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    Hôtel du Nord
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    Laurent B
    Laurent B

    2 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 juillet 2021
    Film vieilli dans lequel il ne se passe rien ou presque, « Hôtel du Nord » suscite un tel désintérêt lorsqu’on le regarde au XXIème siècle, qu’on ne parvient même pas à comprendre ce qui a pu retenir l’attention du public lors de sa sortie au siècle passé.
    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    30 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juillet 2021
    "Hotel du nord" est considéré comme un monument du cinéma français et je vais donc commettre une espèce de crime de lèse majesté. Après avoir vu bon nombre de films de l'époque, ce melo très typique des années 30/40 ne parait pas très au dessus du lot, j'en ai vu des meilleurs. Evidemment on ne peut qu'applaudir à 2 mains (et c'est un minimum) les prestations de Louis Jouvet et d'Arletty qui sont servis par la partie la plus croquignolesque des dialogues mais à côté de ca l'histoire elle même (banale) et les scènes entre Annabella et Jean-Pierre Aumont (bien mièvres) plombent le film. 3 / 5
    Pascal
    Pascal

    163 abonnés 1 699 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mai 2021
    "Hotel du nord" est un chef d'œuvre. Le film atteint une perfection à tous les niveaux. Les acteurs, les dialogues (signés Henry Jeanson et Aurenches) écrasent ceux d'Audiard, la réalisation, le film est un modèle. Avec le temps le film a pris un charme fou. Certainement un des meilleurs films de Carné. Pour chercher un point faible, on dira que Jean-pierre Aumont n"est pas à la hauteur des autres acteurs. Un film que tout cinéphile se doit d'avoir vu. Les amateurs exclusifs de blockbusters et de jeux vidéos passeront leur chemin.
    stans007
    stans007

    25 abonnés 1 324 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 avril 2021
    Un chef-d’œuvre de « réalisme poétique » dans les superbes décors reconstitués du Canal Saint-Martin, du Pont-tournant des années 30, avec ses pensions, ses proxénètes et son éclusier cocu. Distribution exceptionnelle. Qualité des dialogues de Henri Jeanson et de la photo. Point faible : le scénario peu crédible.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    202 abonnés 2 519 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2021
    Hôtel du Nord est un film globalement bon, même s'il faut être honnête, ce film est essentiellement connu grâce à la réplique culte d'Arletty « Atmosphère ! Atmosphère ! ». Le film est servie par une très bonne distribution : Louis Jouvet, Arletty, Bernard Blier, ... et l'interprétation est à la hauteur des noms sur l'affiche. L'intrigue tient bien la route et les relations entre les différents personnages de passage à l'hôtel du Nord à base de secret et de non-dits est séduisante. On retrouve le vieux Paris des années 30. Après, ce n'est sans doute pas le film que je retiendrais si je devais en retenir un film de cette époque. Mais ça reste plaisant.
    Jack G
    Jack G

