Derniers Avis : Terminator Renaissance - Page 22

Plutôt déçu. Faire un Terminator sans son icône était risqué, et ils se sont un peu pris les pieds dans le tapis avec une histoire écrite un peu à la va-vite. Les persos sont bof car les acteurs donnent sans plus, et certaines scènes laissent perplexes.
Mais le tout est très joli et bien filmé.

Ce Terminator est de trop qui gâche le mythe créé par James Cameron.
Aucun intérêt, sans queue ni tête, qui restera basique tout au long du film.
Alors oui, cela permet une fois de plus, de constater que les grands studios hollywoodiens savent y faire en matière d'effets spéciaux, mais sérieusement arrêtez le massacre.
C'est bon, on a compris, visuellement vous savez y faire mais coté scénario? Plus de budget pour créer une histoire digne de ce nom?
Que fait ce Marcus dans le film? A quoi il sert dans la saga? Qui a inventer ce personnage?...Un Terminator à éviter qui n'apporte absolument rien de plus à la franchise.
La vision du futur de cette guerre est bien meilleur dans nos têtes malheureusement.
Ici nous avons droit à une accumulation de poursuites et de batailles qui, au final, n'apporte rien encore une fois.
L'humour des premiers volets, qui en faisait en parti son charme, a totalement disparu.
Les personnages n'ont pas de profondeurs et la présence de Christian Bale n'apporte pas à ce film. Sans lui c'est la même histoire : un gâchis.
Et dire que l'on préfère le film du même nom qui date d'il y a trente ans en arrière...
Vive le progrès !! Et vive les effets spéciaux sans histoire !!

Enfin un scénario qui se détache des autres opus! Malheureusement celui-ci va même chercher trop loin :p. Bref, on se retrouve enfin dans le futur, tout est très joli, effets spéciaux et mécaniques. Mais les protagonistes ont pris un coup aussi et on retrouve un John Connor bien fatigué incarné par un Bale assez amorphe, seul Worthington et Yelchin ressortent du lot. On aurait donc aimer voir plus de choses en rapport avec les autres films, en définitive la présence de Marcus est carrément inutile et sert juste de prétexte au réalisateur pour faire rencontrer Reese et Connor. On peut aussi bouder l’absence quasi-complète d'humour. Bref, on attendra encore une suite digne de ce nom...

ayant vu les 3 premiers terminator,j avais peur d etre decu par une suite mais la je dois dire qu il n en est rien,des effets speciaux a couper le souffle,des machines creees avec un realisme et un graphisme remarquable, je ne peux que conseiller de le voir

Une déception pour cette énième suite de Terminator, qui ne parvient pas à se distinguer comme le 3 se la série.

McG propose une vision du futur que Cameron a laissé entrevoir. L'intrigue est bien ficelée et les scènes d'actions se suivent, offrant clins d'oeil et références aux précédents opus. Le spectateur ne peut pas bouder son plaisir s'il est venu voir un film d'action. Par contre, s'il est venu apprécier la complexité d'une saga pionnière de la SF moderne, une pointe de déception est au rendez-vous. Paradoxe temporel, technologie à 2 vitesses, échos prophétiques et mise en avant du héros. Ce John Connor manque clairement d'humilité comparé à ses ainés et que dire de Marcus, un anachronisme à lui seul de par la technologie dont il est fait. Au final, la saga "Terminator" se conclut sur le même schéma que Matrix : dans une guerre fantasmée à l'américaine où la résistance est organisée, hiérarchisée et fournie en arme comme un régiment de marines sur-entrainés. On saupoudre de romance cyborg-la-praline et de bons sentiments et le tour est joué ! On obtient une fin risible qui aurait été très facilement évitée et coûte à ce film sa troisième étoile ! Un moment de cinéma agréable qui peine cependant à raviver sa dimension épique d'antan.

