Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Yannick Blay
Guy Maddin réactualise le cinéma muet avec cette histoire abracadabrante censée être autobiographique. Loin de toute préoccupation réaliste, il film en Super 8 noir et blanc, se passe de dialogues, remplacés par de la musique classique, et teinte sa pellicule pour un rendu d'une grande poésie (...) La lâcheté, la folie, la perte ou la déviance sexuelle n'ont jamais été aussi bien évoqués par le réalisateur (...).
L'Humanité
par Jean Roy
le Canadien aussi génial que confidentiel a encore frappé. La pièce maîtresse de son nouveau programme a nom Et les lâches s'agenouillent, qui, sous couvert d'autobiographie, où on renonce à démêler le vrai du faux, nous renvoie à un jeu référentiel que plus personne ne pratique (...). Du cinéma pur, du pur cinéma.
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
En s'astreignant à une narration quasi classique, le Mad Guy délivre, en guise d'autobiographie, un mélo dopé aux amphétamines et pétri de suspense.
Libération
par Samuel DOUHAIRE
Vrai ou faux, Et les lâches s'agenouillent... comblera les fans de Guy Maddin, en pleine repossession de ses moyens esthétiques après le demi-échec de Twilight of the Ice Nymphs : sa relecture en super-huit du cinéma muet, sous influence du David Lynch d'Eraserhead, fait ici merveille ; tout comme son mélange de fond tragique et de piques comiques.
Première
par Gaël Golhen
Dans ce chef-d'oeuvre d'autobiographie sous acide, on risque le décollement de rétine à chaque seconde (montage survolté, collage épileptique et arty), mais il s'en dégage une poésie unique et vénéneuse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Cet enchaînement onirique de bribes d'histoires requiert plus d'abandon que d'attention de la part du spectateur. Mais, une fois la garde baissée, Guy Maddin a beaucoup plus à offrir qu'un cabinet de curiosités.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Score
par La rédaction
Un sépia de mélancolie (...) permettra peut-être à ceux qui ne pratiquent pas le vingt-cinquièle degré, de pouvoir entrer dans cet univers unique composé par le fils canadien caché d'Ed Wood, John Waters et Murnau !
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par François Gorin
S'il réjouira sûrement les fans et familiers de Guy Maddin, Cowards bend the knee (...), malgré sa simplicité narrative, peinera peut-être à élargir le cercle des initiés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Eric Quéméré
Malheureusement, l'hommage au cinéma muet tendance fantastique ne peut indéfiniement tenir lieu de propos, et la répétition compulsive de plans, forme héritée du cinéma expérimental, accentue souvent l'impression de surplace dégagée par le film.
Aden
par Philippe Piazzo
Une larme d'esthétique, gothique, quelques idées gore, un humour absurde, des femmes très belles et une histoire sans queue ni tête.
L'Ecran Fantastique
Guy Maddin réactualise le cinéma muet avec cette histoire abracadabrante censée être autobiographique. Loin de toute préoccupation réaliste, il film en Super 8 noir et blanc, se passe de dialogues, remplacés par de la musique classique, et teinte sa pellicule pour un rendu d'une grande poésie (...) La lâcheté, la folie, la perte ou la déviance sexuelle n'ont jamais été aussi bien évoqués par le réalisateur (...).
L'Humanité
le Canadien aussi génial que confidentiel a encore frappé. La pièce maîtresse de son nouveau programme a nom Et les lâches s'agenouillent, qui, sous couvert d'autobiographie, où on renonce à démêler le vrai du faux, nous renvoie à un jeu référentiel que plus personne ne pratique (...). Du cinéma pur, du pur cinéma.
Les Inrockuptibles
En s'astreignant à une narration quasi classique, le Mad Guy délivre, en guise d'autobiographie, un mélo dopé aux amphétamines et pétri de suspense.
Libération
Vrai ou faux, Et les lâches s'agenouillent... comblera les fans de Guy Maddin, en pleine repossession de ses moyens esthétiques après le demi-échec de Twilight of the Ice Nymphs : sa relecture en super-huit du cinéma muet, sous influence du David Lynch d'Eraserhead, fait ici merveille ; tout comme son mélange de fond tragique et de piques comiques.
Première
Dans ce chef-d'oeuvre d'autobiographie sous acide, on risque le décollement de rétine à chaque seconde (montage survolté, collage épileptique et arty), mais il s'en dégage une poésie unique et vénéneuse.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Cet enchaînement onirique de bribes d'histoires requiert plus d'abandon que d'attention de la part du spectateur. Mais, une fois la garde baissée, Guy Maddin a beaucoup plus à offrir qu'un cabinet de curiosités.
Score
Un sépia de mélancolie (...) permettra peut-être à ceux qui ne pratiquent pas le vingt-cinquièle degré, de pouvoir entrer dans cet univers unique composé par le fils canadien caché d'Ed Wood, John Waters et Murnau !
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
S'il réjouira sûrement les fans et familiers de Guy Maddin, Cowards bend the knee (...), malgré sa simplicité narrative, peinera peut-être à élargir le cercle des initiés.
Zurban
Malheureusement, l'hommage au cinéma muet tendance fantastique ne peut indéfiniement tenir lieu de propos, et la répétition compulsive de plans, forme héritée du cinéma expérimental, accentue souvent l'impression de surplace dégagée par le film.
Aden
Une larme d'esthétique, gothique, quelques idées gore, un humour absurde, des femmes très belles et une histoire sans queue ni tête.