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Objectivons
315 abonnés
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3,0
Publiée le 4 avril 2017
Mon ressenti est semblable à celui du second film : Destination finale 3 n'est pas à la hauteur du 1. Il y a en plus une dose supplémentaire de stéréotypes, avec par exemple les deux bimbos superficielles (dont forcément une blonde), un noir qui mise tout sur le sport et qui ne rêve que de gloire... On se serait passé de tout ça. Néanmoins, la façon dont meurent les "condamnés par le destin" est de plus en plus originale (si on peut employer le terme), et j'ai bien apprécié le scénario du drame sur la montagne russe, tout comme l'ironie de la fin du film.
Critique publiée le mercredi 5 octobre 2011, revue ce jour.
Le premier Destination finale, de James Wong, égérie de la mythologie The X-files, avait su imposer sa patte mystérieuse sur la mort qui voulait rattrpaer une erreur dans le plan... Le second réalisé par le second en chef de James Wong, où tout ayant été dit dans le premier, propose dans la surenchère de morts violentes, toujours dans un second degré, mais avec "de savoir comment ils allaient y passer tellement les indices étaient peu évident... Le troisième, repris par l'initiateur de la série, continue dans la débauche morbide du précedent opus, mais sans trop chercher à nous questionner sur comment cela va arriver, le but maintenant est de mettre nos "héros" face à la mort de façon encore plus violente, gore (le coup du moteur), perverse (les UV) voir sadique. Le film a aussi son accident d'ouverture (après le crash d'avion et le carambolage), voici l'accident au parc d'attraction, avec c'est vrai un véritable suspens instauré, mais cette fois-ci plutôt brouillon. Mais ceci sera rattrapé par l'humour "très" noir qui sera valonné tout le long du film jusqu'à une fin dès plus ouverte...
Après un premier épisode assez sympathique, et un deuxième vraiment fun, Destination Finale revient. James Wong reprend le contôle en réalisant de troisième épisode. Bon, soyons direct, cette suite est mauvaise, très mauvaise. Bien évidemment, le scénario ne surprend plus personne, mais là n'est pasle problème puisque l'épisode 2 était mieux que le premier. Lorsqu'un film ne peut pas surprendre scénaristiquement, il n'y a plus qu'une chose à faire, surprendre techniquement, visuellement ( chose qu'avait très bien réussit David R. Ellis ). Malheureusement, James Wong ne parvient jamais à transcender son sujet, et nous livre un film aussi plat que vain. Une grande déception.
Enorme, après un deux ou l'on croyais vraiment fini la saga, ce troisème episode est magistral du fait de la première scéne déjà !! Après les morts sont encore une nouvelle fois superbement bien trouvée. Bref génial.
Si les mises à mort demeurent toujours assez plaisante dans l'ensemble, ce troisième opus souffre cruellement de son manque d'originalité. Restant sur les acquis de la franchise, le film cumule les maladresses et peine à vraiment convaincre. Les héros naviguent dans l'histoire sans aucune cohérence ni crédibilité à l'image du jeu des acteurs (vraiment pas très bon et caricatural). Reste que le film est divertissant mais très anecdotique.
Dans ce troisième opus, la saga s'affaiblit quelques peu et ne trouvent ses marques ni dans l'horreur, ni dans l'humour. Une suite bien fade et peut-être trop calquée sur le premier épisode, mais qui se regarde malgré tout comme un bon divertissement gore avec du pop-corn et un gobelet de soda (en 80cl SVP).
De nouveau derrière la caméra (il avait réalisé le premier volet), James Wong reprend les ingrédients qui ont fait le succès des deux premiers "Destination finale". Ni plus ni moins. Sauf... Si la réalisation de Wong est plus sombre et plus efficace que celle de David R. Ellis, les morts commencent à s'essoufler...