Depuis le temps qu'on nous en parle, il fallait bien que l'on finisse par voir à quoi peut bien ressembler cette guerre entre les humains et les machines. C'est donc dans un contexte post-apocalyptique que commence ce dernier opus de la saga "Terminator", tandis que John Connor sait qu'il devra bientôt rencontrer son père et l'envoyer dans le passé... Mais dans ce film, malheureusement rien ne sera approfondi concernant les voyages dans le temps. En revanche, on a droit à une histoire franchement bizarre de robot humanoïde qui à la base était un véritable être humain et s'est retrouvé contre son gré dans le clan des machines en tant qu'espion... Au début, je pensais que c'était pour expliquer l'origine des terminators, comme s'il s'agissait d'un premier prototype conçu directement à partir d'un homme. Car après tout, les autres terminators que l'on voit ne sont pas (encore ?) recouverts de tissus vivants et s'apparentent à des squelettes métalliques, étant donné qu'ils sont conçus pour le combat et non pour l'infiltration... Mais finalement non, ce robot humanoïde n'a rien à voir avec un prototype de première génération, étant donné que l'on découvre, tard dans le film, un modèle de Schwarzy que les producteurs avaient gardé de côté afin de rappeler au spectateur qu'il s'agit bel et bien du quatrième volet de "Terminator".
Pourtant, je ne peux m'empêcher de penser qu'il manque à ce film tout ce qui a fait jusqu'à présent le charme de la saga, notamment l'humour qui est terriblement absent...
Peut-être que la fameuse guerre contre les machines était bien mieux dans un coin de notre tête, telle que chacun pouvait se l'imaginer, plutôt que servie sur un plateau d'argent dans cette suite qui est de trop. En soi, je comprends la volonté de vouloir faire quelque chose de différent, surtout que "Terminator 3" commençait déjà à sentir le réchauffé, et je trouve logique que ce dernier film décide de nous montrer le combat entre les hommes et les machines... Cependant, on pouvait s'attendre à quelque chose de plus réussi et surtout de plus lié aux précédents films. Lorsque je regarde une suite, j'aime bien y voir des liens directs avec les films qui ont précédé, une certaine cohérence homogène; par exemple, j'ai adoré les extraits de "Retour vers le futur" dans "Retour vers le futur 2"... Ici, on ne voit pas vraiment ce que l'on est venu voir, mais on voit plein d'autres trucs ! Alors on peut dire que ce "Terminator Renaissance" est celui qui se détache le plus de la saga, un peu comme "Retour vers le futur 3", mais en nettement moins réussi. Dommage !

Ca fait plaisir de continuer la saga Terminator mais fallait confié à d'autres la réalisation de ce film. Tout est dans la surenchère et question crédibilité faudra repassé. Un scénario qui ne se soucie pas des détails. Une réalisation très médiocre (images trop sombres pour apercevoir quelque chose). Des effets spéciaux moyens, pour le prochain faut être plus basique et arrêté de faire du blockbuster sans cervelle.

AH AH AH !!!
Terminator est devenu désormais un vilain cabotin !
Il ne lui manque plus que la parole pour vanner le héros, mais sinon il fait comme tout les vilains très forts : il n'est pas là pour tuer son adversaire, mais pour l'envoyer faire de multiples vols planés contre des placards en inox. Il s'amuse avec son ennemi avant de le tuer, maintenant, terminator, et il s'amuse très longtemps même. Ouais ouais, on a du le reprogrammer pour ça. Oulalala, quel suspens ! Bien sur c'est pas très réaliste, car après un vol plané de 6 mètres, normalement, le gentil zhéro devrait avec la colonne vertébrale en miette, le crane fracassé, ou toutes les côtes pulvérisées. Mais non, il y a une règle gravée dans le marbre du mauvais cinéma d'Hollywood qui dit :
- Un méchant, quelque soit sa force surhumaine, ne tue jamais un gentil en lui faisant faire des vols planés contre de parois de tout type !
Et une deuxième règle dit :
- Plus il y a de vols planés, plus c'est drôle, et plus il y a de suspens !
Notons aussi qu'un héros à le droit d'être transpercé par un pieu en pleine poitrine et de survivre, à condition qu'il ne soit pas un vampire ! Ouf John Connors n'est pas un vampire, tout va bien, il ne craint rien.
Sinon du coté de skynet, ce n'est pas très rationnel non plus : on envoie un agent pour avoir une information essentielle : savoir quand John Connors va ramener sa fraise. A partir de là, si skynet était un peu fufute, il tendait un piège pour zigouiller le héros à coups sur à son arrivée, sans compter le fait de zigouiller son agent qu'il est sur de voir trahir.
Mais non skynet cabotine aussi, ouh le farceur ! Il préfère attendre d'abord que les zhéros viennent foutre le foutoir chez lui, libérer tous les prisonniers, placer des bombinettes sur les murs, un vrai moulin à vent la baraque à skynet, on entre on sort comme on veut.
Au dernier moment skynet envoi quand même un terminator à la rencontre de john, juste un peu avant qu'il se tire. Hey John, tu resteras bien pour diner ce soir quand même ?

Bon, une étoile cinq pour les scènes d'action débiles mais qui fracassent bien.
Sinon, terminator, c'est fini, mort, enterré. C'est beaucoup trop fatigant pour les scénaristes de trouver des situations avec :
- un méchant qui ne discute pas au moment de tuer quelqu'un et qui cherche la ligne droite la plus directe pour tuer ses ennemis sans fioritures artistiques.
- des situations stressantes dans lesquelles les gentils doivent échapper au méchant mentionné malgré le fait qu'il ne leur fera décidément pas de cadeau, ne leur laissera pas le temps d'une pose pipi, ou d'une dernière cigarette.

