AlloCiné
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un film trop lent , pas convaincant , trop de sexe , l'amour pas vu ....je sais que dans ce contexte c'est compliqué ....
Marina Fois joue très bien dans ce film, plein d'humanité et de désespoir de voir tous ces humains rejetés, ce film fait réfléchir sur ce monde en détresse et si dur ...
Merci à Marina d'incarner aussi bien Béa. Ils nous à tous suffit de fermer les yeux pour voir, sentir, entendre mon amie. Ce film est un pur bonheur de tolérance.
Que ceux qui critiquent, n'oublient pas que dans des temps pas si lointain que cela, leurs parents, grands parents, arrières grands parents se sont eux aussi exilés pour échapper aux bombardements et à la guerre. Donc mettez vous à la place de ces personnes qui fuient pour échapper pour certains au pire.
Que ceux qui critiquent, n'oublient pas que dans des temps pas si lointain que cela, leurs parents, grands parents, arrières grands parents se sont eux aussi exilés pour échapper aux bombardements et à la guerre. Donc mettez vous à la place de ces personnes qui fuient pour échapper pour certains au pire.
Émouvant, touchant, poignant...
Une réelle émotion nous traverse durant toute la durée du film et invite à la prise de conscience
Un film à ne pas rater en 2022 !
Une réelle émotion nous traverse durant toute la durée du film et invite à la prise de conscience
Un film à ne pas rater en 2022 !
Film vu en avant première le VENDREDI 18 FEVRIER 2022 au cinéma LES STARS de BOULOGNE SUR MER en présence de l'auteur du libre CALAIS MON AMOUR Mme HURET Béatrice.
Je ne souhaite pas faire de politique de comptoir comme d'autres et sortir des grandes phrases philosophiques pour refaire le monde... C'est un beau film de CINEMA qui comme tous les FILMS DE CINEMA raconte UNE HISTOIRE!
Histoire tirée d'un livre qui relate d'une histoire vraie... ET oui cette histoire d'amour est bien vraie bien réelle!
Le scénariste a donc écrit une histoire pour un film de cinéma, le réalisateur a pris un point de vue, son point de vue...
Ce film est à voir si vous avez envie de regarder un film qui relate d'une VRAIE histoire d'amour dans un contexte calaisien certes qui n'est pas le MONDE DES BISOUNOURS!
Bravo à toi Béa et à Mokhtar d'avoir dépasser toutes ces épreuves, tous ces obstacles et qu'ils ont été nombreux... par votre AMOUR, UN VRAI AMOUR avec un grand A!
Je ne souhaite pas faire de politique de comptoir comme d'autres et sortir des grandes phrases philosophiques pour refaire le monde... C'est un beau film de CINEMA qui comme tous les FILMS DE CINEMA raconte UNE HISTOIRE!
Histoire tirée d'un livre qui relate d'une histoire vraie... ET oui cette histoire d'amour est bien vraie bien réelle!
Le scénariste a donc écrit une histoire pour un film de cinéma, le réalisateur a pris un point de vue, son point de vue...
Ce film est à voir si vous avez envie de regarder un film qui relate d'une VRAIE histoire d'amour dans un contexte calaisien certes qui n'est pas le MONDE DES BISOUNOURS!
Bravo à toi Béa et à Mokhtar d'avoir dépasser toutes ces épreuves, tous ces obstacles et qu'ils ont été nombreux... par votre AMOUR, UN VRAI AMOUR avec un grand A!
J'ai eu l'occasion de voir une avant première, je n'ai pas pu aller jusqu'au bout. Je ne suis pas spécialement politisé mais cette démarche de faire des films dégoulinants de propagande gauchiste outrancière me répugne. Marina Fois était bien meilleure lorsqu'elle faisait des blagues sur le pipi et le caca du temps de Canal .
N'allez pas voir cet immonde navet réservé à un public issu d'un microcosme de pathétiques bourgeois de bord de Seine.
N'allez pas voir cet immonde navet réservé à un public issu d'un microcosme de pathétiques bourgeois de bord de Seine.
