
Positif
La cinéaste dit tenir au contrepoint poétique qui ponctue son film. On ne peut la suivre sur ce terrain allégorique désuet. En revanche, en cinéma direct, son offensive frontale contre les tabous qui polluent la mentalité collective iranienne est percutante.
Première
Mitra Farahani donne la parole à toutes les générations, aux transsexuels, aux mollahs, et décode frustrations tenaces et arrangements avec les apparences. Ce faisant, elle brise avec un courage soucieux d'éclectisme la loi du silence.
TéléCinéObs
Sans jamais tomber dans le facile réquisitoire antireligieux, Tabous dresse un portrait tout en nuances d'une société complexe où la question du corps, du désir et de l'amour reste un enjeu politique et religieux central.
Télérama
On aimerait plus de clarté dans l'exposition de sujets ici mal connus (...) et l'on se passerait des interludes de fiction, naïvement allégoriques, adaptés d'un poème persan. Mais Mitra Farahani compose, au fil de son documentaire, un portrait engagé, attachant et sans concession de la société iranienne d'aujourd'hui.
Zurban
Les interviews faites par Mitra Farahani révèlent combien ces préceptes moraux servent à asservir les femmes. Les intermèdes fictionnels arrivent alors à point nommé pour nous faire espérer qu'au milieu de tant d'hypocrisie, un art d'aimer est encore possible.
Chronic'art.com
La cinéaste a beau être iranienne et jouer avec les codes de sa culture, son film n'en respire pas moins l'approche classique du reporter de guerre embarqué. (...) Prêcher des convaincus, c'est le crédo de Tabous qui ne s'adresse qu'au public de festival, au spectateur qui aime regarder les infos, se cultiver et s'insurger par plaisir. Le film n'existe que pour souligner des informations pré-existantes.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
L'échantillonnage ne suffit pas bien sûr à résumer tout un pays et une époque. Il n'en éclaire pas moins un domaine où tout, là-bas, ne peut se pratiquer que dans le noir.
Cahiers du Cinéma
Le conte intrigue vaguement, mais le dispositif documentaire ronronne vite. (...) Ce qui frappe, dans Tabous, est moins le monolithisme des propos que la naïveté d'une cinéaste capable de croire que la juxtaposition de paroles en provenance d'univers si divers soient-ils suffit à dessiner un paysage.
Les Inrockuptibles
Un catalogue de témoignages sur la sexualité en Iran. Sans intérêt.