Bin ouais, c'est beaucoup plus facile, les scènes d'action avec des méchants qui cabotinent ! On peut remplir facilement avec des séries de vols planés. YOUPI !

Les deux premiers volets de la désormais tétralogie Terminator ont marqué durablement le cinéma de science fiction. Le deuxième particulièrement, mélange étonnant d’effets spéciaux alors révolutionnaires, parfaitement soutenus par une histoire fascinante, un rythme incroyable et une maitrise sans égal des ambiances et de la mise en scène. Mais voilà, tout le monde n’est pas James Cameron. Après un très tiède épisode 3, les producteurs se sont sentis obligés de presser le citron jusqu’au bout en recyclant une fois de plus les thèmes de la saga, mais en plaçant directement celle-ci dans le futur, après le « jugement dernier » et la prise de pouvoir par les machines. Pourquoi pas après tout. Sans s’attendre à ce que le film n'atteigne les sommets de ces illustres prédécesseurs on pouvait au moins espérer un bon film d’action apocalyptique. Peine perdue, tout est (quasiment) à jeter.

D’abord, le script. Qui n’est au final qu’une grande machine à foutage de gueule, et parfois une franche insulte à l’intelligence des spectateurs. Raccourcis honteux, invraisemblances totales, écarts monstrueux avec l’esprit de la sage, n’en jetez plus la coupe est pleine. D’une idée de départ plutôt intéressante, qui intègre à la fois le père de John Connor et un robot un peu humain, on nous sert une grosse ratatouille qui est surtout prétexte à faire exploser la plus grande partie du décor et à faire sortir de leur caisse des tas de robots flambants neufs : avions, motos, serpents de mers, et même des gros avec des bras qui ressemblent à celui du méchant dans les Indestructibles. Une vraie foire du Terminator, et donc tout un lot de scènes de combats, au détriment d’une histoire traitée par-dessus la jambe. Et plus le récit avance, plus le scénario doit plâtrer les invraisemblances avec de nouveaux raccourcis. Faut qu’un type s’évade ? Pas de problème, une fille tombe instantanément amoureuse de lui et le fait sortir d’une base ultrasurveillée. Connor n’a plus de moyen de locomotion ? No soucy, on tend une corde en travers de la route et on attend que le prochain robot passe et se prenne les pieds dedans ( ! ) Le summum est atteint dans la scène finale, qui doit marquer le point culminant émotionnel et qui se perd dans les éclats de rire gênés de la salle. Pathétique…

Ensuite, le réalisateur. Quelle idée saugrenue de confier le bébé au metteur en scène de Drôles de Dames ! MCG (qui ne donne pas son vrai nom, on comprend mieux pourquoi maintenant) empile les d’action sans éclat (à part une sympathique poursuite dans le désert) et ne maitrise ni le tempo, ni la progression dramatique de l’histoire. On en vient à souhaiter pour lui que le film ait été remonté en son absence tant la narration de dernière demi-heure donne une impression de foutoir total.

Enfin l’ambiance. La peur de la machine, la phobie du jugement dernier, l’humour rock n’roll, c’est terminé. La seule ambiance consiste à filmer avec une photo très classe, des décors d’apocalypse, au demeurant plutôt soignés. Point barre. Dès que le plan large est fait, on revient vite au boum-boum réglementaire et systématique. Le pauvre Christian Bale ne sauve pas un personnage caricatural, en passant la moitié du film à hurler dans un talkie, et l’autre à annoncer la fin du monde avec une tête d’enterrement.

Un naufrage complet et irrécupérable. La franchise Terminator ne méritait sûrement pas ça.

Franchement je le trouve bof ce film, je savais deja comment ca aller se terminer .. bref trop cliche, j etais fan du 1er mais la j ai galerer pour suivre se film jusqu a la fin ... je me demande meme si j ai pas un peu abuse en lui donnant la moyen lol.

C'est un film d'action honorable mais qui n'a plus rien à voir avec les deux premiers OPUS qui sont l'âme de cette tetralogie.

Christian Bale est un excellent Batman mais un Connor assez moyen.Quelques bonnes scènes dans un film qui met trop en avant un cyborg(Sam Worthington)inintéressant.Je préfére largement Schwarzy ou Cameron dans la série ''Les chroniques de Sarah Connor''.

Nouvelle approche de la saga Terminator qui malgré l'abscence de Schwarzy ne manque pas de piquant. Evolution intéressante des personnages à différents stades de leur vie au fil des films. McG réussi une belle prestation ou d'autres auraient pû échouer. En spéant que la saga évoluera sans partir en cacahuète...

La saga Terminator prend l'eau avec ce film sans intérêt, au scénario inexistant et à l'interprétation médiocre des acteurs. Les effets spéciaux sont réussis, mais cela est bien peu pour sauver le film du désastre. A éviter.