Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Libération
par Philippe Azoury
Projet rivettien par excellence (...) ce second moyen métrage de Christine Dory vaut beaucoup pour ses deux actrices (en particulier Christèle Tual, qui joue Blonde, caractère de fée), jumelles nées sous on ne sait quel signe des gémeaux, un peu comme des Demy soeurs qui auraient troqué Michel Legrand pour le Dream Baby Dream de Suicide. Inégal mais, au final, assez enchanteur.
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
...l'éternelle chronique douce-amère de nos vies nulles. [...] Blonde & Brune ne grimpe pas jusqu'à des hauteurs alpines, mais la gratuité - plus encore que la fataisie - qui l'oriente en son errance fait don de quelques précieux moments.
L'Humanité
par Emilie Breton
C'est plein de liberté et de n'importe quoi.[...]Rien ne dure et les personnages poursuivent leur errance tissée de hasards absurdes. Tout est possible, on n'est pas dans le réalisme. Cinéaste à suivre.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Changer de peau comme on change d'étoffe : telle est bien, de Marivaux à Hitchcock, la vocation et le coup de force de la fiction, subtilement remise sur le métier par ce film modeste mais plein d'esprit.
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Indécis, inattendu, effrontément bizarre, le film a indéniablement un ton. Sa limite est de ne pas avoir beaucoup plus, de peiner à dépasser son envie un peu forcé de ne ressembler qu'à soi.
TéléCinéObs
par Mira Fary
Christine Dory drape ses personnages d'une poésie absurde et signe un moyen-métrage drôle et rafraîchissant.
Télérama
par Louis Guichard
Cette froide manipulation se mue peu à peu en une subtile dérive des intentions, par le seul pouvoir de mots et celui d'un tempo trompeur. Car, derrière l'étirement des scènes, le film révèle jusqu'au bout un vrai sens du rebondissement, dans un parfum capiteux d'amours défuntes et de regrets.
Zurban
par Eric Quéméré
Jouant la carte du décalage Blonde et Brune constitue une excellente surprise [...] Christèle Tual et Aude Briant se fondent ici à merveille dans la même peau de deux héroïnes aussi complémentaires que réfractaires - on espère les revoir très vite.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Télérama
par Pierre Murat
On est d'abord intéressé par l'étrange nonchalance du rythme et l'insolence, très noire, de certains dialogues. Ce (petit) charme finit par se diluer dans une inconsistance vaguement snob.
Libération
Projet rivettien par excellence (...) ce second moyen métrage de Christine Dory vaut beaucoup pour ses deux actrices (en particulier Christèle Tual, qui joue Blonde, caractère de fée), jumelles nées sous on ne sait quel signe des gémeaux, un peu comme des Demy soeurs qui auraient troqué Michel Legrand pour le Dream Baby Dream de Suicide. Inégal mais, au final, assez enchanteur.
Cahiers du Cinéma
...l'éternelle chronique douce-amère de nos vies nulles. [...] Blonde & Brune ne grimpe pas jusqu'à des hauteurs alpines, mais la gratuité - plus encore que la fataisie - qui l'oriente en son errance fait don de quelques précieux moments.
L'Humanité
C'est plein de liberté et de n'importe quoi.[...]Rien ne dure et les personnages poursuivent leur errance tissée de hasards absurdes. Tout est possible, on n'est pas dans le réalisme. Cinéaste à suivre.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Changer de peau comme on change d'étoffe : telle est bien, de Marivaux à Hitchcock, la vocation et le coup de force de la fiction, subtilement remise sur le métier par ce film modeste mais plein d'esprit.
Les Inrockuptibles
Indécis, inattendu, effrontément bizarre, le film a indéniablement un ton. Sa limite est de ne pas avoir beaucoup plus, de peiner à dépasser son envie un peu forcé de ne ressembler qu'à soi.
TéléCinéObs
Christine Dory drape ses personnages d'une poésie absurde et signe un moyen-métrage drôle et rafraîchissant.
Télérama
Cette froide manipulation se mue peu à peu en une subtile dérive des intentions, par le seul pouvoir de mots et celui d'un tempo trompeur. Car, derrière l'étirement des scènes, le film révèle jusqu'au bout un vrai sens du rebondissement, dans un parfum capiteux d'amours défuntes et de regrets.
Zurban
Jouant la carte du décalage Blonde et Brune constitue une excellente surprise [...] Christèle Tual et Aude Briant se fondent ici à merveille dans la même peau de deux héroïnes aussi complémentaires que réfractaires - on espère les revoir très vite.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Télérama
On est d'abord intéressé par l'étrange nonchalance du rythme et l'insolence, très noire, de certains dialogues. Ce (petit) charme finit par se diluer dans une inconsistance vaguement snob.