Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Impressionne alors l'aisance avec laquelle Tsai, à partir d'un geste ou d'un accessoire, transforme ses saynètes comiques en petites fables allégoriques.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) La Saveur de la pastèque, un jus de derrière les roseaux, extrait d'une cascade de mélanges improbables : sexe et comique, grotesque et mélancolie, comédie musicale et pornographie, science-fiction et burlesque, allégorie politique et composition poétique
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Gérard Delorme
Si Tsai Ming-Liang creuse une fois de plus le sillon de la solitude et de l'aliénation urbaine, il le fait avec une puissance et une précision qu'il n'avait encore jamais atteintes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Julien Welter
Attention donc, derrière un titre aux relents de plénitude zen peut se cacher un film qui dynamite les visions porno chics ou déprimantes que le cinéma français distille sur la libido.
La critique complète est disponible sur le site Score
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
(...) le cinéaste continue de surprendre et d'édifier des films mirifiques qui ressemblent à toutes ces choses étranges et indéfinissables qui circulent dans nos têtes, qu'on pense uniques et qui en réalité traduisent un même besoin universel. Superbe.
Brazil
par Eric Coubard
Doucement les Croisés, rangez vos glaives, ce film est très drôle (le tournage du film pornographique et ses imprévus), enfin si votre éducation vous permet de le prendre au second degré (...) La saveur de la pastèque est une provocation délibérée.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Héléna Villovitch
Réflexion sur le sexe et l'amour, le voyeurisme et la frustration. Au final, plutôt....rafraîchissant !
La critique complète est disponible sur le site Elle
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
A l'aide de plans fixes épuisés et d'un talent certain à créer la surprise - on défie quiconque d'imaginer le plan qui va succéder à celui qui est projeté - , il nous invite au fou-rire et à le suivre dans son délire dépressif avec une délectation aussi rafraîchissante que communicative.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Tsai Ming-liang prolonge son univers anxiogène avec une variation très sexuelle sur la dépendance.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Camille Brun
Les habitués du réalisateur retrouveront alors les plans longs superbement composés, la rareté des dialogues (l'héroïne ne dit qu'une phrase de tout le film !), l'importance accordée à l'eau, les points de départ tordus, les moments hilarants et toujours surprenants.
Ouest France
par La rédaction
Un film incongru (...) Vous en serez amusé, choqué, agacé, estomaqué, dérangé. Toute l'échelle des réactions et des sensations, sauf celle de l'indifférence.
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
(...) une reflexion plus fouillée méritait d'être développée quant au rapport entre ce qu'on appelle (pour faire vite) le cinéma d'Extrême-Orient et la catégorie esthétique du formalisme.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Dans une Taïwan caniculaire, Tsai Ming-liang orchestre le film le plus étonnant de l'année.
Zurban
par Claire Vassé
(...) le film nous offre effectivement des moments de comédie musicale réjouissants.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Bien sûr on les aime toujours, et comment s'en défaire, de tous ces films et de ce film-là aussi, si beau par moments (on y revient) ? Mais que Tsai (comme Hou) ne soit pas loin de tourner en rond, c'est une évidence.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par Julie Deh
(...) le film est riche en contrastes. Certains quitteront la salle, ennuyés, dégoûtés, désorientés. D'autres ne perdront pas une miette de ce film atypique qui ne joue pas la facilité (...)
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Humanité
par Jean Roy
Autant dire que ce film est réservé aux amateurs de scènes sexuelles chantées faisant de l'emploi inventif et immodéré de la pastèque leur sort commun. C'est peu pour garantir une fréquentation soutenue mais assez pour fonder un club d'amateurs ravis.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) toujours aussi virtuose, toujours aussi inventif [Tsai Ming Liang] tire aujourd'hui un peu trop sur la corde de ses marottes et de ses obsessions, comme incapable de faire franchir à son cinéma le pas qui le sépare du public.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télérama
par Jacques Morice
Le film exhale la plupart du temps une poésie à la fois bouffonne et mélancolique (...) On ressort de tout ça assez secoué, sans trop savoir si la vague nausée qu'on ressent alors est un bon ou un mauvais signe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Si l'idée de départ semble amusante et originale on tombe vite dans un curieux méli-mélo (...) On s'ennuie ferme ! Et la pastèque devient vite indigeste.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Cahiers du Cinéma
Impressionne alors l'aisance avec laquelle Tsai, à partir d'un geste ou d'un accessoire, transforme ses saynètes comiques en petites fables allégoriques.
