Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Un conte de fées sur fond de zones industrielles, cette nouvelle géographie des campagnes où l'on perd tant ses repères que l'aventure ne fait plus peur. De la crudité surgit la poésie.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Elle
par Elisabeth Quin
Il y a dans ce miraculeux premier film, cosigné par la sociétaire de Jérôme Deschamps et de ses Deschiens, une âpreté tonique, une bonté sans chichis qui rappelle la veine "légère" de Loach.
MCinéma.com
par Camille Brun
Avec ses atouts, l'histoire d'Irène la comédienne qui porte un masque sur scène et dans la vie de tous les jours et qui va, via l'amour, apprendre à le faire tomber, nous fait rire autant qu'elle nous émeut.
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Le premier film de Gilles Porte et Yolande Moreau entrelace avec un beau sens du rythme ville et scène, life et live. (...) Quand la mer monte tire son prix de son alternance, jamais abandonnée au profit du tout-métaphorique ou du tout-local, entre gigantisme et miniature, comédie et mélo.
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Voilà une réflexion pirandellienne (comment vie et théâtre se confondent) joliment menée, en même temps qu'une fable sur le bonheur.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Quand la mer monte, de Yolande Moreau et Gilles Porte, réussit à distiller l'euphorie d'un détour et l'amertume qui vient quand il faut reprendre la grand-route.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Il y a plein de jolis moments, drôles et chaleureux (...). Il y a aussi parfois un regard singulier posé sur le monde, à la fois inquiet et joyeux, prosaïque et poétique. Discrètement cruel même.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Antoine de Baecque
L'équilibre est délicat entre le paysage intime de Yolande Moreau et le cliché qui renvoie le Nord à une fonction précise : la culture authentoc de la misère populaire. L'intérêt du film est de tenir le coup entre ces deux sentiments, entre flux et reflux, cuite et recuite, affirmation d'un univers personnel et réalisme poétique à deux balles.
Première
par Sophie Grassin
Gilles Porte et Yolande Moreau donnent de la noblesse à cette fugue pour hôtels deux étoiles et aires d'autoroute. Prenante et singulière comme une chanson d'Arno.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Un film intime et pudique, drôle et mélancolique, où elle déballe et nous emballe.
Télérama
par Jean Claude Loiseau
La virée incertaine d'Irène avec Dries échappe à toute platitude naturaliste grâce à l'art d'une actrice inclassable, Yolande Moreau, la " grande Yolande " chez les Deschiens : un phénomène de loufoquerie godiche et d'humanité décalée. Elle est l'âme poétique de Quand la mer monte..., dont la belle pirouette finale réhabilite une qualité rare : l'élégance du coeur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
Un conte de fées sur fond de zones industrielles, cette nouvelle géographie des campagnes où l'on perd tant ses repères que l'aventure ne fait plus peur. De la crudité surgit la poésie.
Elle
Il y a dans ce miraculeux premier film, cosigné par la sociétaire de Jérôme Deschamps et de ses Deschiens, une âpreté tonique, une bonté sans chichis qui rappelle la veine "légère" de Loach.
MCinéma.com
Avec ses atouts, l'histoire d'Irène la comédienne qui porte un masque sur scène et dans la vie de tous les jours et qui va, via l'amour, apprendre à le faire tomber, nous fait rire autant qu'elle nous émeut.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
Le premier film de Gilles Porte et Yolande Moreau entrelace avec un beau sens du rythme ville et scène, life et live. (...) Quand la mer monte tire son prix de son alternance, jamais abandonnée au profit du tout-métaphorique ou du tout-local, entre gigantisme et miniature, comédie et mélo.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Voilà une réflexion pirandellienne (comment vie et théâtre se confondent) joliment menée, en même temps qu'une fable sur le bonheur.
Le Monde
Quand la mer monte, de Yolande Moreau et Gilles Porte, réussit à distiller l'euphorie d'un détour et l'amertume qui vient quand il faut reprendre la grand-route.
Les Inrockuptibles
Il y a plein de jolis moments, drôles et chaleureux (...). Il y a aussi parfois un regard singulier posé sur le monde, à la fois inquiet et joyeux, prosaïque et poétique. Discrètement cruel même.
Libération
L'équilibre est délicat entre le paysage intime de Yolande Moreau et le cliché qui renvoie le Nord à une fonction précise : la culture authentoc de la misère populaire. L'intérêt du film est de tenir le coup entre ces deux sentiments, entre flux et reflux, cuite et recuite, affirmation d'un univers personnel et réalisme poétique à deux balles.
Première
Gilles Porte et Yolande Moreau donnent de la noblesse à cette fugue pour hôtels deux étoiles et aires d'autoroute. Prenante et singulière comme une chanson d'Arno.
TéléCinéObs
Un film intime et pudique, drôle et mélancolique, où elle déballe et nous emballe.
Télérama
La virée incertaine d'Irène avec Dries échappe à toute platitude naturaliste grâce à l'art d'une actrice inclassable, Yolande Moreau, la " grande Yolande " chez les Deschiens : un phénomène de loufoquerie godiche et d'humanité décalée. Elle est l'âme poétique de Quand la mer monte..., dont la belle pirouette finale réhabilite une qualité rare : l'élégance du coeur.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr