AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,0
533 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Ils sont vivants ?
5
11 critiques
4
16 critiques
3
25 critiques
2
17 critiques
1
3 critiques
0
6 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
un premier film plus que loupé, qui vous donnera envie de fuir loin de cette salle de ciné sans jamais vous retourner! "Ils sont vivants" ou " Comment gâcher un scénario prometteur" est pour moi la plus grande déception de ce début d'année en terme de film français. Malgré une interprétation de Marina Foïs irréprochable, la réalisation, le rythme, l'écriture, tout reste à revoir. Quant à la relation des deux personnages, plus que floue et brouillon, qui se place comme une rencontre évidente et passionnée là ou le spectateur ne comprends même pas le lien qui peut bien les lier. Pour conclure, en dépit de quelques vérités soulevées par le film sur la situation des migrants en France, ce film est tout bonnement inutile et ennuyeux.
Voilà le film : une caméra à l'épaule et un ennui profond.
La plupart des personnages respirent l'hypocrisie, ce n'est pas ici que l'on va trouver que l'entraide est bénéfique.
Pour terminer un sujet annoncé à l'affiche du film qui n'est pas le sujet du film sauf sauf si on se bouche les yeux.
Fuyez !
La plupart des personnages respirent l'hypocrisie, ce n'est pas ici que l'on va trouver que l'entraide est bénéfique.
Pour terminer un sujet annoncé à l'affiche du film qui n'est pas le sujet du film sauf sauf si on se bouche les yeux.
Fuyez !
Une histoire vraie surprenante et captivante. Une mise en scène juste et réaliste.
Tout petit bémol :Je ne suis pas contre la nudité à l'écran au contraire mais certaines scènes de sexe semblent parfois interminables.
à voir ne serait-ce pour découvrir la réalité de la jungle de Calais.
Tout petit bémol :Je ne suis pas contre la nudité à l'écran au contraire mais certaines scènes de sexe semblent parfois interminables.
à voir ne serait-ce pour découvrir la réalité de la jungle de Calais.
Le bel immigré iranien « sent bon le sable chaud » …et du coup, je ne sais plus trop si le film nous parle du problème des immigrés ou d’une improbable histoire d’amour.
C’est certain, une fois de plus, Marina Fois nous prouve ses qualités de comédienne et Jérémy Elkaïm nous raconte la conversion de Marina et son engagement humanitaire aux côtés des immigrés.
Je me dis: « trop beau pour être vrai » ?
Si on comprend la conversion de Marina pour son « bel immigré », on ne doit pas oublier ce que représente d’ ouvrir grande, sa maison, à l’étranger ???
Pas si facile.....
C’est certain, une fois de plus, Marina Fois nous prouve ses qualités de comédienne et Jérémy Elkaïm nous raconte la conversion de Marina et son engagement humanitaire aux côtés des immigrés.
Je me dis: « trop beau pour être vrai » ?
Si on comprend la conversion de Marina pour son « bel immigré », on ne doit pas oublier ce que représente d’ ouvrir grande, sa maison, à l’étranger ???
Pas si facile.....
Certes, ce film est parfois un peu maladroit mais il a le mérite de susciter le débat et la réflexion. Il est tiré de l'histoire vraie de Béatrice Huret. Qui d'autre que Marina Foïs quand on connait ses engagements pour incarner ce personnage sur grand écran! Au hasard d'une rencontre, cette aide -soignante va tout doucement effacer ses préjugés racistes en devenant bénévole dans la jungle de Calais. Jeremie Elkaïm filme caméra à l'épaule les migrants et associations au coeur du camp. Plus qu'une réelle plongée en immersion dans le quotidien de ces déracinés, cette oeuvre s'assimile plutôt à une histoire d'amour impossible. Elle questionne sur les limites que peuvent outrepasser certains bénévoles (je pense notamment au personnage de Laetitia Dosch). Marina Foïs est une nouvelle fois bouleversante dans son jeu de femme amoureuse jusqu'au-boutiste. Une belle romance sociale.
