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    Munich
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    668 critiques spectateurs

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    Olivier P
    Olivier P

    2 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juin 2021
    De bons acteurs , un bon film un peu en dessous des standards spielberg , un sujet qui peut etre ne m interessais pas autant que ca ou bien trop entendu parlé
    Yalfy
    Yalfy

    1 abonné 90 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mai 2021
    Film d' espionnage pas très réussi de Spielberg d' après un livre assez ridicule.L' élimination des terroristes palestiniens des J.O de Munich en 1972 sur ordre de Golda Méir.Le scénario est peu vraisemblable ce qui est rare chez Spielberg.Le casting est très bon: Eric Bana, Daniel Craig, Matthieu Kassovitz, Matthieu Amalric, Michaël Lonsdale.Cela ne suffit pas à faire un bon film faute de réalisme.la question de la pertinence de l' élimination ciblée des terroristes est mal abordée.Un film qui paraît naïf sur le terrorisme
    Biertan64
    Biertan64

    49 abonnés 1 431 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 avril 2021
    Ce thriller politique, d'espionnage, historique (je ne sais pas trop dans quelle catégorie le classer) raconte la traque des responsables palestiniens de Septembre Noir par des agents secrets israéliens (Eric Bana, Mathieu Kassovitz, Daniel Craig...) .
    Basé sur des faits réels, avec notamment une reconstitution de la prise d'otage lors des jeux olympiques de Munich en 1972, il est parfois difficile de voir où est la fiction et où est la vérité dans le déroulement des opérations.
    Ainsi d'où sort cette famille française (Mathieu Almaric, Michael Lonsdale) qui sert d'intermédiaire et est capable de fournir des informations inconnues même des services secrets?
    Un mélange d'imagination et de réalité, certainement nécessaire pour boucher les trous d'une histoire dont, par essence, tous les détails ne peuvent pas être connus du grand public.
    C'est d'ailleurs passionnant de voir les méthodes mises en place dans l'ombre par des gouvernements (même si officiellement le groupe ne relève pas du Mossad) pour parvenir à leurs fins quand des moyens légaux ne suffisent pas.
    Au delà d'un scénario plein de tension, Steven Spielberg questionne sur la morale de ces représailles par les mêmes méthodes terroristes et insiste sur la psychologie de ces vengeurs pas du tout formés à tuer.
    Flōrens PAB
    Flōrens PAB

    82 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 avril 2021
    À travers un évènement malheureux, Steven Spielberg en profite pour égratigner les services secrets d'Israël et leurs méthodes pour le moins expéditives. Par contre il ne prend pas la peine d'expliquer pourquoi les Palestiniens agissent de la sorte, il y a pourtant beaucoup à dire.
    Kevin dioles
    Kevin dioles

    45 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mars 2021
    MUNICH (2006): 1972, Munich, les jeux olympiques d'été seront entachés par l'assassinat de onze athlètes israéliens occasionné par des terroristes palestiniens. En représailles, le gouvernement israélien mettra en place une opération fantôme. Onze dirigeants terroristes palestiniens séjournant dans différents pays devront être abattus en toute discrétion. Munich est un film mouvementé, un dossier secret qui s'inspire des écrits du livre " Vengeance" de George Jonas, basé sur les confessions d'un ancien agent du Mossad. Une histoire scénarisée à partir de faits réels, racontant les mécanismes d'une mission meurtrière. Un monde fait de secrets qui s'entrecroisent, d'informateurs douteux, une guerre muette entre diverses organisations (Mossad, KGB, C.I.A…) où la mort peut surprendre à tout instant. Encore une fois, Steven Spielberg nous montre qu'il peut s'attaquer à des sujets sérieux. Une mise en scène plus que parfaite, un suspense constant, riche en rebondissements, des scènes d'actions criantes de réalité, des informations au plus près de la vérité, une B.O rythmée comme un cœur angoissé. On suivra les filatures de ces soldats de l'ombre grâce à des acteurs très impliqués: Eric Bana chef de l'organisation secrète, Daniel Craig un tueur fonceur, Mathieu Kassovitz l'artificier israélien, Mathieu Amalric l'informateur mystérieux, Michael Lonsdale le patriarche d'une famille très particulière, et bien d'autres…Un film qui montrera les coulisses d'une politique Israélienne/Palestinienne des années 1970 dont les dialogues de paix seront remplacés par la violence. Une course-poursuite minutieuse à travers le monde, longue, mais très instructif. Une excellente réalisation, mes respects Monsieur Spielberg.
    Arlette et les mécanos
    Arlette et les mécanos