Il ne faut pas croire les trolls qui traitent le film de propagande sans l'avoir vu ! C'est avant tout un vrai film de cinéma, avec un geste de cinéaste et une écriture subtile. C'est un film fort car il ne ressemble qu'à lui même : c'est un film sans manichéisme et qui ne sombre pas dans le psychologique, on est dans un élan de vie du début à la fin. Marina Foïs est incroyable dedans, elle mérite vraiment un César. Je n'ai pas vu le temps passer et le film continue de me travailler depuis que je l'ai vu, il me reste des images, des scènes. Il faut noter -c'est intéressant- qu'il n'y a jamais de musique jusqu'à la toute fin, contrairement à ce que la bande-annonce laisse croire. Pour moi c'est un premier film très fort.
Tres bon film convaincant, tenu par Marina Fois notamment. Pas de longueur, le ton est juste. On reconnaît la touche de Jeremie Elkaim dans les très belles scènes sensuelles entre Marina Fois et le migrant iranien. Réflexion intéressante sur les migrants et l'aide qu'on peut leur apporter. Un attachement se crée forcément avec eux, et pourtant il faut savoir les laisser partir pour qu'ils réalisent leurs projets. Je recommande
PLR
J’ai toujours quelques scrupules ou plutôt réserves à révéler que je n’ai ressenti aucun enthousiasme lorsqu’il s’agit d’un scénario inspiré ou adapté d’une histoire vraie. Je ne me sens pas légitime à juger des faits, des événements, du contexte, des personnages, de leurs interactions, de leurs décisions… Mais au cinéma, je veux bien quand même vibrer, m’interroger, réagir, réfléchir. Là, pas grand-chose. Les secrets de tournage nous révèlent que l’idée n’était pas de faire un film militant, de ne pas tomber dans la bien-pensance facile. Ce que ce type de sujet porte facilement. De ce point de vue là c’est réussi. Mais vu du côté du spectateur qui vient chercher quelque chose, sans forcément savoir quoi (c’est ça la surprise et le plaisir d’un scénario), il manque des choses. Quand les notes qui accompagnent les critiques sont aussi étalées qu'ici c'est un signe que ça n'accroche pas trop auprès du public.
Organique
Pour son 1er film en tant que réalisateur, Jérémie Elkaïm a choisi d’adapter le récit autobiographique de Béatrice Huret, Calais mon amour. Gros risque mais payant. Veuve depuis peu, Béatrice vit avec son fils et sa mère. Sa rencontre avec Mokhtar, enseignant iranien arrivé clandestinement en Europe, va bouleverser son quotidien et ses convictions. Par amour pour lui, elle va devoir défier les préjugés de son entourage et les lois de son pays. Il a su éviter la bluette sur fond de crise des réfugiés, ou le film à thèse, désincarné, faux nourrie à la bien-pensance facile. 122 minutes qui tiennent en haleine malgré quelques défauts inhérents à une première derrière la caméra.
Même si la romance prend sans doute trop vite le pas sur les problèmes de la « jungle » de Calais, dont on s’éloigne un peu trop, le scénario a réussi à traiter cette histoire de façon incarnée et intime, à faire vivre les échanges de regard et l’attirance à fleur de peau des personnages, en mettant le politique dans la chair et l’inconscient du film. Ici, c’est le désir charnel et l’acte sexuel qui unissent le couple de héros, rendant ainsi absurde et révoltante l’idée que les lois et les frontières les séparent. Personnellement, près de deux heures avec une caméra à l’épaule qui privilégie les gros plans, c’est à la limite du supportable et on ne saurait trop conseiller une dose massive de Primpéran avant la séance. Mais, heureusement la distribution est éblouissante et sublime ce drame intimiste.
Marina Foïs est décidément une grande actrice capable de tout faire. Elle le prouve ici une nouvelle fois avec force et conviction. On découvre, face à elle, ce très bon acteur afghan, Seear Kohi, très convaincant lui aussi. Le reste du casting est à la hauteur avec Laetitia Dosch, Igor Van Dessel, Antoine Chappey ou Geneviève Mnich. Pour le reste, Jérémie Elkaïm et son équipe ont fabriqué un lieu qui ressemble à la fameuse jungle, détruite aujourd’hui, et ont fait appel à des gens qui l'ont réellement connue - et qui ont désormais leurs papiers -, pour jouer dans le film. Réalisme assuré pour un des bons films du moment.
