Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Le Monde
par Florence Colombani
En une journée faite de gâteaux ratés, de fous rires et de confidences, ce sont toutes la fragilité et la mélancolie de l'adolescence qui apparaissent, ses élans amoureux mal maîtrisés, sa profonde et irrémédiable solitude. Comme une comédie italienne des années 1960, Temporada de Patos mélange les genres, et sonne constamment juste : le rythme est celui de la comédie, l'esthétique celle du drame intimiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Pierre Murat
C'est un film inventif et drôle, dont l'apparente tranquillité cache une férocité suave. [...] Ce petit film a le charme d'une esquisse. La gravité y rôde, par moments, comme par inadvertance, même si le réalisateur a choisi de privilégier l'humour décalé. On y sent, aussi, comme en aparté, la cruauté sous l'apparence. Les secrets sous l'état des choses.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Michael Melinard
À partir d'un scénario classique, dans lequel le cinéaste revient, avec humour et un sens du détail étonnant, sur les affres de l'adolescence, l'éveil du désir et la peur de l'inconnu, Fernando Eimbcke signe un film élégant et attachant.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Chaque scène commence par une ouverture au noir et se termine par un fondu au noir. Pendant le noir absolu, très court, le spectateur a le temps de se demander ; "Qu'est-ce qu'il vont bien pouvoir encore inventer ?"- question qui s'adresse autant aux personnages qu'à l'auteur. Car ce film minimaliste, quasi-huis clos, fait preuve d'une inventivité comique qui repose sur l'absurde, l'accumulation, la lenteur, la fixité du cadre, l'ellipse, le non-dit, l'"understatement".
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Respectant les règles de la dramaturgie classique, unité de lieu, de temps et d'action, le réalisateur happe petit à petit le spectateur dans son film, moins prenant au début. Les situations s'enchaînent pour devenir de plus en plus barjes et drôles.
Positif
par Vincent Thabourey
Sans jamais être très subversif, ce premier long métrage de Fernando Eimbcke dépasse heureusement le simple exercice de style pour aborder avec humour et pudeur le monde trouble de l'adolescence.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
La comédie vaut par la drôlerie insidieuse de la situation, ses apartés cocasses, ses caractères bien dessinés.
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Le seul excès que s'autorise Eimbecke, c'est du côté du mielleux qu'il faut aller le chercher[...] Plantés comme des figurines sur un gâteau de mariés [...] les corps des acteurs sont pensés et agencés non par un principe de mise en scène, mais par ce qui s'apparente à de l'art décoratif. [...] Tout cela dans le seul but de faire fondre le spectateur comme du beurre devant la candeur de l'enfance en gros plan.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
par Philippe Azoury
Traversé de poésie, de solitude, emmené par un sens du cadre évident, mais sans cesse prisonnier de ses numéros vendus d'avance, où voisins et autres amis de la famille retiennent toute échappée belle pour le contraindre à ne plus ressembler qu'à une série de sketches à chute, quand il ne sombre pas totalement dans le film de genre grossier.
Ouest France
par La rédaction
Un premier film hors-normes. En noir et blanc, un récit hors du temps qui navigue entre spleen et fantasmes. Avec humour et poésie.
Première
par Alexis Trosset
La gravité est à portée de main, les blessures à vif, mais Fernado Eimbecke ne fait que les suggérer, préférant rester dans la légèreté euphorisante et lorgner vers l'absurde. Ce que souligne le noir et le blanc délavé et la mise en scène anxiogène de ce premier film
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par V. Mckey
Temporada de Patos trouve [dans le noir et blanc] une jolie fraîcheur capable de faire oublier les trois pièces de l'appartement où il se déroule intégralement. Pas une révélation fulgurante mais un premier film au dessus du lot.
La critique complète est disponible sur le site Score
Zurban
par Charlotte Lipinska
C'est en plans fixes et en noir et blanc que Fernando Eimbecke filme l'oisiveté nonchalente qui part en vrille. La banalité des situations glisse vers l'absurde. Un sens aigu de l'ellipse, et la durée des séquences étirées au maximum, y sont pour beaucoup. Tout comme les acteurs, merveilleux ados que plus rien n'étonne. Si ce n'est la confusion des sentiments.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
On a parfois la désagréable impression de voir du sous-Jarmusch made in Mexique. L'accumulation de fondus au noir et les fausses ellipses dans le dernier tiers agressent le récit plus qu'elles ne le servent. Le film tient son charme de la fraîcheur des interprètes et non d'un scénario qui ressemble à un patchwork de situations peu ou moyennement originales. Le résultat est intéressant, à défaut d'être convaincant.
