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Un visiteur
0,5
Publiée le 29 septembre 2006
Je n'avais qu 'une hâte sortir de la salle tellement le film m'ennuyait. D'ailleurs je l'aurai fait si je n'avais pas été au milieu d'une rangée au risque de faire bouger les spectateurs endormis.
Ce film est une imposture ! Là ou on attend une comèdie musicale avec une touche de fraîcheur asiatique; on nous vend une « chose » a forte tonalité pornographique déguiser en film intimiste. On attendait un film renplie de poèsie et de sensualitée. Le cinéaste Taiwanais nous "livre" des images chocs et crus... Heureusement que les rares scènes musicales nous offre un peu de répit! En ensayant d'exprimer les peines et les soufrances d'une sociètée déshumanisée, ou l'appetit sexuelle a été perdu et ou les gens ne communique plus; le réalisateur traduit ses pulsions et ces fantasmes a l'écran. Un problème réside donc. Ce film atteint les limites de ce qui est montrable. Encouragé de tels films, c'est permettre à la violence de se répandre encore un peu plus à travers le monde. On se demande alors comment se fait t'il que ce genres de bobines franchissent les frontières pour se retrouver dans nos contrées. Tout les buts sont manqués.Pour donner plus de saveur, de consitance a son film, Le metteur en scène tente de représenter l'enfermement des personnages: Résultat des plans de couloirs, et d'éscaliers d'une durée interminable ! C'est donc d'un profond ennui, et quand sa s'aggite On détourne le regard horrifié. Certaines scènes relèvent le niveau médiocre de ce film de part leurs cadrage assez remarquable. Le réalisateur c'est donc peut être trompé, il aurait du faire de la photographie et non du cinéma ! La dernière scène est tout bonnement insoutenable, et rend blême. Le filon du scandale et du sulfureux fait recette tant mieux, mais il y a Art cinématographique et "cinéma". Devinez alors dans quelle catègorie ce classe cette saveur de la pastèque au goût atroce ....