    69 abonnés 560 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 novembre 2020
    Un pur chef d'oeuvre. Pas un iota d'atome de seconde où on s'ennuie. Toutes les scènes sont captivantes, c'est fabuleux la maestria de Spielberg. Que ce soit les scènes d'action pure ou les scènes de dialogue, on est complètement pris. J'ai adoré ce film. Ce mec est vraiment au dessus des autres, tous les films de lui que j'ai pu voir m'ont fait le même effet.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 527 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 novembre 2020
    Steven Spielberg a absolument tout à sa disposition il peut faire une épopée en un rien de temps. Mais même lui doit savoir que les films ont une âme et qu'on ne peut pas les précipiter. Pourquoi faut-il précipiter ce film sur les écrans pour obtenir un Oscar non s'il y avait un film qui avait besoin d'être nourri et pensé c'était bien celui-ci. La longueur est un défaut en soi. Il donne l'impression d'être complaisant et franchement ennuyeux. Si l'on pouvait et devait mettre cela de côté Munich est une expérience remarquable. Tony Kushner et Eric Roth traitent des gens dans toute leur complexité un nouveau détail bienvenu dans un film de Spielberg et cela donne à Munich son aspect le plus puissant. Eric Bana est extraordinaire et l'humanité de son regard est à la fois déroutante et reconnaissable. Ses pleurs à l'écoute de la voix de son enfant au téléphone sont aussi réels que sa dureté lorsqu'il massacre ses cibles. La remise en question du caractère de Bana et de la nature effroyable de la vengeance ne peut pas être controversée elle est à la base de la nature humaine. Ce film est un thriller basé sur des faits réels et réalisé par le plus grand artisan de ses 30 dernières années...
    cinéman
    cinéman

    40 abonnés 805 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 octobre 2020
    Passé un début prometteur, on a une suite d'exécutions sanglantes sur les Arabes qui auraient organisé les attentats de Munich en 1972... Dommage car ça devient un peu trop répétitif, catalogue, et dépourvu d'intérêt, mais surtout ça met un peu trop les Israéliens sur le même pied d'égalité que les terroristes. Si le film a cette qualité de rester neutre et de ne pas faire de prosélytisme dans la haine qui oppose certains Arabes à certains Juifs, il nous fait trop vite oublier que dans ce cadre-ci les assaillants sanguinaires ce sont d'abord les terroristes arabes auxquels les services secrets israéliens n'ont fait que répondre. Ainsi observer la violence des Juifs durant 2h, fait presque oublier la cause toute aussi violente pour laquelle elle ne serait qu'une juste réparation.
    Henrico
    Henrico

    164 abonnés 1 327 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 septembre 2020
    Le Spielberg nouveau n’est pas seulement un brillant film d’espionnage. Le cinéaste montre, s’il en était encore besoin, qu’on peut être américain, et avoir une vision de politique internationale très affûtée; et ce, sans aucune complaisance pour quelque bord que ce soit. Car c’est bel et bien une attaque en règle que Spielberg fait ici à l’encontre de tous les gouvernements qui, d’une part, affichent leur volonté de lutter contre le terrorisme, mais d’autre part, assurent à ces mêmes terroristes une extraordinaire liberté de circulation. Les indécrottables adeptes de l’anti-américanisme primaire, que sont majoritairement les Français, feront la moue face à cette œuvre d’une force et d’une maturité incontestables. Les vrais cinéphiles, Français ou autres, qui auront pris la peine de s’informer, sans ornières, sur les évènements, y verront du grand art, mais aussi de l’histoire.
    picasso2
    picasso2

