Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
France Soir
par Richard Gianorio
Une farce douce-amère, une comédie bonhomme, qui a perdu en mordant mais gagné en tendresse.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Modernisée, ensoleillée, toilettée aux couleurs de la Provence, cette nouvelle version de Boudu sauvé des eaux ne prétend pas rivaliser avec l'oeuvre célèbre de Renoir, mais invente tranquillement ses propres chemins et offre une comédie populaire sympathique et distrayante.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Une adaptation du film de Jean Renoir par Gérard Jugnot sur le ton de la grosse farce.
Ouest France
"Renoir, c'est qui?" pourrait-il demander car il s'est bien gardé de revoir le Boudu sauvé des eaux de son prédécesseur et même de relire la pièce qui l'a inspiré. Pour mieux faire entrer le thème dans la tendresse joviale et la saveur bonhomme de son univers à lui.
Paris Match
par Alain Spira
Si ce film s'inspire du "Boudu sauvé des eaux" de Jean Renoir, il n'es ai nullement le remake, tout juste l'adaptation. [...]Il lui manque du relief, de la noirceur...
Rolling Stone
par Grégory Alexandre
Difficile de croire à cette fable franchouillarde ripoliné, pleine de cocufiage et de bons sentiments [...] reste Catherine Frot qui campe avec le rare talent qui la caractérise une alcoolique mondaine plutôt rigolote.
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Aucun rapport [...] avec le clochard dyonisiaque, anarchiste et iconoclaste qu'incarnait Michel Simon en 1932. Le Boudu version Depardieu n'a rien de cet ouragan sur un univers bourgeois, c'est un pique-assiette désinvolte, un parasite mou. D'où une comédie où les bons sentiments ont remplacé la provoc.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
Elle, c'est Catherine Frot, assez étonnante en dépressive dyslexique. Lui, c'est Gérard Jugnot, dans l'habit qu'il s'est taillé au fil de ses propres films : un type un peu médiocre que les événements vont pousser à chercher - et à trouver - l'humain au fond de lui. La remise en cause sera cruelle : farce truculente par instants, ce Boudu, qui souffre par ailleurs d'un démarrage un peu mollasson, s'offre des abîmes de vraie noirceur.
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
À l'heure de jeu le film prend des airs de Théorème populiste, et espère à voix haute que le sang pur du prolo innerve l'art polué d'une France boboisée. On y croit peu, limite on se méfie, et de toute façon le film reste aussi polie que ses hôtes.
Chronic'art.com
par Jean Philippe Téssé
Dans le film de Jugnot circule une idée de la maison comme espace disponible aux vrombissements des monstres sacrés, de l'inconnu majuscule qu'on n'imaginait pas capable d'être aussi proche de son public.
L'Humanité
par Michaël Melinard
Tout cela paraît un peu court pour du cinéma mais largement suffisant pour le passage en prime time sur une chaîne hertzienne pour lequel le film est calibré.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Remake repoussant de Boudu sauvé des eaux. Vulgaire à pleurer.
Libération
par Philippe AZOURY
On s'y ennuie comme dans un gros pouf. On est devant ton film comme ton grunge de Boudu devant sa télé à mater des jeux TF1 débiles.
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Un film calibré pour plaire au plus grand nombre, et notamment pour les spectateurs de TF1.[...]Les clichés abondent, il suffit pour s'en convaincre d'écouter la bande son, composée de différents thèmes classiques mille fois entendus.
Positif
par Claire Vassé
C'est tout l'esprit du film qui pose problème, réduisant la force anarchique du personnage de Boudu à de vulgaires affaires de fesses, de plus tristement filmées. Le film de Renoir s'appelait Boudu sauvé des eaux. Celui de Jugnot s'appelle Boudu tout court et il porte bien son nom, tant le naufrage est complet.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par C. Narbonne
À défaut d'enjeux fort, cette comédie consensuelle flirte avec les canons télévisuels.
Score
par Bob Alcazar et G.D. Jones
Les scènes de sexe voudraient être rigolotes; elles sont juste pathétiques et embarrassantes, un peu comme le film.[...] le happy end un peu forcé sent le moisi.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Gérand
On progresse en terrain familier et c'est cette abscence de surprise qui finit par figer le film dans une torpeur assassine.
