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AMCHI
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2,0
Publiée le 5 mars 2013
Je l'ai découvert une première fois au cinéma et sans le trouver mauvais Terminator Renaissance ne m'avait pas réellement satisfait mais sur grand écran c'était un film assez spectaculaire mais maintenant (après avoir revu les 3 autres et c'est important) je me rends compte qu'il est assez faible d'abord on ne retrouve pas la vision futuriste sombre et désespérée que Cameron nous avait fait apercevoir dans ses films de plus on a droit à une seule petite scène dans une ville en ruine, on aurait souhaité plus de combats entre les robots et les humains . Aux niveaux des personnages c'est Marcus qui se révèle le plus intéressant, l'acteur Sam Worthington se fait connaître en volant la vedette à un Christian Bale un peu effacé en John Connor. J'espère tout de même qu'un 5ème Terminator verra le jour mais qu'il sera plus ambitieux dans son scénario et sa présentation de l'univers.
L'opus signé McG se révèle au final bien meilleur que celle de Mostow. Certes les acteurs ne sont plus les mêmes et la crédibilité en prend un coup. Exit Nick Stahl, Claire Danes et Schwarzenegger pour la première fois pour les raisons politiques que l'on sait même s'il apparaît à la fin du film dans ce qui tient plus du clin d’œil qu'autre chose. Désormais, place à Christian Bale qui a enfin accepté sa position d'ultime recours de l'humanité, Sam Worthington et Bryce Dallas Howard. Pour la première fois, l'action se passe dans le futur. La guerre fait rage entre les machines d'un côté et l'humanité de l'autre, regroupée en petits groupes de résistances tous coordonnés par John Connor. Il y a donc dans ce Terminator Renaissance un gros côté post-apocalyptique qui n'est pas déplaisant. Il y aurait même largement de quoi redémarrer une nouvelle trilogie, dommage que le succès n'ait pas été au rendez-vous. Prendre Bale qui sortait du triomphe du Dark Night était bien calculé mais n'aura finalement pas eu l'effet escompté. Dommage.
Dans un sépia couleur métallique, façon engins de guerre sur champs de ruines, ce nouvel épisode Terminator aborde encore et toujours la résistance humaine face à l'hégemonie des "machines" et autres robots occupés à traquer les hommes pour les éradiquer. Il est bien loin le temps, esthétique comprise, des Terminator de Cameron et Schwarzenegger. L'action, ici, comme dans tout les blockbusters de ce temps, est une affaire de prouesses numériques, de fusillades et d'explosions en tout genre. Hélas, pas plus que la grisaille artistique dans laquelle baigne le film d'un bout à l'autre, cela ne fait une histoire. Celle de O'Connor, qu'on nous désigne comme le messie de l'humanité, se résume à pas grand'chose (avec peut-etre des références, confuses, à l'épisode précédent) tandis qu'un costaud et énigmatique allié venu de nulle part joue les Mad Max au petit pied. Le film de McG est ennuyeux parce qu'il n'y a pas de scénario; et il n'a aucune portée dramatique parce que ses personnages sont des coquilles vides dont les émotions primaires et la destinée indiffèrent complètement. Terminator Renaissance est un film sombre, étriqué, et le contraire d'une aventure ludique.
Malgré quelques incohérences, ce nouvel épisode de Terminator mérite d'être vu. McG prend très aux sérieux l'univers et les personnages : on sent une vraie volonté de soigner chaque détail. Dommage que l'humour du 2 et du 3 ait totalement disparu. Malgré tout cette nouvelle trilogie (puisque 2 autres épisodes sont en chantier) est prometteuse...
un bon film fantastique , les acteurs sont tres bon , les effet spétiaux sont excellent ,la photographie magnifique ; Mais alors la psychologie des personage a revoir tout comme leurs profondeur , et le film est trop vite envoyer . Mais il ce place largement au dessus du 3
Un bon film de guerre futuriste, soit. Mais on est très loin du terminator des premiers films, aux répliques cultes, à la légèreté qui trabsparaît derrière les course poursuite pour éviter de se faire tuer. Terminator renaissance, c'est un peu comme james bond avec Daniel Craig : ça porte le nom d'une série de film, mais on comprend pas forcément pourquoi : on a perdu 'l'âme' du film ...
Beau casting, mais le film est sans saveur; est-ce l'absence de Schwarzy? (quel bonheur de le voir "ressucité" en images de synthèses pendant 2 secondes). Il ressemble peu aux autres mais plus à un sous-Transformers. La série Sarah Connor est largement supérieure!