    1 abonné 21 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 août 2020
    La main lourde sur les clichés, la lenteur de l'action, est un film très long, viennent gâcher un casting est un scénario qui autrement auraient pu tenir la route.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    685 abonnés 3 006 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 août 2020
    Pendant près de trois heures, Munich traque, tue et traque encore. Aucune indication quant à la date, au lieu, à la saison. Aucune information relative au passé des personnages, sinon un événement traumatique qui obsède Avner au point de venir le hanter, le soir, sous la forme de cauchemars. On parle anglais, français, allemand, hébreu, italien, russe. On traque, on tue. Le choix d’un resserrement du récit sur la mise en place puis l’exécution des attentats met le spectateur sous tension permanente, accentuée par la partition musicale de John Williams forte de motifs lancinants et d’un thème minimaliste qui continuent de vibrer une fois le générique venu. Steven Spielberg signe un chef-d’œuvre, un huis clos extérieur qui change la géographie urbaine en un dédale de carrefours fatals, qui fait de l’éclairage public le révélateur de la noirceur inhérente au genre humain, dessinant derrière chaque individu une ombre qui le suit et lui colle à la peau, jusqu’à fusionner avec lui lorsque le corps gît là, sur le pavé ou dans l’ascenseur. Munich articule deux notions essentielles au geste cinématographique de Spielberg : la famille et la violence. La famille se décline sous différents niveaux qui s’emboîtent les uns dans les autres : elle est conjugale, elle est nationale, elle est religieuse, et le père dans tout cela doit se battre sur tous les fronts, se faire le bras armé de tous les combats sans se rendre compte – ou trop tard – qu’appliquer ainsi la loi du talion ne placera pas les siens à l’abri du danger. Car la violence apparaît ici sous un jour en demi-teinte : à la fois constitutive de l’identité familiale puisqu’elle trace une ligne de partage entre amis et ennemis, membres et personnes extérieures – c’est d’ailleurs ce que « papa » Lonsdale rappelle à Avner – et origine du chaos qu’il faut affronter. Chaque agent est un soldat de Dieu en puissance envoyé sur place pour venger les siens et leur offrir la terre ancestrale qui leur appartient. Aussi le long métrage ne cesse-t-il de mettre en rapport les différentes familles pour mieux en exacerber les interférences, allant jusqu’à rompre la confiance et la communication lors de l’appel téléphonique avec « papa ». Cette interpénétration des familles se déploie sous la forme d’un crescendo dramatique qui resserre l’intrigue autour d’Avner, comme pris au piège de son propre engagement dans la violence. L’affiche de Munich représente un homme seul et plongé dans le contre-jour de la fenêtre qui, elle, resplendit de lumière. De part et d’autre, des rideaux dont la pourpre évoque la couleur du sang qui coule. Avner est un soldat de l’ombre, un frère, un fils et un père à qui la lumière supérieure reste occultée et inaccessible, encadré par les crimes qu’il a commis et qui le tourmentent. La construction du scénario privilégie à juste titre l’accélération comme vitesse dans laquelle le tueur trouve aveuglement et répit illusoire à son jugement, lui inévitable. Les missions ne sont que des reflets, des chimères ; le cinéaste multiplie les écrans, les miroirs, les carrosseries luisantes, les vitres recouverte de pluie dans lesquels se réverbèrent les acteurs, s’agitent les aveuglés. Le véritable tribunal sera sa famille, son domicile familial, sa chambre à coucher dans laquelle la souillure se mêle au sexe, empêche d’atteindre l’extase et de prendre son envol. Avec Munich, Steven Spielberg interroge la violence et le sens que lui donnent celles et ceux qui la revendiquent comme seule issue possible à une guerre perpétuelle. Transparaît à terme à pacifisme bouleversant, bouffée d’air après deux heures trente de suspense mis en scène avec brio et photographié avec génie par Janusz Kamiński. Chef-d’œuvre.
    Sebastien Minguet
    Sebastien Minguet

    21 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juillet 2020
    Une distribution de choix, c'est profond, c'est puissant, un grand film pour un grand sujet... Merci Spielberg.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 11 juin 2020
    Un très bon film de Spielberg. Brillant et déroutant, le film tient sa route. Malgré ça, des scènes un peu durs sur l'esclavagismes seront au RDV... Faites gaffes !
    Bashnark
    Bashnark

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 avril 2020
    Un sujet historique qui est trop traité comme un film d'actions à l'américaine, ce qui est peu décevant.
    Bonne illustration de la répétition des conflits, de la mise entre parenthèse d'une vie pour répondre au besoin une nation.
    Pas mauvais, pas excellent, un peu long.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 355 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 février 2020
    “Munich” est un thriller politique qui s’inspire de “l’opération Colère de Dieu”, une opération secrète dirigée par le gouvernement d’Israël visant à assassiner les auteurs de la prise d’otages des Jeux Olympiques de Munich de 1972 où onze athlètes de la délégation israélienne furent tuées par des Palestiniens membres du groupe Septembre noir, déjà célèbre pour l'assassinat du Premier ministre jordanien Wasfi Tall un an plus tôt. Steven Spielberg signe un scénario complexe pour mettre en scène son film de 2h40. Il va sans cesse marcher sur des oeufs pour ne prendre le parti ni des arabes, ni des juifs et fait le choix d’allier les séquences de suspenses avec les longues explications politiques. C’est en s’entourant d’un casting international qu’il pense séduire. Mais Eric Bana, Daniel Craig, Mathieu Kassovitz, Mathieu Amalric ou Ciaran Hinds ne suffisent pas à nous convaincre. A force de jouer sur les deux tableaux et de prôner la paix et la tolérance, le réalisateur rend l’histoire confuse. Esthétiquement, l’image est vieillissante. Les séquences dans les capitales transpirent des clichés que les américains s’en font. Peut-être qu’un second visionnage nous permettrait une meilleure compréhension, mais le film a bien une heure de trop.
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