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weihnachtsmann
1 146 abonnés
5 130 critiques
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2,0
Publiée le 30 janvier 2020
La voix off du début donne le ton. On va vers une comédie plutôt moyenne et on n'est pas déçu de l'accumulation de scènes ridicules et ennuyeuses. Le style est peut être là comme on peut le lire sur certaines critiques mais le fond n'est pas passionnant.
Ce premier film réalisé par Michael CACOYANNIS prête surtout à sourire par sa naïveté ,sa mise en scène très datée - façon Le voleur de bicyclette, de De SICA - et le jeu outrancier des principaux acteurs, à commencer par Dimitris HORN, qui y campe une sorte de Tino ROSSI grec, improbable séducteur. Passé l'amusement, c'est l'ennui qui prend le dessus et le mot fin (en alphabet grec) est au fond la bonne surprise de la soirée.
Présenté au Festival de Cannes en 1954, « Le Réveil du Dimanche » est une comédie grecque de Michael Cacoyannis. Ce premier film fait penser à la légèreté d’Audrey Hepburn qui venait de tourner dans « Vacances Romaines ». Ici, c’est Ellie Lambeti qui incarne une jolie vendeuse. Un jour par hasard, elle achète un billet de loterie, qu’elle se fait dérober lors d’une sortie à la plage. C’est Alexis, un jeune musicien qui se retrouve en possession du billet après l’avoir acheté à des gamins des rues. Mais le billet de loterie est gagnant et la vendeuse compte bien le récupérer. Bien que ne se cantonnant qu’aux petites problématiques bourgeoises, la comédie est suffisamment spontanée et guillerette pour la savourer pleinement. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
L’histoire est simple et tourne autour d’un billet de loterie volé à une jeune fille (Elli LAMBETI, 28 ans) alors qu’elle se baigne sur la plage de Kavouri et acheté (aux voleurs) par un jeune compositeur désargenté (Dimitris HORN, 33 ans), duo auquel se joint Giorgos PAPAS, avocat ayant des problèmes de couple. Le sujet n’est pas nouveau [« Le million » (1931) de René Clair ou « Antoine et Antoinette » (1946) de Jacques Becker] mais il s’agit d’une comédie pleine d’humour et de fraîcheur, témoignage des années 1950’ et à laquelle Michael Cacoyannis apporte son regard bienveillant sur les athéniens. .