Le Monde
En une journée faite de gâteaux ratés, de fous rires et de confidences, ce sont toutes la fragilité et la mélancolie de l'adolescence qui apparaissent, ses élans amoureux mal maîtrisés, sa profonde et irrémédiable solitude. Comme une comédie italienne des années 1960, Temporada de Patos mélange les genres, et sonne constamment juste : le rythme est celui de la comédie, l'esthétique celle du drame intimiste.
Télérama
C'est un film inventif et drôle, dont l'apparente tranquillité cache une férocité suave. [...] Ce petit film a le charme d'une esquisse. La gravité y rôde, par moments, comme par inadvertance, même si le réalisateur a choisi de privilégier l'humour décalé. On y sent, aussi, comme en aparté, la cruauté sous l'apparence. Les secrets sous l'état des choses.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
À partir d'un scénario classique, dans lequel le cinéaste revient, avec humour et un sens du détail étonnant, sur les affres de l'adolescence, l'éveil du désir et la peur de l'inconnu, Fernando Eimbcke signe un film élégant et attachant.
Les Inrockuptibles
Chaque scène commence par une ouverture au noir et se termine par un fondu au noir. Pendant le noir absolu, très court, le spectateur a le temps de se demander ; "Qu'est-ce qu'il vont bien pouvoir encore inventer ?"- question qui s'adresse autant aux personnages qu'à l'auteur. Car ce film minimaliste, quasi-huis clos, fait preuve d'une inventivité comique qui repose sur l'absurde, l'accumulation, la lenteur, la fixité du cadre, l'ellipse, le non-dit, l'"understatement".
MCinéma.com
Respectant les règles de la dramaturgie classique, unité de lieu, de temps et d'action, le réalisateur happe petit à petit le spectateur dans son film, moins prenant au début. Les situations s'enchaînent pour devenir de plus en plus barjes et drôles.
Positif
Sans jamais être très subversif, ce premier long métrage de Fernando Eimbcke dépasse heureusement le simple exercice de style pour aborder avec humour et pudeur le monde trouble de l'adolescence.
Télé 7 Jours
La comédie vaut par la drôlerie insidieuse de la situation, ses apartés cocasses, ses caractères bien dessinés.
Cahiers du Cinéma
Le seul excès que s'autorise Eimbecke, c'est du côté du mielleux qu'il faut aller le chercher[...] Plantés comme des figurines sur un gâteau de mariés [...] les corps des acteurs sont pensés et agencés non par un principe de mise en scène, mais par ce qui s'apparente à de l'art décoratif. [...] Tout cela dans le seul but de faire fondre le spectateur comme du beurre devant la candeur de l'enfance en gros plan.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Traversé de poésie, de solitude, emmené par un sens du cadre évident, mais sans cesse prisonnier de ses numéros vendus d'avance, où voisins et autres amis de la famille retiennent toute échappée belle pour le contraindre à ne plus ressembler qu'à une série de sketches à chute, quand il ne sombre pas totalement dans le film de genre grossier.
Ouest France
Un premier film hors-normes. En noir et blanc, un récit hors du temps qui navigue entre spleen et fantasmes. Avec humour et poésie.
Première
La gravité est à portée de main, les blessures à vif, mais Fernado Eimbecke ne fait que les suggérer, préférant rester dans la légèreté euphorisante et lorgner vers l'absurde. Ce que souligne le noir et le blanc délavé et la mise en scène anxiogène de ce premier film
Score
Temporada de Patos trouve [dans le noir et blanc] une jolie fraîcheur capable de faire oublier les trois pièces de l'appartement où il se déroule intégralement. Pas une révélation fulgurante mais un premier film au dessus du lot.
Zurban
C'est en plans fixes et en noir et blanc que Fernando Eimbecke filme l'oisiveté nonchalente qui part en vrille. La banalité des situations glisse vers l'absurde. Un sens aigu de l'ellipse, et la durée des séquences étirées au maximum, y sont pour beaucoup. Tout comme les acteurs, merveilleux ados que plus rien n'étonne. Si ce n'est la confusion des sentiments.
aVoir-aLire.com
On a parfois la désagréable impression de voir du sous-Jarmusch made in Mexique. L'accumulation de fondus au noir et les fausses ellipses dans le dernier tiers agressent le récit plus qu'elles ne le servent. Le film tient son charme de la fraîcheur des interprètes et non d'un scénario qui ressemble à un patchwork de situations peu ou moyennement originales. Le résultat est intéressant, à défaut d'être convaincant.