L’idée d'un Terminator 4 s'annonçait comme un projet des plus épineux, après avoir déjà perdu un peu de son éclat avec un 3eme opus le pari des producteurs était cette fois de relancer la saga par un bond décisif dans le temps, mais au final pour ma part je pense que le résultat n'est pas satisfaisant par rapport à l’impact de la saga originelle. En effet, j'ai trouvé cette 4eme réalisation décevante par rapport aux ambitions affichées, tout d'abord McG aux manettes me paraît être un choix des plus discutables sachant que l'homme était loin d'avoir brillé pour ses « Drôles de dames » on retrouve une mise en scène globalement peu inventive et les dialogues parfois frivoles, quelques séquences et quelques plans sont pourtant très intéressants. Néanmoins l'objectif de reconstitution d'un univers post apocalyptique crédible semble atteint, c'est plutôt au niveau de la narration qu'on peut vraiment faire d'énormes reproches notamment à cause de la présence de scènes d'action pléthoriques, bien réalisées certes, mais au final peu utiles au bon déroulement du scénario, le desservant même en lui conférant au fond un manque de souffle épique, d’intensité et de réel lien entre les séquences. Au contraire les scènes qui m’ont paru les plus intéressantes étaient basées sur le jeu d’acteur au cours de la seconde moitié du film, dans une ambiance beaucoup plus intimiste et là, force est de constater que malheureusement ces scènes sont peu nombreuses, il y a donc un réel manque au niveau émotionnel. Côté interprétation j’ai trouvé vraiment très intéressante la partition de Sam Worthington qui, dans une certaine mesure, vole la vedette à un Christian Bale moins inspiré. Loin d’en faire pour autant un mauvais film, c’est un sentiment de déception qui prend le dessus à la sortie du cinéma, essentiellement basé sur le manque de profondeur, vraiment dommage !
Différent de la trilogie des Terminator qu'on a pu connaître ce film nous offre une toute autre version du genre qui est tout simplement excellente ! Mention spéciale pour l'acteur Sam Worthington <3
Impressionant, ce film est impressionant. Le scénario est certes assez fidèle à la saga, mais il est placé dans un nouveau contexte et est bien plus profond, ce qui le rend splendide. L'action est omniprésente, mais on ne s'en lasse pas. J'avais peur sur la courte durée du film, mais finalement, elle comme il faut. Les dialogues ne sont pas plats, plutôt plein de sens et de clin d'oeil. La musique est chouette, on retrouve le thème principal. Les décors sont assez désertiques mais révèlent bien l'état du monde. La photographie est excellente. Quant aux effets spéciaux, je tire mon chapeau : ils sont ahurissants, incroyables, magnifiques... Les cascades sont quant à elles très bien réalisées. Le réalisme est saisissant. Les acteurs sont tous bons dans leur rôle, à par peut-être ceux du QG de la résistance. Mention spéciale à Sam Worthington et Christian Bale, qui sont excellents, et forment un magnifique duo. Mention aussi Gouvernator qui pulvérise son record : 0 mots! Bref un film génial à voir. Il rattrape largement le flop du 3.
Ce quatrième opus ne déroge pas à la règle Terminator: divertissant et spectaculaire à souhait. En plus d'apporter sa touche de modernité et d'originalité, cette "Renaissance" porte en elle le flambeau des trois précédents épisodes. Une suite réussie donc, qui s'imbrique parfaitement dans cette belle franchise de science-fiction.
Une bonne petite surprise... un casting de luxe, une mise en scène efficace, un scénario qui tient la route (bien que maladroit) que demander de plus ?
Terminator, c’était deux choses : Schwarzenegger en robot invincible et un humour noir percutant. Ici, plus rien de tout, juste un petit film de guerre post-apocalyptique ne reposant plus que sur ses effets numériques. Alors McG place un Schwarzy virtuel pour légitimer son appartenance à la franchise initiée par James Cameron mais se prend trop au sérieux dans son accumulation de scènes d’actions digitaux montées à la va-vite et dans son scénario dérisoire pour prétendre en garder l’esprit. Comme dans ses précédents films, dont l’affligeant Charlie et ses drôles de dames, les personnages ne sont que des êtres sans personnalité que le jeu sans motivations des acteurs (mêmes Sam Worthington y dégage plus de charme que Christian Bale !) ce qui rend le film tristement superficiel et dénué de charme.