Le Monde
(...) La Saveur de la pastèque, un jus de derrière les roseaux, extrait d'une cascade de mélanges improbables : sexe et comique, grotesque et mélancolie, comédie musicale et pornographie, science-fiction et burlesque, allégorie politique et composition poétique
Première
Si Tsai Ming-Liang creuse une fois de plus le sillon de la solitude et de l'aliénation urbaine, il le fait avec une puissance et une précision qu'il n'avait encore jamais atteintes.
Score
Attention donc, derrière un titre aux relents de plénitude zen peut se cacher un film qui dynamite les visions porno chics ou déprimantes que le cinéma français distille sur la libido.
aVoir-aLire.com
(...) le cinéaste continue de surprendre et d'édifier des films mirifiques qui ressemblent à toutes ces choses étranges et indéfinissables qui circulent dans nos têtes, qu'on pense uniques et qui en réalité traduisent un même besoin universel. Superbe.
Brazil
Doucement les Croisés, rangez vos glaives, ce film est très drôle (le tournage du film pornographique et ses imprévus), enfin si votre éducation vous permet de le prendre au second degré (...) La saveur de la pastèque est une provocation délibérée.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Réflexion sur le sexe et l'amour, le voyeurisme et la frustration. Au final, plutôt....rafraîchissant !
Les Inrockuptibles
A l'aide de plans fixes épuisés et d'un talent certain à créer la surprise - on défie quiconque d'imaginer le plan qui va succéder à celui qui est projeté - , il nous invite au fou-rire et à le suivre dans son délire dépressif avec une délectation aussi rafraîchissante que communicative.
Libération
Tsai Ming-liang prolonge son univers anxiogène avec une variation très sexuelle sur la dépendance.
MCinéma.com
Les habitués du réalisateur retrouveront alors les plans longs superbement composés, la rareté des dialogues (l'héroïne ne dit qu'une phrase de tout le film !), l'importance accordée à l'eau, les points de départ tordus, les moments hilarants et toujours surprenants.
Ouest France
Un film incongru (...) Vous en serez amusé, choqué, agacé, estomaqué, dérangé. Toute l'échelle des réactions et des sensations, sauf celle de l'indifférence.
Positif
(...) une reflexion plus fouillée méritait d'être développée quant au rapport entre ce qu'on appelle (pour faire vite) le cinéma d'Extrême-Orient et la catégorie esthétique du formalisme.
TéléCinéObs
Dans une Taïwan caniculaire, Tsai Ming-liang orchestre le film le plus étonnant de l'année.
Zurban
(...) le film nous offre effectivement des moments de comédie musicale réjouissants.
Chronic'art.com
Bien sûr on les aime toujours, et comment s'en défaire, de tous ces films et de ce film-là aussi, si beau par moments (on y revient) ? Mais que Tsai (comme Hou) ne soit pas loin de tourner en rond, c'est une évidence.
Fluctuat.net
(...) le film est riche en contrastes. Certains quitteront la salle, ennuyés, dégoûtés, désorientés. D'autres ne perdront pas une miette de ce film atypique qui ne joue pas la facilité (...)
L'Humanité
Autant dire que ce film est réservé aux amateurs de scènes sexuelles chantées faisant de l'emploi inventif et immodéré de la pastèque leur sort commun. C'est peu pour garantir une fréquentation soutenue mais assez pour fonder un club d'amateurs ravis.
L'Obs
(...) toujours aussi virtuose, toujours aussi inventif [Tsai Ming Liang] tire aujourd'hui un peu trop sur la corde de ses marottes et de ses obsessions, comme incapable de faire franchir à son cinéma le pas qui le sépare du public.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Télérama
Le film exhale la plupart du temps une poésie à la fois bouffonne et mélancolique (...) On ressort de tout ça assez secoué, sans trop savoir si la vague nausée qu'on ressent alors est un bon ou un mauvais signe.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Si l'idée de départ semble amusante et originale on tombe vite dans un curieux méli-mélo (...) On s'ennuie ferme ! Et la pastèque devient vite indigeste.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com