Land of plenty (terre d'abondance) : Critique presse
Land of plenty (terre d'abondance)
Note moyenne
3,3
18 titres de presse
Télérama
L'Obs
Le Figaro
Le Monde
Libération
MCinéma.com
Positif
Première
Aden
Cahiers du Cinéma
Ciné Live
Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
L'Express
L'Humanité
Studio Magazine
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Télérama
par Marine Landrot
Wim Wenders a toujours su orchestrer les rencontres antinomiques, les heurts de solitudes, les chocs de perceptions. Les retrouvailles familiales de Land of plenty montrent qu'il n'a pas perdu la main (...) De son affliction devant les errements idéologiques de l'Amérique contemporaine, [il] parvient à tirer un film paisible et joyeux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le regard de Wenders n'a jamais cessé d'être généreux, seulement il ne passait plus l'écran. Là, ça marche, et tant pis si parfois il ne résiste pas à en rajouter un peu, tant pis s'il a un peu de mal à terminer son film. (...) l'émotion vous prend à la gorge et vous vous dites que cette fois, c'est sûr, Wenders est de retour.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Wenders éclaire les bas-fonds. Magistralement filmée, sublimée par la musique originale de Thom & Nackt, Los Angeles est une belle ville.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Antoine de Baecque
En plans larges vibrants ou très serrés scrutateurs, Wim Wenders croise ces deux personnages antagonistes et parvient à refaire son meilleur numéro : raconter une histoire comme un état d'Amérique.
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Wenders dépasse le cadre de son sujet et nous livre une oeuvre intelligente, d'une grande sensibilité. Il prouve une fois de plus son amour pour ce pays "larger than life" qui suscite autant l'admiration que l'agacement. Un bon cru, servi par d'excellents acteurs, même si parsemé de quelques longueurs... attendues de la part de ce réalisateur.
Positif
par Pierre Eisenreich
Le réalisateur allemand fonde sa mise en scène sur la notion de perte, de la même façon que Spike Lee [avec La 25ème Heure] entonnait une élégie visuelle avec les deux faisceaux des projecteurs pointant vers le ciel et remplaçant les Twin Towers effondrées. (...) Le cinéaste a toujours cru en la puissance des sentiments et n'a jamais caché son romantisme, donnant parfois le pire et souvent le meilleur. Land of Plenty démontre à nouveau les limites d'une idéalisation de l'héroïsme qui demeure somme toute sympathique.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier de Bruyn
Même si (...) le film s'abîme parfois dans une naïveté bizarrement didactique (...) Land of plenty dans ses meilleurs moments rappelle combien Wenders est un incomparable filmeur, apte à saisir dans son cadre impeccable des images saisissantes ou péotiques du monde comme il va (mal). Ce portrait minimaliste et critique de l'Amérique contemporaine mérite plus qu'un détour poli.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par La rédaction
Wenders livre ici une réflexion sur l'état du monde qui paraît tout à la fois d'une grande lourdeur, naïve et sincère. La volonté démonstrative tue, ici, toute possibilité, pour le spectateur, de se laisser un peu aller. D'où un sentiment mêlé d'ennui et de curiosité, de désolation et d'empathie. L'impression de voir un film qui aurait été moderne, peut-être, il y a trente ans, mais qui vient d'être tourné aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Seule demeure après vision, insistante et précieuse, la capture d'un quartier, de sa topographie, la touffeur de l'air.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Stigmatisant naïvement la parano sécuritaire aux USA, Wenders reste un cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Bien que le regard du cinéaste se pose avec respect sur ses personnages, la rencontre émouvante de ces deux visages de l'Amérique est parfois alourdie par un didactisme que l'auteur semblait chercher à éviter.
aVoir-aLire.com
par Rania Hoballah
Un peu répétitif et pas trop inspiré mais quelques moments de grâce comme Wenders sait les distiller.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Post-wendersien surtout, tant l'assèchement terrible du style, désormais étouffé par un vouloir-dire obèse qui, le plus souvent, accouche d'une souris, s'est tristement replié sur un autisme inconséquent. Tout ce qui lui reste d'énergie, il le met pour filmer un drapeau américain claquant au vent : c'est, dit-il, son film le plus politique.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Wenders pleure le mythe américain en faisant communier ses personnages à New York devant les Twin Towers disparues. On frôle le kitsch sulpicien.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
Wim Wenders a toujours su orchestrer les rencontres antinomiques, les heurts de solitudes, les chocs de perceptions. Les retrouvailles familiales de Land of plenty montrent qu'il n'a pas perdu la main (...) De son affliction devant les errements idéologiques de l'Amérique contemporaine, [il] parvient à tirer un film paisible et joyeux.