Pour son 1er film en tant que réalisateur, Jérémie Elkaïm a choisi d’adapter le récit autobiographique de Béatrice Huret, Calais mon amour. Gros risque mais payant. Veuve depuis peu, Béatrice vit avec son fils et sa mère. Sa rencontre avec Mokhtar, enseignant iranien arrivé clandestinement en Europe, va bouleverser son quotidien et ses convictions. Par amour pour lui, elle va devoir défier les préjugés de son entourage et les lois de son pays. Il a su éviter la bluette sur fond de crise des réfugiés, ou le film à thèse, désincarné, faux nourrie à la bien-pensance facile. 122 minutes qui tiennent en haleine malgré quelques défauts inhérents à une première derrière la caméra.
Même si la romance prend sans doute trop vite le pas sur les problèmes de la « jungle » de Calais, dont on s’éloigne un peu trop, le scénario a réussi à traiter cette histoire de façon incarnée et intime, à faire vivre les échanges de regard et l’attirance à fleur de peau des personnages, en mettant le politique dans la chair et l’inconscient du film. Ici, c’est le désir charnel et l’acte sexuel qui unissent le couple de héros, rendant ainsi absurde et révoltante l’idée que les lois et les frontières les séparent. Personnellement, près de deux heures avec une caméra à l’épaule qui privilégie les gros plans, c’est à la limite du supportable et on ne saurait trop conseiller une dose massive de Primpéran avant la séance. Mais, heureusement la distribution est éblouissante et sublime ce drame intimiste.
Marina Foïs est décidément une grande actrice capable de tout faire. Elle le prouve ici une nouvelle fois avec force et conviction. On découvre, face à elle, ce très bon acteur afghan, Seear Kohi, très convaincant lui aussi. Le reste du casting est à la hauteur avec Laetitia Dosch, Igor Van Dessel, Antoine Chappey ou Geneviève Mnich. Pour le reste, Jérémie Elkaïm et son équipe ont fabriqué un lieu qui ressemble à la fameuse jungle, détruite aujourd’hui, et ont fait appel à des gens qui l'ont réellement connue - et qui ont désormais leurs papiers -, pour jouer dans le film. Réalisme assuré pour un des bons films du moment.
Ok le film est issu d'une histoire vraie, une bonne base en qque sorte .Ensuite j'ai été extrêmement déçue par l'absence d'indicateurs,et du cheminement qui mènent au revirement idéologique de Béatrice .La caméra galope surtout sur le site de la jungle et la route , à l'opposé elle s'arrête un peu trop longuement sur les corps au point où l'on a envie de fermer pudiquement la porte sur leurs ébats: qu'est-ce qui justifie une telle lourdeur? .
Prenez une histoire d'amour improbable sur fond de bons sentiments prosélytiques, saupoudrez d'attitudes irréalistes, arrosez d'une réalisation à la ramasse, et vous obtenez ce drame barbant où même l'excellente Marina Foïs ne parvient pas à relever le niveau. Jérémie Elkaïm rate totalement le coche pour son premier long-métrage.
Film de propagande gauchiste, Une femme se trouvant un migrant parce que les hommes blancs ont été trop émasculé par les féministes !!!!!!
Tout ce film n’est que fiction la vraie réalité dès la vie n’est pas une histoire d’amour, mais la simple nécessité d’avoir des papiers français, ou encore le nombres de femmes agressé dans la rue pas ses mêmes super migrant.
On voit clairement dans se film le problème !
Comment un afghan peut il laisser une femme être une femme car leur religion a pour but de réduire la femme au rang d’object.
Il serait temps que la bien pensance cesse d’essayer de nous manipuler avec des films et de la propagande pro immigrasionniste !
Tout ce film n’est que fiction la vraie réalité dès la vie n’est pas une histoire d’amour, mais la simple nécessité d’avoir des papiers français, ou encore le nombres de femmes agressé dans la rue pas ses mêmes super migrant.
On voit clairement dans se film le problème !
Comment un afghan peut il laisser une femme être une femme car leur religion a pour but de réduire la femme au rang d’object.
Il serait temps que la bien pensance cesse d’essayer de nous manipuler avec des films et de la propagande pro immigrasionniste !
C’est le premier long-métrage réalisé par Jérémie Elkaïm. Pour écrire le scénario avec Gilles Marchand (Seules Les Bêtes) et Arthur Cahn, ils vont adapter l’histoire de Béatrice Huret écrite par Catherine Siguret dans “Calais mon amour”. Ils sont vivants a été sélectionné au Festival du Film Francophone d'Angoulême 2021.