Zurban
par Véronnique le Bris
Hélas, trois fois hélas, cette plate modernisation rate la critique sociale et frôle le numéro d'acteurs, mal servi par des dialogues et des situations lourdes, pour ne pas dire vulgaires.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Depardieu en fait des tonnes avec sa bonhomie et son rentre-dedans naturel. Frot affiche les névroses de la petite bourgeoisie de province avec une ingénuité toujours aussi drôle, et Jugnot en râleur franchouillard a une bouille sympa. Mais à part cela, on n'en retient pas grand-chose.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
France Soir
Une farce douce-amère, une comédie bonhomme, qui a perdu en mordant mais gagné en tendresse.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Modernisée, ensoleillée, toilettée aux couleurs de la Provence, cette nouvelle version de Boudu sauvé des eaux ne prétend pas rivaliser avec l'oeuvre célèbre de Renoir, mais invente tranquillement ses propres chemins et offre une comédie populaire sympathique et distrayante.
Le Monde
Une adaptation du film de Jean Renoir par Gérard Jugnot sur le ton de la grosse farce.
Ouest France
"Renoir, c'est qui?" pourrait-il demander car il s'est bien gardé de revoir le Boudu sauvé des eaux de son prédécesseur et même de relire la pièce qui l'a inspiré. Pour mieux faire entrer le thème dans la tendresse joviale et la saveur bonhomme de son univers à lui.
Paris Match
Si ce film s'inspire du "Boudu sauvé des eaux" de Jean Renoir, il n'es ai nullement le remake, tout juste l'adaptation. [...]Il lui manque du relief, de la noirceur...
Rolling Stone
Difficile de croire à cette fable franchouillarde ripoliné, pleine de cocufiage et de bons sentiments [...] reste Catherine Frot qui campe avec le rare talent qui la caractérise une alcoolique mondaine plutôt rigolote.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Aucun rapport [...] avec le clochard dyonisiaque, anarchiste et iconoclaste qu'incarnait Michel Simon en 1932. Le Boudu version Depardieu n'a rien de cet ouragan sur un univers bourgeois, c'est un pique-assiette désinvolte, un parasite mou. D'où une comédie où les bons sentiments ont remplacé la provoc.
Télérama
Elle, c'est Catherine Frot, assez étonnante en dépressive dyslexique. Lui, c'est Gérard Jugnot, dans l'habit qu'il s'est taillé au fil de ses propres films : un type un peu médiocre que les événements vont pousser à chercher - et à trouver - l'humain au fond de lui. La remise en cause sera cruelle : farce truculente par instants, ce Boudu, qui souffre par ailleurs d'un démarrage un peu mollasson, s'offre des abîmes de vraie noirceur.
Cahiers du Cinéma
À l'heure de jeu le film prend des airs de Théorème populiste, et espère à voix haute que le sang pur du prolo innerve l'art polué d'une France boboisée. On y croit peu, limite on se méfie, et de toute façon le film reste aussi polie que ses hôtes.
Chronic'art.com
Dans le film de Jugnot circule une idée de la maison comme espace disponible aux vrombissements des monstres sacrés, de l'inconnu majuscule qu'on n'imaginait pas capable d'être aussi proche de son public.
L'Humanité
Tout cela paraît un peu court pour du cinéma mais largement suffisant pour le passage en prime time sur une chaîne hertzienne pour lequel le film est calibré.
Les Inrockuptibles
Remake repoussant de Boudu sauvé des eaux. Vulgaire à pleurer.
Libération
On s'y ennuie comme dans un gros pouf. On est devant ton film comme ton grunge de Boudu devant sa télé à mater des jeux TF1 débiles.
MCinéma.com
Un film calibré pour plaire au plus grand nombre, et notamment pour les spectateurs de TF1.[...]Les clichés abondent, il suffit pour s'en convaincre d'écouter la bande son, composée de différents thèmes classiques mille fois entendus.
Positif
C'est tout l'esprit du film qui pose problème, réduisant la force anarchique du personnage de Boudu à de vulgaires affaires de fesses, de plus tristement filmées. Le film de Renoir s'appelait Boudu sauvé des eaux. Celui de Jugnot s'appelle Boudu tout court et il porte bien son nom, tant le naufrage est complet.
Première
À défaut d'enjeux fort, cette comédie consensuelle flirte avec les canons télévisuels.
Score
Les scènes de sexe voudraient être rigolotes; elles sont juste pathétiques et embarrassantes, un peu comme le film.[...] le happy end un peu forcé sent le moisi.
TéléCinéObs
On progresse en terrain familier et c'est cette abscence de surprise qui finit par figer le film dans une torpeur assassine.
Zurban
Hélas, trois fois hélas, cette plate modernisation rate la critique sociale et frôle le numéro d'acteurs, mal servi par des dialogues et des situations lourdes, pour ne pas dire vulgaires.
aVoir-aLire.com
Depardieu en fait des tonnes avec sa bonhomie et son rentre-dedans naturel. Frot affiche les névroses de la petite bourgeoisie de province avec une ingénuité toujours aussi drôle, et Jugnot en râleur franchouillard a une bouille sympa. Mais à part cela, on n'en retient pas grand-chose.