    6 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 avril 2020
    Quelques mois seulement après la sortie du Quai des brumes, son film le plus connu, Marcel Carné adapte au cinéma le premier roman et le plus grand succès littéraire d’Eugène Dabit, L’Hôtel du Nord, écrit près de dix ans plus tôt et récompensé en 1931 par le premier prix du roman populiste (récompense qui porte aujourd’hui le nom de son premier lauréat).
    Dès octobre 1932, Eugène Dabit envisage de porter à l’écran son roman et commence à se rapprocher de Jean Renoir. Mais c’est finalement Marcel Carné qui obtient le projet. Pour la première fois de sa carrière de réalisateur de longs-métrages, ce dernier ne collabore pas avec Jacques Prévert, en voyage aux Etats-Unis pour plusieurs mois, pour la création des dialogues, marquant une pause dans leur fructueuse collaboration depuis Jenny (1936).
    Essentiellement tournée en studio entre septembre et novembre 1938, l’histoire tragiquement belle d’Hôtel du Nord se déroule dans des décors qui semblent vrais mais qui ne le sont pas, reproduisant fidèlement le canal Saint-Martin grâce aux travaux époustouflants de réalisme du chef décorateur Alexandre Trauner, habitué de collaborer avec Carné. Cet esthétisme convaincant est probablement la plus grande force de ce long-métrage.
    Respectant l’unité de lieu (sauf durant quelques secondes où Renée et M. Edmond sont aperçus à Marseille), le cinéaste expert du réalisme poétique entraine le public dans une plongée historique le long du canal Saint-Martin, dans l’ambiance souvent pessimiste, parfois légère, du Paris d’avant-guerre.
    Hôtel du Nord est également connu pour l’une des répliques les plus célèbres du cinéma français, prononcée par l’actrice Arletty sur une écluse du canal Saint-Martin, à un truand qui cherche à se détacher de sa pression et qui espère trouver de l’air en partant pour Marseille : « Atmosphère ! Atmosphère ! Est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ? ». Cette phrase, prononcée avec le parler typiquement parisien des années 1930, cette gouaille à l’accent exagéré et à l’intonation si marquante donnée par l’actrice, a beaucoup participé à la notoriété du film. A elle-seule, cette réplique illustre tout le talent d’Arletty pour s’approprier les dialogues et sa visibilité de premier plan dans un film dont l’actrice est « l’âme », selon les propos de Carné en personne.
    En effet, face à elle, le reste de la distribution fait pâle figure. Dès le départ, Marcel Carné souhaite intégrer une histoire d’amour à cette galerie de personnages voulue par Eugène Dabit, avec l’idée d’ajouter la tension dramatique dont Prévert a toujours été le créateur dans ses dernières réalisations. Néanmoins, malgré ses efforts, la relation entre les personnages interprétés par Annabella et Jean-Pierre Aumont manque d’intérêt et de profondeur, et le scénario dérive pour offrir une place centrale à un autre couple, tumultueux et bien plus charismatique : celui qui est joué par Arletty et Louis Jouvet. Cette prostituée au sale caractère et ce truand énigmatique s’aiment et se repoussent sous le toit de l’hôtel très animé, devenant ainsi les héros du film. Très vite, selon les volontés de Carné et des scénaristes, et avec l’approbation des deux principaux intéressés, le premier couple est relégué au second plan. Et il ne serait pas faire preuve de mauvaise foi que d’affirmer la pertinence de ce choix, quand on voit la pâleur de leurs apparitions et le manque d’intérêt de leur trame scénaristique, alors qu’elles ont déjà été revues à la baisse.
    Comme c’est souvent le cas dans les films français des dernières années avant la guerre, une noirceur et un pessimisme oppressent le film : deux amoureux qui cherchent à se suicider dans une chambre d’hôtel (une histoire étrangement similaire à la chanson d’Edith Piaf, « Les Amants d’un jour »), une vendetta entre truands, un innocent en prison. Néanmoins, cette atmosphère pesante et dramatique parvient à être tempérée par l’humour trivial et les réparties cinglantes de Madame Raymonde, prostituée au sale caractère mais toujours prête à confier une oreille attentive à ses voisins de chambrée. D’autres personnages folkloriques complètent la galerie de seconds rôles familiers du cinéma de l’époque, dont Bernard Blier, un romantique éclusier prêt à se plier en deux pour plaire à la charismatique Madame Raymond.
