Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Brazil
par Caroline Vié
Voilà du vrai cinéma radical comme on l'aime. Rêche. Dur. Apre. Une plongée en apnée dans une réalité dérangeante.
Fluctuat.net
par Marc Petit
Toujours aussi farouchement indépendant, Todd Solondz continue donc son bonhomme de chemin. Il questionne et provoque des réactions. Il traite des sujets tabous et conserve cette rare capacité de surprendre en jouant avec l'intelligence du spectateur. Il faut rester en éveil en permanence face à un tel éclatement d'imagination, de créativité et de folie. C'est rare, donc précieux.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Les Inrockuptibles
par Olivier Nicklaus
Le meilleur film de Solondz à ce jour. [...] La clarté, la simplification, les débats binaires, autre spécialité US, tout cela emmerde profondément Solondz.
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
par Yannick Blay
Palindromes met une nouvelle fois le doigt sur des sujets sensibles et épineux avec la plus grande délicatesse mais toujours avec un humour noir et déjanté et une originalité des plus mordantes.
L'Humanité
Solondz est un provocateur et son ironie est souvent cruelle. Mais dans l'univers balisé du cinéma américain, son talent et sa singularité en font un personnage essentiel.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le mise en place se révèle parfois un peu mécanique, mais l'ensemble n'en est pas moins étonnant, portrait explosé à partir duquel se compose le tableau éclaté d'une société complètement paumée. Cela ne ressemble à rien, en l'espèce c'est un grand compliment. Les films dont "ceux qui savent" prétendent qu'ils n'intéressent personne font avancer le cinéma.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Dans ce film, pourtant, quelque chose d'ambigu s'installe. L'excès des bouleversements exprimés par les personnages, une forme d'extase pathétique concentrée dans les confessions et les supplications, laisse passer le ricanement impitoyable du cinéaste.
Libération
par Stéphane PIATZSZEK et Olivier SEGURET
Palindromes vaut par sa morale : "On ne change pas", telle que l'assène Mark, pauvre hère accusé de pédophilie, dans une confession déchirante à Aviva. Ces deux-là ne sont pas que les porte-étendards de cette croyance qui en vaut bien une autre, et Solondz est trop bon cinéaste pour ne pas leur offrir aussi une belle vie de personnage.
Ouest France
[Solondz] joue ici à faire jouer le même personnage par plusieurs interprètes, comme pour souligner le caractère stéréotypé des caractères qu'il raconte. Un jeu désarçonnant mais malin et intelligent.
Rolling Stone
par Grégory Alexandre
Sa démonstration par l'absurde, parfois très drôle, est sans doute un chouïa trop torturée pour convaincre à 100%, mais elle a le mérite de ne jamais se voiler la face.
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Un film hors du commun, fascinant et hypermalin, drôlissime par moments, aux ambiguïtés volontaires.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par Gilles Verdiani
À l'endroit comme à l'envers, on ne voit pas très bien où Solondz veut en venir avec ce conte intemporel. Mais l'expérience est originale, et plusieurs scènes, d'une férocité éblouissante, nous rappellent que l'auteur est un des plus fins satiristes de L'Amérique éternelle.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
C'est précisément cet aspect bizarre qui rend cette expérience ciné férocement originale. Par ailleurs, le fait que le cinéaste continue de faire voler en éclats les sacro-saintes valeurs US (...) de transgresser les tabous (...) et de triturer les conventions du récit (...) est un bon signe.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Télérama
par Louis Guichard
Entre le Petit Chaperon rouge et Alice aux pays des horreurs (pédophilie comprise), [l'héroïne] parcourt le spectre des croyances et des cultures avec la sensation du surplace : d'un extrême à l'autre, c'est le même verrouillage de la pensée, le même défaut de liberté.
Zurban
par Olivier Pélisson
Prenant le parti gonflé de filmer son héroïne sous les traits de différents interprétes, le réalisateur décline le sens du titre du film. Rien ne change, on revien toujours à son point de départ, le tout étant de s'accépter. Un étrange voyage.
Cahiers du Cinéma
par Sylvain Coumoul
La perversité du chiasme opère à plein régime. Au début du film, le thème de l'avortement ; à la fin celui de la pédophilie ; au centre, une famille d'affreux chrétiens intégristes n'ayant à la bouche que "save the children".
Elle
par Elisabeth Quin
Enorme déception et, pire que ça, malaise davant le nouveau film de l'amusant et soi-disant subversif Solondz ("Happiness").
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Figaro
par M.-N. T.
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Les amateurs de fantaisies bizarres apprécieront ce conte qui mêle fantasmes enfantins et satire sociale. Après Happiness et Storytelling, l'Américain Todd Solondz cisèle de nouveau ses petites vignettes ironiques sur le bonheur et l'amour. Très élaboré, très chic, assez snob.