Le plus faible des trois, fini la pluralité du casting des précédents films, ici on a droit au groupe d'ado stupide, l'empathie ne fonctionne pas (déjà que ce n'était pas forcément le point fort de la série). Wong foire sa scène d'ouverture dans les grandes largeurs (chute de wagons et des passagers en hors champs, bof bof. Et c'est pas deux plans gores qui vont sauver cette intro) la suite du métrage est une succession de mis à mort entre-coupées de passage servant à développer la psychologie torturée de l'héroïne autant dire qu'on aurait pu se passer de ces passages laborieux et se contenter des mise à mort qui sont, il faut l'avouer, souvent jouissive et bien torchée (la mort des deux bimbos, brillamment mis en scène). Alors que les deux premiers se terminaient de manière abrupt et souvent ironique, là on a le droit à une nouvelle catastrophe bien trop longue et maladroite (ça se termine comme si c'était une vision) pour être efficace.
De loin le moins prenant de la trilogie. On sent l'essoufflement après un bon premier et un deuxième génial. Les morts sont moins spectaculaires, la scène d'intro classique est, elle aussi, beaucoup moins bonne que le crash d'avion du 1 et la scène de l'autoroute du 2. Puis surtout on est moins pris par l'angoisse de savoir ce qui va finalement arriver à chacun des survivants! Les accidents sont presque trop évident parfois. Dommage. Pas nul, mais loin derrière ses deux grands frères!
Un peu honteusement, j'avoue aimer cet opus de façon irraisonnée : oui, c'est mal fait, les effets spéciaux sont par moments ridicules (le "coup de panneau" à la fête) et les acteurs sont des caricatures du genre épouvante (le jeune à la casquette à l'envers avec son caméscope vissé à la main... soit le boulet qui cause l'accident). Un accident très improbable, on s'entend bien (vous risquez davantage de mourir en glissant dans les escaliers que sur une montagne russe, alors on a moins peur que pour les accidents d'avion et de la route précédents). Mais le film est fun. Et c'est tout ce qui m'a importé la première fois que je l'ai vu (en début d'adolescence, l'âge parfait pour ce genre de film à demi-effrayant et à demi-drôle). Les misses qui se la jouent saucisses grillées dans les cabines à bronzer sur une musique toute guillerette, la scène qui me fait toujours beaucoup rire. L'accident de départ est assez comique lui-même, et la fin (bien que prévisible pour ceux qui auront vu les deux films précédents) reste réussie. Le vrai coup novateur aura été de placer un personnage méchant (Ian McKinley) brillamment doublé par Alexis Tomassian, qui essaie de devancer les projets de la Mort pour s'en tirer lui-même. Cette mesquinerie égoïste est une bonne idée car l'on se demande ce que l'on aurait fait, à sa place... Beaucoup (comme moi), découvrirons qu'ils ne valent pas mieux (un bon coup de fusil, et hop, cinquante ans d'espérance de vie en rab...). Un film fun, qui nous empêchera d'abuser des cabines à bronzer, au moins !
Sans dévoiler quoi que ce soit, ici les codes (lisez la trame commune aux trois versions) sont respectés. Mais contrairement au premier et surtout au second opus la mise en bouche est un peu plate. On attendait à beaucoup de la scène du grand 8, et toute la promo tournait autour de ça. Cest un flop ! Montage trop syncopé, plans « estropiés », bref beaucoup de bruit pour rien Heureusement, il y a la suite. La mort na pas perdu la main. Même si physiquement elle est moins impliquée à lécran, elle déteste plus que jamais quune petite bande de jeunots viennent déjouer ses plans. Elle règle son compte, et ça nous donne droit à quelques scènes danthologies vraiment trash et inattendues dont le bouquet est le final. Bon on passe un bon moment malgré quelques pertes de rythme. Mais il ny a pas à dire, ça ne vaut pas, loin sen faut, destination finale 2 qui reste à ce jour le meilleur de la série, mais aussi lun des plus grands films dangoisse de tous les temps !