Une partie de ce drame va donc se passer dans la Jungle de Calais. Cet ensemble précaire de camps de migrants et de réfugiés s’est installé dans les années 2000. Entre les changements de politique migratoire internationale, et la fermeture du centre d'hébergement, la situation s’aggrave. Désormais, plus de 9000 personnes attendent de pouvoir passer en Angleterre. Depuis le Traité du Touquet, c’est la France qui contrôle la frontière britannique.
C’est donc dans ce contexte que va se présenter à nous cette belle histoire. Alors que Béatrice était sympathisante d’extrême droite, la mort de son mari va changer la donne. On va la voir passer de « trop de noir et d’arabe » à une romance avec un sans papier. Le cadre met du temps à s’installer. Ceci est une bonne chose, car ça ne rend que plus fort les événements et surtout de la cohérence. Une fois que cette histoire d’amour est partie, il n’y a plus qu’à savourer.
Malheureusement, plusieurs éléments à côté vont venir un peu déranger. Déjà, il y a la présence de cette journaliste insupportable. Laetitia Dosch est assez agaçante. Plus le temps avance moins elle arrive à se démarquer positivement. Le plus gênant vient des personnages des migrants. Ceux-ci ont un parcours riche en expériences. En revanche, cela ne va pas être partagé avec nous. Il manque cruellement cette exploration du pourquoi de cet exode de leur pays. On en apprend par exemple un peu sur Mokhtar, mais ce n’est largement pas assez.
Ce qui est dommage, car Seear Kohi a tout pour réussir. Déjà que sa performance est géniale alors en plus avec plus de continus ça aurait été superbe. Sa complicité avec Marina Foïs est top. Les deux font naître l’amour. Les passagers purement physiques vont prendre un peu trop de place. Surtout qu’ils ne sont pas filmés de façon artistique.
Une partie de ce drame va donc se passer dans la Jungle de Calais. Cet ensemble précaire de camps de migrants et de réfugiés s’est installé dans les années 2000. Entre les changements de politique migratoire internationale, et la fermeture du centre d'hébergement, la situation s’aggrave. Désormais, plus de 9000 personnes attendent de pouvoir passer en Angleterre. Depuis le Traité du Touquet, c’est la France qui contrôle la frontière britannique.
C’est donc dans ce contexte que va se présenter à nous cette belle histoire. Alors que Béatrice était sympathisante d’extrême droite, la mort de son mari va changer la donne. On va la voir passer de « trop de noir et d’arabe » à une romance avec un sans papier. Le cadre met du temps à s’installer. Ceci est une bonne chose, car ça ne rend que plus fort les événements et surtout de la cohérence. Une fois que cette histoire d’amour est partie, il n’y a plus qu’à savourer.
Malheureusement, plusieurs éléments à côté vont venir un peu déranger. Déjà, il y a la présence de cette journaliste insupportable. Laetitia Dosch est assez agaçante. Plus le temps avance moins elle arrive à se démarquer positivement. Le plus gênant vient des personnages des migrants. Ceux-ci ont un parcours riche en expériences. En revanche, cela ne va pas être partagé avec nous. Il manque cruellement cette exploration du pourquoi de cet exode de leur pays. On en apprend par exemple un peu sur Mokhtar, mais ce n’est largement pas assez.
Ce qui est dommage, car Seear Kohi a tout pour réussir. Déjà que sa performance est géniale alors en plus avec plus de continus ça aurait été superbe. Sa complicité avec Marina Foïs est top. Les deux font naître l’amour. Les passagers purement physiques vont prendre un peu trop de place. Surtout qu’ils ne sont pas filmés de façon artistique.
Deux gros points faibles : d'abord, l'essentiel des scènes est filmé caméra à l'épaule (c'est moyennement sympa de donner aux spectateurs l'envie de vomir) ; et puis aussi, des scènes de sexe pas super utiles à l'intensité du récit.
Mais gros point fort : le film se tient plutôt bien, sans effusion extravagante ni jeu d'acteur à côté de la plaque.
Mais gros point fort : le film se tient plutôt bien, sans effusion extravagante ni jeu d'acteur à côté de la plaque.
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