Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Positif
par Jean A. Gili
Le Prix du désir est un film envoûtant dans sa manière de glisser du soleil de Capri à la douceur des bords du Lac Léman, et de la quiétude suisse à la grisaille polonaise (...) Daniel Auteuil retrouve le jeu retenu et allusif qui était le sien dans Un coeur en hiver.
France Soir
par Alexandre Simon
Un polar psychologique enivrant (...) Même si l'intrigue souffre de quelques longueurs, n'en reste pas moins l'étrange Mouglalis, parfaite, véritablement séduisante.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Cet imbroglio sur la libido se révèle ambigu et romanesque : une exploration des pièges qui guettent un homme englué dans les mensonges à cause d'un passé trouble.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Caroline Collard
Dès les premiers plans, le film de Roberto Ando nous attire vers le non dit, vers le regard ou le petit détail qui cloche et nous met mal à l'aise. Et il ne nous lâchera plus, ménageant suspense et rebondissements tout au long du film, dans un scénario plutôt efficace et bien huilé. (...) Le casting est parfait.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Première
par Gaël Golhen
Entre thriller glacé et film à thèse ambitieux, l'opus de Roberto Ando peine à trouver son identité et finit par noyer le spectateur dans un déluge de coups de théâtre bien prévisibles. Reste Daniel Auteuil...
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Rania Hoballah
Malgré un début assez captivant et une atmosphère inquiétante, l'intrigue trop emberlificotée s'essouffle rapidement et faute de moult rebondissements perd toute crédibilité. Roberto Ando a beau nous balader de l'Italie à la Suisse en passant par la Pologne, son film tourne définitivement en rond.
Aden
par Philippe Piazzo
Le " prix du désir " nous a semblé salement dévalué : obsessions à 2 centimes, érotisme en solde, mise en scène au rabais (Capri pour le romantisme, la pluie pour la tristesse et des acteurs figés pour avoir l'air plus mystérieux...) et double-fond existentiel troué.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Que viennent faire dans cette galère le respectable Daniel Auteuil, la belle Anna Mouglalis et l'inimitable Michael Lonsdale ? Mystère. En tout cas, cette espèce de thriller romantique sur un écrivain célèbre rattrapé par un lourd et coupable secret est ridicule.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Europudding vaseux, tourné en Italie, mais en français, avec Daniel Auteuil en romancier polonais. (...) Encore une fois on se désole qu'une splendeur comme Anna Mouglalis, obstinée à faire du cinéma d'auteur contre vents et marées, ne prenne que des voies de garage.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Une intrigue alambiquée dont la plausibilité n'est pas le souci premier pour une mise en scène désarticulée dans les méandres du récit : Roberto Ando homme de théâtre et de cinéma s'égare dans la prétention d'un projet seulement capable d'entretenir une constante indifférence.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Egarés dans ce labyrinthe faussement intello, les acteurs prennent la pose et s'ennuient. Nous avec.
Télérama
par François Gorin
Théorème d'Anna Mouglalis : jusqu'à nouvel ordre, on a toujours envie d'aller la voir, quand de sombres conspirateurs font tout pour nous en dissuader. Aujourd'hui : un monsieur Andò, qui shoote un catalogue d'intérieurs de luxe sous vague prétexte psycho-littéraire avec option cul. Son complice : un Daniel Auteuil somnambule en simili Gary-Ajar relooké Armani. C'est un peu cher payé notre innocent désir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
Le Prix du désir est un film envoûtant dans sa manière de glisser du soleil de Capri à la douceur des bords du Lac Léman, et de la quiétude suisse à la grisaille polonaise (...) Daniel Auteuil retrouve le jeu retenu et allusif qui était le sien dans Un coeur en hiver.
France Soir
Un polar psychologique enivrant (...) Même si l'intrigue souffre de quelques longueurs, n'en reste pas moins l'étrange Mouglalis, parfaite, véritablement séduisante.
Le Monde
Cet imbroglio sur la libido se révèle ambigu et romanesque : une exploration des pièges qui guettent un homme englué dans les mensonges à cause d'un passé trouble.
MCinéma.com
Dès les premiers plans, le film de Roberto Ando nous attire vers le non dit, vers le regard ou le petit détail qui cloche et nous met mal à l'aise. Et il ne nous lâchera plus, ménageant suspense et rebondissements tout au long du film, dans un scénario plutôt efficace et bien huilé. (...) Le casting est parfait.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Première
Entre thriller glacé et film à thèse ambitieux, l'opus de Roberto Ando peine à trouver son identité et finit par noyer le spectateur dans un déluge de coups de théâtre bien prévisibles. Reste Daniel Auteuil...
aVoir-aLire.com
Malgré un début assez captivant et une atmosphère inquiétante, l'intrigue trop emberlificotée s'essouffle rapidement et faute de moult rebondissements perd toute crédibilité. Roberto Ando a beau nous balader de l'Italie à la Suisse en passant par la Pologne, son film tourne définitivement en rond.
Aden
Le " prix du désir " nous a semblé salement dévalué : obsessions à 2 centimes, érotisme en solde, mise en scène au rabais (Capri pour le romantisme, la pluie pour la tristesse et des acteurs figés pour avoir l'air plus mystérieux...) et double-fond existentiel troué.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Que viennent faire dans cette galère le respectable Daniel Auteuil, la belle Anna Mouglalis et l'inimitable Michael Lonsdale ? Mystère. En tout cas, cette espèce de thriller romantique sur un écrivain célèbre rattrapé par un lourd et coupable secret est ridicule.
Les Inrockuptibles
Europudding vaseux, tourné en Italie, mais en français, avec Daniel Auteuil en romancier polonais. (...) Encore une fois on se désole qu'une splendeur comme Anna Mouglalis, obstinée à faire du cinéma d'auteur contre vents et marées, ne prenne que des voies de garage.
Ouest France
Une intrigue alambiquée dont la plausibilité n'est pas le souci premier pour une mise en scène désarticulée dans les méandres du récit : Roberto Ando homme de théâtre et de cinéma s'égare dans la prétention d'un projet seulement capable d'entretenir une constante indifférence.
TéléCinéObs
Egarés dans ce labyrinthe faussement intello, les acteurs prennent la pose et s'ennuient. Nous avec.
Télérama
Théorème d'Anna Mouglalis : jusqu'à nouvel ordre, on a toujours envie d'aller la voir, quand de sombres conspirateurs font tout pour nous en dissuader. Aujourd'hui : un monsieur Andò, qui shoote un catalogue d'intérieurs de luxe sous vague prétexte psycho-littéraire avec option cul. Son complice : un Daniel Auteuil somnambule en simili Gary-Ajar relooké Armani. C'est un peu cher payé notre innocent désir.