Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
« Ils sont vivants » s’inspire de l'histoire vraie de Béatrice Huret avec autant de sensibilité que de sensualité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par La Rédaction
Un drame charnel qui évite l'écueil des bons sentiments.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Une infirmière en deuil, amère et xénophobe, se surprend à être émue par la misère d’un camp de réfugiés. Parmi eux, un beau professeur iranien va fracturer ses certitudes et rendre un sens à sa vie. Voilà l’histoire de Béatrice Huret, telle qu’elle l’a écrite dans Calais, mon amour, et désormais portée à l'écran.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Inspiré d’une histoire vraie, le premier film de l’acteur Jérémie Elkaïm semble chercher les difficultés. (...) En privilégiant l’énergie inquiète de ses héros, il met en scène cet humanisme qui, des mots aux actes, exige du courage et de l’abnégation. Et offre à ses deux comédiens une partition dont ils s’emparent magnifiquement
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Pour ce premier long métrage, la caméra sensuelle de Jérémie Elkaïm donne à ressentir l’éveil des sentiments et des corps. Ils sont vivants échappe aux écueils de la bluette et du manichéisme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Premier long de l’acteur Jérémie Elkaïm, Ils sont vivants montre assez vite qu’il a le cœur à la bonne place : le film navigue en zone grise, n’hésitant pas à démonter les clichés, cherchant avant tout à montrer une vérité. Et y arrive, au prix d’un numéro d’équilibriste parfois glissant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Katell Pouliquen
Marina Foïs se révèle bouleversante.
Ouest France
par Thierry Chèze
Une sensualité qui lui permet de transcender son sujet et sortir des sentiers battus.
Positif
par Ariane Allard
Ce côté rugueux, vivant, à fleur de peau, détourne judicieusement ce long métrage de la bluette.
Télérama
par Guillemette Odicino
Visage buté, muscles tendus dans le plaisir comme le combat pour la liberté de cet autre tant aimé, Marina Foïs compose une Béatrice complexe, jamais mièvre, surprise et presque rétive devant sa propre métamorphose. L’incarnation parfaite d’une femme dure qui devient forte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une romance sur fond de réalité sociale, filmée au plus près, comme une urgence.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
C’est beau, c’est bien, mais on pourra reprocher à Ils sont vivants d’être digressif, de prendre le risque de négliger la misère dans laquelle s’inscrit cet amour, de ne faire que de trop brèves incursions dans la « jungle » de Calais et d’oublier la colère et le désespoir, ébloui par la lumière de ce si grand amour.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pour son premier film en tant que réalisateur, le comédien Jérémie Elkaïm évite les pièges que lui tendait cette romance tirée d’une histoire vraie. Ni documentaire militant, ni dénonciation misérabiliste, il filme sans pathos cette relation a priori inenvisageable sur laquelle il jette une lumière très crue.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
A la fois charnel et compassionnel, sentimental dans sa forme la plus pure, ce film respirant et vibrant surprend : le romanesque de cet amour impossible, né dans une situation impossible, a intrinsèquement une portée qui le dépasse. Il nous oblige à remettre en question notre regard sur les exilés.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Adaptée d’une histoire vraie, cette chronique foncièrement humaniste et réaliste raconte l’histoire d’amour finalement possible entre deux solitudes qu’a priori tout semble opposer.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Un premier long métrage convaincant.
Le Parisien
par La Rédaction
En donnant des visages à ces déracinés, en montrant leur quotidien et celui des bénévoles, le film vient toucher notre humanité et gratter là où ça fait mal. Même s’il manque parfois de nuances, on assiste à de jolies scènes de tendresse, au sein de ce couple qui ne parle pas la même langue.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Thierry Chèze
Elkaïm filme ces corps comme aimantés et ce désir plus fort que tout avec une sensualité qui emmène ce long métrage loin du banal film à sujet. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Une histoire bien réelle entre un réfugié et une aide-soignante interprétée par Marina Foïs.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Inspiré d’une histoire vraie, ce récit initiatique, malaisant, montre la misère de la « jungle » de Calais, l’absurdité des politiques migratoires, la xénophobie... tout en brossant un portrait subtil de cette femme (Marina Foïs, superbe), qui va reconsidérer peu à peu ses valeurs.
Télé Loisirs
par É. Lo.
Basé sur une histoire vraie, ce film touche, porté par l'alchimie entre Marina Foïs et Seear Kohi (vu dans la série Homeland).
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
En s’intéressant au problème tristement célèbre de la jungle de Calais, Jérémie Elkaïm échappe de justesse à la caricature grâce à l’interprétation magistrale de sa comédienne principale, Marina Foïs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
Pour son premier long métrage, Jérémie Elkaïm semble avoir voulu éviter toute mièvrerie : Béatrice ne s’affirme d’abord que dans le cynisme, et tous les échanges humains frôlent la violence. Une caméra tremblotante jusqu’à la nausée, faussement détachée, ne parvient pas à dissimuler la sur-écriture de chaque détail qui jalonne le revirement idéologique de Béatrice.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
À force de vouloir tout équilibrer, Ils sont vivants ne choisit pas et ne décolle jamais.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
« Ils sont vivants » s’inspire de l'histoire vraie de Béatrice Huret avec autant de sensibilité que de sensualité.
Elle
Un drame charnel qui évite l'écueil des bons sentiments.
Femme Actuelle
Une infirmière en deuil, amère et xénophobe, se surprend à être émue par la misère d’un camp de réfugiés. Parmi eux, un beau professeur iranien va fracturer ses certitudes et rendre un sens à sa vie. Voilà l’histoire de Béatrice Huret, telle qu’elle l’a écrite dans Calais, mon amour, et désormais portée à l'écran.
L'Obs
Inspiré d’une histoire vraie, le premier film de l’acteur Jérémie Elkaïm semble chercher les difficultés. (...) En privilégiant l’énergie inquiète de ses héros, il met en scène cet humanisme qui, des mots aux actes, exige du courage et de l’abnégation. Et offre à ses deux comédiens une partition dont ils s’emparent magnifiquement
La Croix
Pour ce premier long métrage, la caméra sensuelle de Jérémie Elkaïm donne à ressentir l’éveil des sentiments et des corps. Ils sont vivants échappe aux écueils de la bluette et du manichéisme.
Libération
Premier long de l’acteur Jérémie Elkaïm, Ils sont vivants montre assez vite qu’il a le cœur à la bonne place : le film navigue en zone grise, n’hésitant pas à démonter les clichés, cherchant avant tout à montrer une vérité. Et y arrive, au prix d’un numéro d’équilibriste parfois glissant.
Marie Claire
Marina Foïs se révèle bouleversante.
Ouest France
Une sensualité qui lui permet de transcender son sujet et sortir des sentiers battus.
Positif
Ce côté rugueux, vivant, à fleur de peau, détourne judicieusement ce long métrage de la bluette.
Télérama
Visage buté, muscles tendus dans le plaisir comme le combat pour la liberté de cet autre tant aimé, Marina Foïs compose une Béatrice complexe, jamais mièvre, surprise et presque rétive devant sa propre métamorphose. L’incarnation parfaite d’une femme dure qui devient forte.
Voici
Une romance sur fond de réalité sociale, filmée au plus près, comme une urgence.
Dernières Nouvelles d'Alsace
C’est beau, c’est bien, mais on pourra reprocher à Ils sont vivants d’être digressif, de prendre le risque de négliger la misère dans laquelle s’inscrit cet amour, de ne faire que de trop brèves incursions dans la « jungle » de Calais et d’oublier la colère et le désespoir, ébloui par la lumière de ce si grand amour.
La Voix du Nord
Pour son premier film en tant que réalisateur, le comédien Jérémie Elkaïm évite les pièges que lui tendait cette romance tirée d’une histoire vraie. Ni documentaire militant, ni dénonciation misérabiliste, il filme sans pathos cette relation a priori inenvisageable sur laquelle il jette une lumière très crue.
Le Dauphiné Libéré
A la fois charnel et compassionnel, sentimental dans sa forme la plus pure, ce film respirant et vibrant surprend : le romanesque de cet amour impossible, né dans une situation impossible, a intrinsèquement une portée qui le dépasse. Il nous oblige à remettre en question notre regard sur les exilés.
Le Journal du Dimanche
Adaptée d’une histoire vraie, cette chronique foncièrement humaniste et réaliste raconte l’histoire d’amour finalement possible entre deux solitudes qu’a priori tout semble opposer.
Le Monde
Un premier long métrage convaincant.
Le Parisien
En donnant des visages à ces déracinés, en montrant leur quotidien et celui des bénévoles, le film vient toucher notre humanité et gratter là où ça fait mal. Même s’il manque parfois de nuances, on assiste à de jolies scènes de tendresse, au sein de ce couple qui ne parle pas la même langue.
Première
Elkaïm filme ces corps comme aimantés et ce désir plus fort que tout avec une sensualité qui emmène ce long métrage loin du banal film à sujet. Une réussite.
Sud Ouest
Une histoire bien réelle entre un réfugié et une aide-soignante interprétée par Marina Foïs.
Télé 7 Jours
Inspiré d’une histoire vraie, ce récit initiatique, malaisant, montre la misère de la « jungle » de Calais, l’absurdité des politiques migratoires, la xénophobie... tout en brossant un portrait subtil de cette femme (Marina Foïs, superbe), qui va reconsidérer peu à peu ses valeurs.
Télé Loisirs
Basé sur une histoire vraie, ce film touche, porté par l'alchimie entre Marina Foïs et Seear Kohi (vu dans la série Homeland).
aVoir-aLire.com
En s’intéressant au problème tristement célèbre de la jungle de Calais, Jérémie Elkaïm échappe de justesse à la caricature grâce à l’interprétation magistrale de sa comédienne principale, Marina Foïs.
Cahiers du Cinéma
Pour son premier long métrage, Jérémie Elkaïm semble avoir voulu éviter toute mièvrerie : Béatrice ne s’affirme d’abord que dans le cynisme, et tous les échanges humains frôlent la violence. Une caméra tremblotante jusqu’à la nausée, faussement détachée, ne parvient pas à dissimuler la sur-écriture de chaque détail qui jalonne le revirement idéologique de Béatrice.
Les Inrockuptibles
À force de vouloir tout équilibrer, Ils sont vivants ne choisit pas et ne décolle jamais.