Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Positif
par Eithne O'Neill
Voici un documentaire pas comme les autres, loufoque, drôle et tonique. Sur le mode de la satire, avec une spontanéité verbale et filmique réjouissante (...). Le succès de l'entreprise est véhiculé par l'ironie. (...) Le succès se fonde sur la colère, sur la sincérité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Yes men, communauté d'alter mondialistes espiègles, croisements rêvés de Laurent Baffie et du leader d'Attac. A savoir, une connaissance du politique qui dépasse (du moins en apparence) la pédagogie simplette de Michael Moore et un humour réversible s'adaptant aussi bien à la moquerie expérimentale qu'à l'autodérision. [...] La grande force et la limite d'un film assez complaisant avec lui-même : on se marre en coulisse, on ricane mais on ne se révolte pas plus que ça.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
France Soir
par Delphine Peras
Le film, qui tient du reportage sans autre forme de raffinement cinématographique, suit ainsi les plans de bataille et les préparatifs d'Andy Bichlbaum et de Mike Bonanno. (...) la dérision. L'arme absolue ? Pourquoi pas. Car rira bien qui rira le dernier.
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Isabelle Regnier
C'est un réseau d'activistes altermondialistes bourrés d'humour et d'audace.(...) Selon une forme simple et honnête, Yes Men suit ainsi, sans commentaire, plusieurs de leurs interventions sur une période de quelques mois, depuis la préparation jusqu'à la représentation finale. (...) Ce film qui étudie une forme d'action politique est par bien des aspects un documentaire sur le travail d'acteur et invite à réfléchir sur les fins, les moyens et l'efficacité de l'action politique dans une société hyper-médiatisée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Pour : Brouillon mais poilant. Certes, THE YES MEN n'a pas la force des pamphlets comico-dramatiques de Michael Moore ou Morgan Spurlock (SUPER SIZE ME). Le film retraçant leurs exploits est également assez brouillon, la narration mélangeant maladroitement archives et making-of. Mais au bout du compte, malgré des défauts handicapants, THE YES MEN remplit avec facilité son contrat : faire rire au détriment d'un système ultra-libéral érigé en dogme.
Première
par Mathieu Carratier
Les Yes Men, ou deux pros du canular politique qui ont déclaré la guerre aux puissants dangereux (George W., on parle de toi ! ) et aux dérives de la mondialisation. (...) un documentaire malheureusement moins drôle que son sujet. Mais quand ce sujet est aussi bon, ce serait dommage de se priver.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Grégory Alexandre
Un docu surréaliste que n'auraient pas renié les Monty Python.[...] Les Yes Men, héros de ce documentaire savoureux.[...] Et ce n'est pas que drôle et délirant, mais aussi utile, dézinguant l'OMC avec ses propres armes (la parole chloroforme) et démontrant par l'absurde les dérives d'une société où les enjeux commerciaux annulent l'individu et les spécificités culturelles. José B. devrait adorer, George W. beaucoup moins.
Score
par Miguelito
Dans la provocation, le film est très drôle, parfois perturbant (...). Le spectacle que nous propose The Yes Men n'est pas de l'ordre de l'egotrip spectaculaire, comme c'est le cas chez Michael Moore et Norman Spurlock (Supersize me), mais une véritable performance politique. Dans cette optique, ce documentaire est assez unique pour faire un détour en salle.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Ces rois de l'incruste prennent la société du spectacle à son propre piège. C'est plutôt jouissif, bien qu'assez sommaire du point de vue critique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par François Gorin
L'altermondialisme par le canular. Cinglant. [...] En feuilletant leur album souvenir, les deux lascars veillent à préserver la dimension pédagogique de la comédie. On peut en rire, mais au fond c'est grave. Un bémol : ça n'ébranle pas grand-chose, sinon le petit monde des médias. Alors, après le gag, quoi ? Et après le film ? On finit par se demander à quoi les sympathiques Yes Men disent non.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
MCinéma.com
par Marc Kressmann
Contre : Dès les premières secondes, la déception s'impose. THE YES MEN est un documentaire confus sur une bande de zozos pénibles qui s'amusent à faire des blagues de potaches. (...) Leur méthode ? Un peu d'audace, pas mal de vulgarité, mais question fond, c'est le vide absolu. Ce film, qui s'apparente plutôt à un making-of très décousu, ne nous apprend absolument rien (...). Filmés platement, ces YES MEN s'avèrent ennuyeux et rarement drôles.
Zurban
par Olivier Pélisson
Ils sont donc les Yes Men, au coeur de ce documentaire qui ne met malheureusement pas en valeur leur action. La faute à un ryhtme lent et à un montage mou du genou, qui n'atteint pas la force militante de Michael Moore. Et surtout à un choix d'images consternant, ne montrant des activistes que des préparatifs inintéressants et le vide de leurs interventions. On en vient même à douter de leur action, le comble !
Positif
Voici un documentaire pas comme les autres, loufoque, drôle et tonique. Sur le mode de la satire, avec une spontanéité verbale et filmique réjouissante (...). Le succès de l'entreprise est véhiculé par l'ironie. (...) Le succès se fonde sur la colère, sur la sincérité.
Chronic'art.com
Yes men, communauté d'alter mondialistes espiègles, croisements rêvés de Laurent Baffie et du leader d'Attac. A savoir, une connaissance du politique qui dépasse (du moins en apparence) la pédagogie simplette de Michael Moore et un humour réversible s'adaptant aussi bien à la moquerie expérimentale qu'à l'autodérision. [...] La grande force et la limite d'un film assez complaisant avec lui-même : on se marre en coulisse, on ricane mais on ne se révolte pas plus que ça.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
France Soir
Le film, qui tient du reportage sans autre forme de raffinement cinématographique, suit ainsi les plans de bataille et les préparatifs d'Andy Bichlbaum et de Mike Bonanno. (...) la dérision. L'arme absolue ? Pourquoi pas. Car rira bien qui rira le dernier.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
C'est un réseau d'activistes altermondialistes bourrés d'humour et d'audace.(...) Selon une forme simple et honnête, Yes Men suit ainsi, sans commentaire, plusieurs de leurs interventions sur une période de quelques mois, depuis la préparation jusqu'à la représentation finale. (...) Ce film qui étudie une forme d'action politique est par bien des aspects un documentaire sur le travail d'acteur et invite à réfléchir sur les fins, les moyens et l'efficacité de l'action politique dans une société hyper-médiatisée.
MCinéma.com
Pour : Brouillon mais poilant. Certes, THE YES MEN n'a pas la force des pamphlets comico-dramatiques de Michael Moore ou Morgan Spurlock (SUPER SIZE ME). Le film retraçant leurs exploits est également assez brouillon, la narration mélangeant maladroitement archives et making-of. Mais au bout du compte, malgré des défauts handicapants, THE YES MEN remplit avec facilité son contrat : faire rire au détriment d'un système ultra-libéral érigé en dogme.
Première
Les Yes Men, ou deux pros du canular politique qui ont déclaré la guerre aux puissants dangereux (George W., on parle de toi ! ) et aux dérives de la mondialisation. (...) un documentaire malheureusement moins drôle que son sujet. Mais quand ce sujet est aussi bon, ce serait dommage de se priver.
Rolling Stone
Un docu surréaliste que n'auraient pas renié les Monty Python.[...] Les Yes Men, héros de ce documentaire savoureux.[...] Et ce n'est pas que drôle et délirant, mais aussi utile, dézinguant l'OMC avec ses propres armes (la parole chloroforme) et démontrant par l'absurde les dérives d'une société où les enjeux commerciaux annulent l'individu et les spécificités culturelles. José B. devrait adorer, George W. beaucoup moins.
Score
Dans la provocation, le film est très drôle, parfois perturbant (...). Le spectacle que nous propose The Yes Men n'est pas de l'ordre de l'egotrip spectaculaire, comme c'est le cas chez Michael Moore et Norman Spurlock (Supersize me), mais une véritable performance politique. Dans cette optique, ce documentaire est assez unique pour faire un détour en salle.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Ces rois de l'incruste prennent la société du spectacle à son propre piège. C'est plutôt jouissif, bien qu'assez sommaire du point de vue critique.
Télérama
L'altermondialisme par le canular. Cinglant. [...] En feuilletant leur album souvenir, les deux lascars veillent à préserver la dimension pédagogique de la comédie. On peut en rire, mais au fond c'est grave. Un bémol : ça n'ébranle pas grand-chose, sinon le petit monde des médias. Alors, après le gag, quoi ? Et après le film ? On finit par se demander à quoi les sympathiques Yes Men disent non.
MCinéma.com
Contre : Dès les premières secondes, la déception s'impose. THE YES MEN est un documentaire confus sur une bande de zozos pénibles qui s'amusent à faire des blagues de potaches. (...) Leur méthode ? Un peu d'audace, pas mal de vulgarité, mais question fond, c'est le vide absolu. Ce film, qui s'apparente plutôt à un making-of très décousu, ne nous apprend absolument rien (...). Filmés platement, ces YES MEN s'avèrent ennuyeux et rarement drôles.
Zurban
Ils sont donc les Yes Men, au coeur de ce documentaire qui ne met malheureusement pas en valeur leur action. La faute à un ryhtme lent et à un montage mou du genou, qui n'atteint pas la force militante de Michael Moore. Et surtout à un choix d'images consternant, ne montrant des activistes que des préparatifs inintéressants et le vide de leurs interventions. On en vient même à douter de leur action, le comble !