L'Obs
Le regard de Wenders n'a jamais cessé d'être généreux, seulement il ne passait plus l'écran. Là, ça marche, et tant pis si parfois il ne résiste pas à en rajouter un peu, tant pis s'il a un peu de mal à terminer son film. (...) l'émotion vous prend à la gorge et vous vous dites que cette fois, c'est sûr, Wenders est de retour.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Wenders éclaire les bas-fonds. Magistralement filmée, sublimée par la musique originale de Thom & Nackt, Los Angeles est une belle ville.
Libération
En plans larges vibrants ou très serrés scrutateurs, Wim Wenders croise ces deux personnages antagonistes et parvient à refaire son meilleur numéro : raconter une histoire comme un état d'Amérique.
MCinéma.com
Wenders dépasse le cadre de son sujet et nous livre une oeuvre intelligente, d'une grande sensibilité. Il prouve une fois de plus son amour pour ce pays "larger than life" qui suscite autant l'admiration que l'agacement. Un bon cru, servi par d'excellents acteurs, même si parsemé de quelques longueurs... attendues de la part de ce réalisateur.
Positif
Le réalisateur allemand fonde sa mise en scène sur la notion de perte, de la même façon que Spike Lee [avec La 25ème Heure] entonnait une élégie visuelle avec les deux faisceaux des projecteurs pointant vers le ciel et remplaçant les Twin Towers effondrées. (...) Le cinéaste a toujours cru en la puissance des sentiments et n'a jamais caché son romantisme, donnant parfois le pire et souvent le meilleur. Land of Plenty démontre à nouveau les limites d'une idéalisation de l'héroïsme qui demeure somme toute sympathique.
Première
Même si (...) le film s'abîme parfois dans une naïveté bizarrement didactique (...) Land of plenty dans ses meilleurs moments rappelle combien Wenders est un incomparable filmeur, apte à saisir dans son cadre impeccable des images saisissantes ou péotiques du monde comme il va (mal). Ce portrait minimaliste et critique de l'Amérique contemporaine mérite plus qu'un détour poli.
Aden
Wenders livre ici une réflexion sur l'état du monde qui paraît tout à la fois d'une grande lourdeur, naïve et sincère. La volonté démonstrative tue, ici, toute possibilité, pour le spectateur, de se laisser un peu aller. D'où un sentiment mêlé d'ennui et de curiosité, de désolation et d'empathie. L'impression de voir un film qui aurait été moderne, peut-être, il y a trente ans, mais qui vient d'être tourné aujourd'hui.
Cahiers du Cinéma
Seule demeure après vision, insistante et précieuse, la capture d'un quartier, de sa topographie, la touffeur de l'air.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Stigmatisant naïvement la parano sécuritaire aux USA, Wenders reste un cinéaste.
TéléCinéObs
Bien que le regard du cinéaste se pose avec respect sur ses personnages, la rencontre émouvante de ces deux visages de l'Amérique est parfois alourdie par un didactisme que l'auteur semblait chercher à éviter.
aVoir-aLire.com
Un peu répétitif et pas trop inspiré mais quelques moments de grâce comme Wenders sait les distiller.
Chronic'art.com
Post-wendersien surtout, tant l'assèchement terrible du style, désormais étouffé par un vouloir-dire obèse qui, le plus souvent, accouche d'une souris, s'est tristement replié sur un autisme inconséquent. Tout ce qui lui reste d'énergie, il le met pour filmer un drapeau américain claquant au vent : c'est, dit-il, son film le plus politique.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Wenders pleure le mythe américain en faisant communier ses personnages à New York devant les Twin Towers disparues. On frôle le kitsch sulpicien.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com