    Hôtel du Nord présente des forces indéniables. Grâce à une photographie et des décors parfaitement travaillés, ce long-métrage est un véritable témoignage d’une réalité sociale et de l’époque pittoresque du Paris des années 1930, avec son parler cocasse et ses personnages populaires et légers. Le mariage entre lumière et obscurité est lui aussi incroyable, en particulier lors de la scène où, le visage caché dans la nuit et la cigarette à la bouche, M. Edmond révèle sa véritable identité à Renée, sur un banc du canal Saint-Martin. Enfin, perfectionniste jusqu’au bout, Marcel Carné offre une dernière séquence au plan presque identique à celui de la scène d’introduction. La boucle est bouclée.
    Mais malgré ses atouts, il faut reconnaître qu’Hôtel du Nord a très mal vieilli. Ce film d’un autre temps décrit une manière de vivre désuète, avec des interprétations qui donnent parfois l’impression d’être fausses tant les manières et les intonations des comédiens sont exagérées. Le rythme du film souffre de monotonie et l’intrigue manque d’une réelle intensité dramatique. Ce dernier constat est sans doute dû à l’absence de Jacques Prévert, qui savait apporter ce ton dans les précédentes réalisations de Carné, comme il l’a prouvé dans Le Quai des brumes notamment. L’histoire n’est en fait qu’une succession sans profondeur, une galerie de personnages qui se croisent le long de ce canal Saint-Martin. Et ce n’est pas le couple des deux amants suicidaires sans intérêt ni envergure qui permet de captiver le public. Et ne parlons même pas de leurs nombreux changements d’opinions au cours du film. Pierre est déterminé à provoquer la mort de son amante et la sienne, avant de prendre peur et de refuser d’accompagner Renée dans la mort, puis souhaite se jeter sous un train et se ravise. Plus tard, il refuse de parler à sa bien-aimée en prison, et change d’avis une demi-heure plus tard. Quant à Renée, elle ne fait pas mieux : elle veut revivre avec Pierre à sa sortie de prison, puis quitte Paris avec M. Edmond, et change encore d’avis avant d’embarquer pour revenir dans la capitale. D’un ennui à mourir.
    Néanmoins, en dépit de ces travers, à la sortie du film, Arletty est acclamée par les critiques et accède au rang des actrices les plus célèbres, devenant une légende vivante du Paris populaire, au même titre qu’Edith Piaf. Sans grande difficulté, elle détrône une Annabella fade et sans intérêt, à l’image de son personnage. Depuis 1936, l’actrice blonde à la beauté immaculée a immigré aux Etats-Unis pour tenter de faire carrière à Hollywood, sous contrat avec la Fox, après son succès en France. Sollicitée pour revenir jouer dans son pays natal, elle revient à Paris en 1938 pour participer à son seul film français de l’année. Peut-être aurait-il été préférable qu’elle s’abstienne, car montrer son visage virginal ne suffit pas pour être une bonne actrice. Heureusement, Arletty et Louis Jouvet sont là pour maintenir ce film creux à flot.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 955 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 avril 2020
    Un monument du cinèma français d'avant-guerre que l'on ne prèsente plus où Marcel Carnè continue d'exploiter avec bonheur le rèalisme poètique en y dècrivant cette fois la clientèle d'un petit hôtel situè sur les bords du Canal Saint-Martin, quai de Jemmapes, dans le 10e arrondissement! Une distribution royale avec une gouaille bien parisienne : l'immense Louis Jouvet, Arletty et son « Atmosphère ! Atmosphère ! Est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ? » , mais aussi Bernard Blier (« Ma petite reine ! ») , Jane Marken, Paulette Dubost et le couple maudit Annabella-Jean-Pierre Aumont dont l'amour culmine dans un double suicide! La peinture sensible d'un milieu, la vie simple des petits gens qui y vivaient, l'atmosphère de toute une èpoque, le climat noir et dèsespèrè, les dialogues merveilleux de Jeanson...Tout y est parfait dans cette double histoire d'amour contrarièe même le dècor construit sur le terrain jouxtant les Studios de Billancourt! Inoubliable moment de cinèma...
    Hotinhere
    Hotinhere

    570 abonnés 4 995 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2021
    « Atmosphère, atmosphère est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ?».
    Grand classique du cinéma français, une chronique désenchantée aux dialogues sublimes, servis par la gouaille d'Arletty et l'éloquence de Jouvet.
    Roub E.
    Roub E.

    985 abonnés 5 023 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2019
    Dans la série je découvre les classiques aujourd’hui: Hôtel du Nord. Et je le dis sans détour : je n’ai pas accroché plus que cela. Les personnages m’ont intéressés de manière vraiment inégal, de plus l’interprétation pour certains fait un peu datée, trop sur jouée, trop expansive. Ce qui m’a intéressé par contre c’est la plongée dans cette ambiance année 30, ces bancs publics, vin rouge et gauloises, une France laborieuse qui s’amuse au bal du 14 juillet, cette gouaille typique symbolisée notamment par Arletty déclamant une des répliques les plus célèbres du cinéma français. Mais si je fait le bilan même si je lui reconnais des qualités ça ne m’a pas touché.
    JR Les Iffs
    JR Les Iffs

    80 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mai 2019
    Qualité française ! C'est, malgré tout, un bon film de Carné. C'est aussi comme un document d'époque, d'une époque révolue (1938), mais tellement française, avec les petites gens, ouvriers, cafetier, etc. La vie dans un quartier populaire de Paris.
    L'histoire est simplette, genre mélo, mais l'intérêt du film, ce sont les personnages si caractéristiques, joués par de bons acteurs, que dominent bien sûr Louis Jouvet et Arletty. De très bons dialogues de Janson, et une belle photographie en noir et blanc. Et c'est aussi très bien filmé, en extérieur, comme en intérieur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 janvier 2019
    Magnifique anthologie du cinéma, un scénario qui commence en intrigue dramatique, du romantisme mélancolique et un style visuel l’accompagne avec ces jeux d’acteurs pensifs. Des misérables fiancés par les aléas de la vie veulent en finir, unis pour le meilleur et le pire dans la tragédie. spoiler:
    La peine encourue pour tentative d’assassinat est la réclusion criminelle à perpétuité, on ne plaisante pas avec ça dans cette ambiance festive, la veille du 14 juillet. spoiler:
    L’échec des preuves apportées devient un non-lieu, la sortie de prison et spoiler:
    le retour du cours normal redonne espoir en l’amour de la vie. L’homme mystérieux clientèle de « l’hôtel du Nord », planque de miteux populaire et des rencontres bigarrées, spoiler:
    un témoin du crime maladroit qui préfère le camoufler au lieu de le dénoncer, le mac réglera ses comptes avec son entourage et ce passé qui ne cessera de le pourchasser clandestinement. spoiler:
    Ce chef-d’œuvre achevé possède une de ses drôles de tête d’atmosphère avec ces dames au travail du trottoir, de sacré caractère, l’époque 1938 était la vieille France, au bord du canal Saint Martin intemporel peuplé de clochard. Une cohérence de dialogue échangé bien plus mythique que la publicité autour rien que pour le faire découvrir de cette façon, une réaction se laisse envahir, c’est l’émotion recherchée.
    Antoine D.
    Antoine D.

    42 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juillet 2018
    Un jeune couple miséreux se rend à l’hôtel du Nord pour y mettre fin à leurs vies. Le coup est raté et les voilà de retour dans la vie active avec un nouveau foyer: L’hôtel du Nord.

    Le film commence sur une introduction sous forme de grand repas dans un décor modeste mais attrayant qui a pour une unique but de placer tous les personnages.
    Grâce à la mise en scène de Carné, chaque décor prend vie et nous attire inlassablement dans la nostalgie de la vieille France. Et comme les personnages, on est contraint de quitter ce lieu.

    Marcel Carné dispose d’un super casting avec notamment Arletty que j’ai découvert dans Maxime. Avec quelques doutes, sur le départ, ses interprétations sont toujours remarquées et se distinguent des autres personnages en arrivant même à éclipser un Louis Juvet excellent.
    « Atmosphère, Atmosphère. Est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ? ». Toutes les répliques qu’elles prononcent entrent instantanément au panthéon du cinéma.
    pierrre s.
    pierrre s.

    441 abonnés 3 311 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 mars 2018
    Une belle reconstitution, des dialogues bien sentis et de grands acteurs (Jouvet surtout). Mais Hôtel du Nord, n'est pas pour autant le chef-d'oeuvre auquel je m'attendais. La faute principalement à la platitude de la romance du couple des amants suicidaires.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    90 abonnés 1 751 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mars 2022
    Très bonne surprise. Réalisme français des années 30. Arletty et Louis Jouvet sont tous simplements magnifiques et eclipsent totalement les deux premiers roles du films joués par Annabella et Jean-Pierre aumont.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 096 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2017
    Il y a quelque chose de profondément savoureux dans Hôtel du Nord. Il y a bien sûr cette scène de repas servant d'introduction à tous les personnages et montrant les personnalités et les enjeux de chacun, mais ce qui est magnifique c'est avant tout les décors dans lequel ce microcosme prend vie. Malgré tout la douce mélancolie et un certain côté tragique, c'est un endroit qui fait bon vivre, un endroit dans lequel on aimerait vivre, populaire, un peu vieille France, mais surtout très beau.

    Et c'est parce que ces décors sont aussi soignés, que le film arrive à être si bon. Parce que même si tous les personnages ne vivent pas des choses passionnantes et bien ça se passe dans un endroit que l'on aime voir, que l'on aime arpenter avec les personnages... Il y a une saveur qui se dégage de chaque scène grâce au lieu.

    Et puis, il y a les dialogues, forcément... qui participent au côté vieille France et au côté nostalgique et le fameux "Atmosphère Atmosphère" n'est même pas la plus belle réplique du film. Les dialogues sont vraiment tous excellents et ils aident à bercer le spectateur et à lui faire croire à ces histoires plutôt tragiques qui se déroulent sous ses yeux.

    La fin est par ailleurs très belle elle aussi et les personnages se retrouvent comme le spectateur, à laisser un lieu qu'ils aiment, avec des gens qu'ils ont apprécié, derrière eux, sans se retourner. La mélancolie du film est vraiment sa force, c'est triste, mais c'est beau en même temps. Parce que bien que le film soit très court, on sait tout ce qu'il faut savoir sur ces gens là, on connaît leurs qualités, leurs défauts et on les aime pour ça.

    Plusieurs belles tranches de vie.
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