Mémoire d'un saccage - Argentine, le hold up du siècle : Critique presse
Mémoire d'un saccage - Argentine, le hold up du siècle
Note moyenne
4,4
16 titres de presse
Ciné Live
L'Humanité
Le Monde
Le Point
Libération
Positif
Synopsis
TéléCinéObs
Aden
L'Express
L'Obs
Les Inrockuptibles
MCinéma.com
Première
Studio Magazine
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Michèle Levieux
(...) un film pamphlet comme le cinéaste argentin aime en faire, dénonçant un système politique nord-américain bien huilé et montrant aussi que le peuple peut toujours avoir le dernier mot. Qu'un autre monde est toujours possible. Mémoire d'un saccage est une leçon pour le monde.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Film engagé en même temps que film d'auteur, composé comme un essai, patchwork d'archives, de reportages orchestré comme un manifeste à la fois politique et esthétique, commenté par la voix même du concepteur de ce réquisitoire, Saccage analyse point par point le "génocide social" et le processus de "dégradation républicaine" qui a frappé l'Argentine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Ange-Dominique Bouzet
Sidérante chronique de trahisons sociales, de politiques mafieuses et de dépeçage international, sur fond de carnaval médiatique (...) le plus surprenant, dans Saccage, c'est la puissance expressive de la forme. Autant qu'une démonstration coup de poing, c'est un véritable opéra (...) Un lyrisme corrosif, époustouflant.
Positif
par Françoise Audé
Mémoire d'un saccage se démarque du règlement de comptes privé, et s'adresse aux pouvoirs responsables de la faillite de l'Etat et de la paupérisation de la société. Un sentiment funèbre émane du film, aussi fort que la protestation, l'indignation et le dégoût. Certes, la thèse y est réitérée, martelée, mais elle est seconde, le cinéma est premier et d'une puissance formelle qui métamorphose le réquisitoire en manifeste superbe.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Synopsis
par Guillaume Gaubert
Il ne faut pas deux minutes à Fernando Solanas pour que le spectateur sente le besoin de tout savoir et de tout comprendre de Mémoire d'un saccage. Peut-être parce que ce qui s'est passé a valeur universelle, et parce que la démonstration de Solanas est passionnante.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Le cinéaste argentin revient, avec cette fresque documentaire d'une rigueur remarquable, sur les mécanismes qui ont conduit à ce "génocide social". Précis et solennel (...) Indispensable.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Aden
par La rédaction
Le nouveau film du réalisateur de L'Heure des brasiers et Tangos, l'exil de Gardel a l'épaisseur de l'engagement le plus tenace et la force d'une chronique politique enragée.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Un travail de vrai cinéaste, qui use de son art et de son expertise pour livrer une vision du monde et de l'histoire. Cela devient plus évident encore quand Solanas filme les gens...
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Ce tableau accablant est ponctué par des intertitres choc et didactiques, parfois présentés sous forme de collage satirique. Solanas a le don de rire de son malheur en retournant le couteau dans sa plaie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Philippe Scrine
Etude de cas qui, malheureusement, s'applique à bien d'autres pays, Mémoire d'un saccage est à la fois un pamphlet et un essai. Mais il est avant tout un film didactique, qui apporte la lumière sur les conséquences catastrophiques du néolibéralisme et de la mondialisation.
Première
par Olivier de Bruyn
Très bien documenté et réalisé, le film, malgré l'austérité inhérente aux décorticages économiques, captive et effraie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Cécile Mury
Une oeuvre foisonnante, à voir avec un carnet de notes, pour ne pas se perdre dans la pléthore d'informations.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
(...) un film pamphlet comme le cinéaste argentin aime en faire, dénonçant un système politique nord-américain bien huilé et montrant aussi que le peuple peut toujours avoir le dernier mot. Qu'un autre monde est toujours possible. Mémoire d'un saccage est une leçon pour le monde.
Le Monde
Film engagé en même temps que film d'auteur, composé comme un essai, patchwork d'archives, de reportages orchestré comme un manifeste à la fois politique et esthétique, commenté par la voix même du concepteur de ce réquisitoire, Saccage analyse point par point le "génocide social" et le processus de "dégradation républicaine" qui a frappé l'Argentine.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Sidérante chronique de trahisons sociales, de politiques mafieuses et de dépeçage international, sur fond de carnaval médiatique (...) le plus surprenant, dans Saccage, c'est la puissance expressive de la forme. Autant qu'une démonstration coup de poing, c'est un véritable opéra (...) Un lyrisme corrosif, époustouflant.
Positif
Mémoire d'un saccage se démarque du règlement de comptes privé, et s'adresse aux pouvoirs responsables de la faillite de l'Etat et de la paupérisation de la société. Un sentiment funèbre émane du film, aussi fort que la protestation, l'indignation et le dégoût. Certes, la thèse y est réitérée, martelée, mais elle est seconde, le cinéma est premier et d'une puissance formelle qui métamorphose le réquisitoire en manifeste superbe.
Synopsis
Il ne faut pas deux minutes à Fernando Solanas pour que le spectateur sente le besoin de tout savoir et de tout comprendre de Mémoire d'un saccage. Peut-être parce que ce qui s'est passé a valeur universelle, et parce que la démonstration de Solanas est passionnante.
TéléCinéObs
Le cinéaste argentin revient, avec cette fresque documentaire d'une rigueur remarquable, sur les mécanismes qui ont conduit à ce "génocide social". Précis et solennel (...) Indispensable.
Aden
Le nouveau film du réalisateur de L'Heure des brasiers et Tangos, l'exil de Gardel a l'épaisseur de l'engagement le plus tenace et la force d'une chronique politique enragée.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Un travail de vrai cinéaste, qui use de son art et de son expertise pour livrer une vision du monde et de l'histoire. Cela devient plus évident encore quand Solanas filme les gens...
Les Inrockuptibles
Ce tableau accablant est ponctué par des intertitres choc et didactiques, parfois présentés sous forme de collage satirique. Solanas a le don de rire de son malheur en retournant le couteau dans sa plaie.
MCinéma.com
Etude de cas qui, malheureusement, s'applique à bien d'autres pays, Mémoire d'un saccage est à la fois un pamphlet et un essai. Mais il est avant tout un film didactique, qui apporte la lumière sur les conséquences catastrophiques du néolibéralisme et de la mondialisation.
Première
Très bien documenté et réalisé, le film, malgré l'austérité inhérente aux décorticages économiques, captive et effraie.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Une oeuvre foisonnante, à voir avec un carnet de notes, pour ne pas se perdre dans la pléthore d'informations.