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7 critiques presse
La Croix
par Jean-Luc Macia
Voilà un poète qui utilise le langage du cinéma - et avec quelle maestria !- pour exprimer ses obsessions et sa vision de l'homme (…) 07/01/1993
Le Monde
par J-M F.
(…) Kusturica s'installe sans effort apparent en haut de l'arbre généalogique qui part de Chaplin et Keaton, passe par Lubitsch (…) 06/01/1993
Positif
par Olivier de Bruyn
(…) rarement un film laisse, comme Arizona Dream, une telle sensation de puissance créatrice. N°383, janvier 1993
Le Figaro
par CB
Un film fou, anarchique, séduisant (…) Le réalisateur est avant tout un poète sans frontières, son cinéma décolle de la réalité pour s’envoler vers la métaphore, le fantastique, l’onirisme. 07/01/1993
Les Echos
par Annie Coppermann
On gardera de ce voyage au pays d’un rêve américain très spécial une éblouissante moisson d’images chaleureuses et saugrenues, et une grande bouffée d’amitié… 06/01/1993
Cahiers du Cinéma
par Joël Marigny
Tout ce qui faisait la force du Temps des Gitans (…) se trouve ici rétréci, sans élan, d'une pesanteur radicale. N°463 - janvier 1993
Télérama
par Vincent Remy
A vouloir échapper aux contraintes de l'espace et du temps, ces cinéastes-là, quelle que soit l'intensité de leur désir, finissent un jour ou l'autre par se brûler les ailes. 06/01/1993
La Croix
Voilà un poète qui utilise le langage du cinéma - et avec quelle maestria !- pour exprimer ses obsessions et sa vision de l'homme (…) 07/01/1993
Le Monde
(…) Kusturica s'installe sans effort apparent en haut de l'arbre généalogique qui part de Chaplin et Keaton, passe par Lubitsch (…) 06/01/1993
Positif
(…) rarement un film laisse, comme Arizona Dream, une telle sensation de puissance créatrice. N°383, janvier 1993
Le Figaro
Un film fou, anarchique, séduisant (…) Le réalisateur est avant tout un poète sans frontières, son cinéma décolle de la réalité pour s’envoler vers la métaphore, le fantastique, l’onirisme. 07/01/1993
Les Echos
On gardera de ce voyage au pays d’un rêve américain très spécial une éblouissante moisson d’images chaleureuses et saugrenues, et une grande bouffée d’amitié… 06/01/1993
Cahiers du Cinéma
Tout ce qui faisait la force du Temps des Gitans (…) se trouve ici rétréci, sans élan, d'une pesanteur radicale. N°463 - janvier 1993
Télérama
A vouloir échapper aux contraintes de l'espace et du temps, ces cinéastes-là, quelle que soit l'intensité de leur désir, finissent un jour ou l'autre par se brûler les ailes. 06/01/1993