Brazil
Voilà du vrai cinéma radical comme on l'aime. Rêche. Dur. Apre. Une plongée en apnée dans une réalité dérangeante.
Fluctuat.net
Toujours aussi farouchement indépendant, Todd Solondz continue donc son bonhomme de chemin. Il questionne et provoque des réactions. Il traite des sujets tabous et conserve cette rare capacité de surprendre en jouant avec l'intelligence du spectateur. Il faut rester en éveil en permanence face à un tel éclatement d'imagination, de créativité et de folie. C'est rare, donc précieux.
Les Inrockuptibles
Le meilleur film de Solondz à ce jour. [...] La clarté, la simplification, les débats binaires, autre spécialité US, tout cela emmerde profondément Solondz.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
Palindromes met une nouvelle fois le doigt sur des sujets sensibles et épineux avec la plus grande délicatesse mais toujours avec un humour noir et déjanté et une originalité des plus mordantes.
L'Humanité
Solondz est un provocateur et son ironie est souvent cruelle. Mais dans l'univers balisé du cinéma américain, son talent et sa singularité en font un personnage essentiel.
L'Obs
Le mise en place se révèle parfois un peu mécanique, mais l'ensemble n'en est pas moins étonnant, portrait explosé à partir duquel se compose le tableau éclaté d'une société complètement paumée. Cela ne ressemble à rien, en l'espèce c'est un grand compliment. Les films dont "ceux qui savent" prétendent qu'ils n'intéressent personne font avancer le cinéma.
Le Monde
Dans ce film, pourtant, quelque chose d'ambigu s'installe. L'excès des bouleversements exprimés par les personnages, une forme d'extase pathétique concentrée dans les confessions et les supplications, laisse passer le ricanement impitoyable du cinéaste.
Libération
Palindromes vaut par sa morale : "On ne change pas", telle que l'assène Mark, pauvre hère accusé de pédophilie, dans une confession déchirante à Aviva. Ces deux-là ne sont pas que les porte-étendards de cette croyance qui en vaut bien une autre, et Solondz est trop bon cinéaste pour ne pas leur offrir aussi une belle vie de personnage.
Ouest France
[Solondz] joue ici à faire jouer le même personnage par plusieurs interprètes, comme pour souligner le caractère stéréotypé des caractères qu'il raconte. Un jeu désarçonnant mais malin et intelligent.
Rolling Stone
Sa démonstration par l'absurde, parfois très drôle, est sans doute un chouïa trop torturée pour convaincre à 100%, mais elle a le mérite de ne jamais se voiler la face.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Un film hors du commun, fascinant et hypermalin, drôlissime par moments, aux ambiguïtés volontaires.
TéléCinéObs
À l'endroit comme à l'envers, on ne voit pas très bien où Solondz veut en venir avec ce conte intemporel. Mais l'expérience est originale, et plusieurs scènes, d'une férocité éblouissante, nous rappellent que l'auteur est un des plus fins satiristes de L'Amérique éternelle.
aVoir-aLire.com
C'est précisément cet aspect bizarre qui rend cette expérience ciné férocement originale. Par ailleurs, le fait que le cinéaste continue de faire voler en éclats les sacro-saintes valeurs US (...) de transgresser les tabous (...) et de triturer les conventions du récit (...) est un bon signe.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Télérama
Entre le Petit Chaperon rouge et Alice aux pays des horreurs (pédophilie comprise), [l'héroïne] parcourt le spectre des croyances et des cultures avec la sensation du surplace : d'un extrême à l'autre, c'est le même verrouillage de la pensée, le même défaut de liberté.
Zurban
Prenant le parti gonflé de filmer son héroïne sous les traits de différents interprétes, le réalisateur décline le sens du titre du film. Rien ne change, on revien toujours à son point de départ, le tout étant de s'accépter. Un étrange voyage.
Cahiers du Cinéma
La perversité du chiasme opère à plein régime. Au début du film, le thème de l'avortement ; à la fin celui de la pédophilie ; au centre, une famille d'affreux chrétiens intégristes n'ayant à la bouche que "save the children".
Elle
Enorme déception et, pire que ça, malaise davant le nouveau film de l'amusant et soi-disant subversif Solondz ("Happiness").
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Les amateurs de fantaisies bizarres apprécieront ce conte qui mêle fantasmes enfantins et satire sociale. Après Happiness et Storytelling, l'Américain Todd Solondz cisèle de nouveau ses petites vignettes ironiques sur le bonheur et l'amour. Très élaboré, très chic, assez snob.