Inspiré d’une histoire vraie, le premier long-métrage de Jérémie Elkaïm, sorti en 2021, évoque la relation amoureuse entre une femme française (impeccablement interprétée par Marina Foïs) et un clandestin iranien en transit dans la jungle de Calais. Le titre du film reste astucieux avec cette double lecture qui rappelle que ces sans-papiers sont avant tout des êtres humains et que leur destin n’est pas funeste. Au-delà du sujet de fond, abordé avec une maîtrise parfois proche d’un documentaire, l’histoire sentimentale entre ces deux individus manque de conviction. L’approche qu’en fait le réalisateur comporte des raccourcis et des maladresses. On a du mal à y croire et à être emporté. Bref, une œuvre dramatique avec des qualités mais malheureusement inaboutie car trop axée sur une relation charnelle.
Merveilleuse Marina Foïs. Dans une des dernières scènes du film, dans un long plan-séquence où elle revient chez elle, au volant de sa voiture, après avoir aidé son amant migrant à essayer de gagner l’Angleterre sur une embarcation de fortune, on la voit passer des larmes au rire, puis de nouveau aux larmes, déchirée pour elle et heureuse pour lui. Du travail d’acteur certes, mais tous n’y réussissent pas avec ce naturel et cette simplicité, cette conviction sans pathos qui déclenche l’empathie.
Quel rôle singulier que celui de cette aide-soignante qui va forger elle-même son destin, en déjouant les ambiguïtés de ses propres préventions, de ce racisme qui menace aussi les plus déshérités dont le regard est voilé par la misère qui les entoure et qui les étreint. Jusqu’à rencontrer les yeux lumineux qui vous éblouissent et qui vous font vous donner totalement à l’autre. Loin de son humour décalé et pince sans rire qu’on aime tant, Marina Foïs ici nous bouleverse. Une grande, une très grande actrice pour un film nécessaire et généreux, qui intelligemment s’écarte du documentaire pour, au travers une superbe histoire d’amour, nous montrer néanmoins que cette infinie douleur est à nos portes.
Quel rôle singulier que celui de cette aide-soignante qui va forger elle-même son destin, en déjouant les ambiguïtés de ses propres préventions, de ce racisme qui menace aussi les plus déshérités dont le regard est voilé par la misère qui les entoure et qui les étreint. Jusqu’à rencontrer les yeux lumineux qui vous éblouissent et qui vous font vous donner totalement à l’autre. Loin de son humour décalé et pince sans rire qu’on aime tant, Marina Foïs ici nous bouleverse. Une grande, une très grande actrice pour un film nécessaire et généreux, qui intelligemment s’écarte du documentaire pour, au travers une superbe histoire d’amour, nous montrer néanmoins que cette infinie douleur est à nos portes.
Bravo , un film à ne pas manquer.
Une histoire vraie touchante ,prenante,une belle histoire d'amour,une belle leçon de vie.
J'ai adoré , je vous recommande ce film .
Un amour impossible, incroyable et qui dure ..
Bravo à Béatrice Huret et bravo à Marina Fois.
Une histoire vraie touchante ,prenante,une belle histoire d'amour,une belle leçon de vie.
J'ai adoré , je vous recommande ce film .
Un amour impossible, incroyable et qui dure ..
Bravo à Béatrice Huret et bravo à Marina Fois.
Une belle occasion de voir le film adapté du livre de Béatrice Huret "calais mon amour" l'histoire d'amour improbable dans la jungle de Calais. Deux personnages totalement différents mais un regard a suffi pour les réunir. Ils ont bravé les interdits en s'aimant.
Marina Fois a été exceptionnelle elle fut entière.
Je vous invite à voir ce film !
Marina Fois a été exceptionnelle elle fut entière.
Je vous invite à voir ce film !
FaRem
Pour son premier long-métrage, Jérémie Elkaïm adapte le roman de Béatrice Huret, une ancienne sympathisante FN qui est tombée amoureuse d’un réfugié iranien. Dans le film, Béatrice n'est pas forcément présentée comme une raciste même si elle a quelques réflexions déplacées, on a surtout l'impression que c'est le fait de fréquenter son mari qui l'a rendue comme ça. Un mari qu'elle ne regrette d'ailleurs pas, car il la battait. Je n'étais pas très emballé par ce film, car j'imaginais déjà les poncifs habituels d'un drame social et c'est malheureusement tout ce que ce film propose. Au cours de la première partie du moins avec Béatrice qui change de position au contact des migrants et des travailleurs sociaux. La deuxième est plus douce, plus axée sur les sentiments et les émotions avec ces deux êtres qui se trouvent et se comprennent malgré la barrière de la langue. C'est sincère et délicat, mais je n'ai pas réussi à m'attacher à ces deux personnages ou à m'intéresser à leur histoire.
velocio
2016 : Habitante de Calais, Béatrice, 45 ans, aide soignante dans un service de gériatrie, vient de perdre son mari, un fonctionnaire de police alcoolique et violent. Elle vit avec sa mère et son fils. Un concours de circonstance l'amène dans ce qu'on appelait la jungle de Calais et cela lui donne l'idée de se débarrasser des habits laissés par ce mari qu'elle avait cessé d'aimer depuis longtemps en les laissant à des gens qui s'occupent des migrants. Un geste plutôt étonnant vu qu'elle n'a aucune sympathie pour les immigrés et les migrants, bien au contraire. Béatrice va toutefois se laisser gagner par le désir d'aider ces gens dans le besoin, d'autant plus qu'il y a parmi eux un iranien qui ne la laisse pas indifférente. "Ils sont vivants" est inspiré par "Calais mon amour", récit de Béatrice Huret sur ce qu'elle avait réellement vécu et qui avait failli l'envoyer en prison pour " "aide à l'entrée, à la circulation ou au séjour irréguliers d'un étranger en France en bande organisée". Savoureux lorsqu'on sait que cette femme avait eu plus que des sympathies avec le FN ! Comme quoi, il ne faut jamais totalement désespérer totalement de l'âme humaine. Bien servi par l'excellente prestation de Marina Foïs dans le rôle de Béatrice, ce premier film réalisé par le comédien Jérémie Elkaïm est sympathique quant au fond et inégal quant à la forme, avec, d'un côté, quelques très belles scènes et, de l'autre, quelques maladresses et quelques longueurs inutiles. Et puis, on regrette d'avoir à se coltiner l'horripilante comédienne Laetitia Dosch pendant une partie du film.
La renaissance d’une jeune veuve qui découvre la solidarité et retrouve le désir dans la jungle de Calais. Un drame charnel mais souvent caricatural et tirant en longueur, porté néanmoins par l’interprétation vibrante et émouvante de Marina Fois. 2,75
Bienvenue dans la jungle. Là bas, libre continent sans grillage. Moi tarzan, toi Jane, la lionne rêve de marécage et de zones humides, lui de courage. Harmonie charnel magnifiquement mit en valeur. Et toi tu rêves de partir.
Entre certaines mains, cette histoire vraie aurait pu donner une romance édulcorée, une bouillie de bons sentiments. Son réalisateur évite cet écueil avec un film bien ancré dans la dure et crue réalité qui va faire entrer en collision l’enfer d’un camp de migrant avec le quotidien banal d’une récente veuve xénophobe. Le mélange se révèle troublant, puissant, haletant, le tout admirablement incarné par Marina Fois et Seear Kohi.
Ils sont vivants, est un film prenant, c’est quand même impressionnant d’incarner un rôle comme celui si aussi bien, avec tant d’implication ça se ressent.. Formidablement joué, impressionnant de justesse, Marina Foïs a vraiment beaucoup de talent ! Pour ce qui est de la prise de position vis à vis du film on est pas obligé d’adhérer, et des fois on se sent gêner.. Mais c’est peut être aussi ça la force du film.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse