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Votre avis sur Open water en eaux profondes ?
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Beaucoup de suspense et de rythme dans ce film où il n'y a pourtant pas énormément d'action. Mais l'ambiance est là et on y croit. Quelques maladresses dans la narration et la mise en place. Un dénouement un peu rapide. Néanmoins, on a quelques surprises et frissons.
Une bonne surprise ce film. tiré de faits réels, le film est bien trop sage, les actions sont très rare (évidemment, filmer pendant prés d'une heure 2 plongeurs à la dérive , il y a de quoi) mais l'angoisse est bien présente!
On frémit à l'arrivé des requins et on se met à leur place quelques instant..les acteurs (inconnus) jouent moyennement bien, dommage.
On frémit à l'arrivé des requins et on se met à leur place quelques instant..les acteurs (inconnus) jouent moyennement bien, dommage.
J'ai bien accroché à ce film, même si les dix premières minutes présagent du pire. En effet, on a l'impression de se retrouver face à un film semi amateur, caméra qui tremble, image surexposée, montage assez pauvre. Tout devient intéréssant par la suite, le style documentaire apporte beaucoup au film et ça semble incroyable d 'utiliser la dv pour obtenir une esthétique très réussie. Il ne se passe pas grand chose dans ce film et c'est là tout l'intérêt car quand les requins pointent le bout de leur nez, l'effet de surprise est décuplé. Le film tient grâce au jeu de ces acteurs, vraiment très bons.
Et la fin est formidable, triste et belle à la fois. Une belle réussite qui montre que le cinéma n'est pas qu'une affaire de moyens techniques, mais avant tout d'idées et de talent.
Et la fin est formidable, triste et belle à la fois. Une belle réussite qui montre que le cinéma n'est pas qu'une affaire de moyens techniques, mais avant tout d'idées et de talent.
"Open Water" est un film qui aurait pu être un très bon film et, en même temps, un hommage à ces personnes qui ont péri, puisque c'est tiré d'un fait réel. Tout d'abord, le cadrage, façon "Projet Blairwitch" donne un peu la nausée, que ce soit sur terre ou en mer. Déjà que les dialogues d'origines ne doivent pas être très intéressants, on a un doublage totalement foireux, comme si on regardait un téléfilm sur TF1.
En fait, il faut attendre que le couple se retrouve largué en pleine mer pour que l'on commence à flipper le dauphin (dsl pour le jeu de mot, c'était trop tentant). Là, on entre dans la psychologie et, pour ceux et celles qui ont fait un tant soit peu de la plongée (en bouteilles), on peut presque éprouver ce qu'ont pu ressentir les naufragés. Le vide immense de la mer, l'impression de solitude, le besoin de réconfort, la faim, la soif, la déshydratation, ect. L'arrivée des requins et la 1ère morsure sont un avant-goût d'un destin sans retour. Le stress, dès lors, monte crescendo jusqu'au final mortel.
A noter que le requin étripé et découpé, dans le générique de fin, est un mako. On retrouve l'appareil-photo du mari dans son estomac. Mais il n'y a eu aucun mako dans les scènes sous-marines. Vérifié et confirmé par un spécialiste des squales.
"Open Water" est surtout un blockbuster bien américain. Preuve que tous les requins mangeurs-d'hommes ne vivent pas qu'en mer.
En fait, il faut attendre que le couple se retrouve largué en pleine mer pour que l'on commence à flipper le dauphin (dsl pour le jeu de mot, c'était trop tentant). Là, on entre dans la psychologie et, pour ceux et celles qui ont fait un tant soit peu de la plongée (en bouteilles), on peut presque éprouver ce qu'ont pu ressentir les naufragés. Le vide immense de la mer, l'impression de solitude, le besoin de réconfort, la faim, la soif, la déshydratation, ect. L'arrivée des requins et la 1ère morsure sont un avant-goût d'un destin sans retour. Le stress, dès lors, monte crescendo jusqu'au final mortel.
A noter que le requin étripé et découpé, dans le générique de fin, est un mako. On retrouve l'appareil-photo du mari dans son estomac. Mais il n'y a eu aucun mako dans les scènes sous-marines. Vérifié et confirmé par un spécialiste des squales.
"Open Water" est surtout un blockbuster bien américain. Preuve que tous les requins mangeurs-d'hommes ne vivent pas qu'en mer.
Excellent film a petit budget, un réalisme et une photographie à vous glacer le sang! C'est l'angoisse à l'état pur, les deux personnages sont attachants et nous font vivre leurs cauchemar. La fin est vraiment triste et sans pitié. À voir sauf si vous avez peur des squales.
Film intéressant mais pas toujours passionnant mais avec une belle ambiance organisée autour de ce couple oublié en plein milieu de l'océan en compagnie de méduses et autres requins. Le film est pas mal mais manque de rythme car seules les scènes en pleine mer sont intéressantes ( un format plus court aurait peut être été préférable ). A voir pour se faire son avis.
Un film tout à fait excellent. La tension va crescendo et la réalisation porte tout à fait les fruits de son parti pris : la fin et la denrière nuit sont tout à fait effrayantes et fascinantes. Ce film, à la fois intriguant, angoissant, effrayant, ne vous lâche pas d'une semelle pendant près d'une heure et demi. Et à la fin on n'a pas vu le film du sicèle, mais une oeuvre tout à fait saisissante.
10 . 5 / 20 c'est l'histoire vraie de deux personnes oubliés a jamais .. Alors ce que j'ai aimé c'est angoissant stressant et prenant . Ce que je n'ai pas aimé ; Le rythme ( on s'ennui ) , La fin ! Alors pourquoi la fin ? Parceque je trouve que ce film nous montre deux personnages essayé de survivre desespérément !Alors c'est déjà assez long pour nous spectateurs de tenir jusqu'au bout ! Et ils nous claquent quoi ? La mort des deux :/ Morale ? Aucune ... Donc moyen .
Un thriller ultra efficace, terrifiant de réalisme, et qui réussit à tenir en haleine avec au final bien peu de choses. Un film vraiment novateur dans sa façon de traiter l’angoisse et qui mérite une meilleure image.
Bon film, palpitant
Une modeste réussite compte tenu du budget. Néamoins, comme Blair Witch, Open Water n'utilise que trop peu les possibilités qu'offre le cinéma pour réellement convaincre.
A voir une fois mais c'est tout.
A voir une fois mais c'est tout.
Fêtons le cinéma
Open Water déconstruit la tension instaurée par Jaws, depuis sans cesse recopiée mais jamais égalée, opte pour un style apparemment amateur à l’effet d’ultra-réalisme saisissant. On plonge avec notre couple principal pour vivre en sa compagnie les joies, les terreurs et les déchirements d’un flottement parmi des eaux troubles et inamicales, subtile métaphore de la vie conjugale au terme de laquelle triomphent le crépuscule et ses monstres sans pour autant remporter la bataille de l’amour. Car le sentiment redonne espoir, permet une longévité de courte durée mais propice au partage. La mer se mue en étendue cathartique et assaille ses protagonistes de coups existentiels rappelant le déclin physique du corps et de la santé : les maux de ventre et nausées bientôt cesseront chez la femme, les articulations feront souffrir, paralysie et disparition finale. Le requin, métaphore du temps et de ses morsures. À la fois réaliste et poétique, terrifiant et drôle, Open Water offre une nouvelle conception de la peur qui brille par sa retenue, surprend par son intelligence, déconcerte par son aspect documentaire gage d’une immersion tranchante. Une œuvre éprouvante de très grande qualité.
Enfin un film qui remet quelques idées reçues en place sur les loisirs pour touristes aquatiques friqués !
Je vous laisse la surprise du scénario.
Pour le reste, une qualité d'image DV désagréable comme toujours, cela dit, le sujet et son traitement documentaire sont une excuse correcte. Les scènes de confrontation avec les requins sont bien faites et la peur est bien présente.
On est tellement habitué à ce types de situations que le mode "simple" utilisé (pas d'effets, ni spéciaux ni de performance d'acteurs) a un petit goût sans saveur, comme si l'on avait tellement pris l'habitude de grossir le trait à Hollywood.
Rien de tout ça dans cette plongée dans l'horreur. On reste dramatiquement naturel pour ne pas dire vraisemblable. Inutile de dire que certaines faiblesses du film, techniques et autres, sont contre-balancées par le choix scénaristique qui est, je le répète car il m'a surpris, béton.
Je vous laisse la surprise du scénario.
Pour le reste, une qualité d'image DV désagréable comme toujours, cela dit, le sujet et son traitement documentaire sont une excuse correcte. Les scènes de confrontation avec les requins sont bien faites et la peur est bien présente.
On est tellement habitué à ce types de situations que le mode "simple" utilisé (pas d'effets, ni spéciaux ni de performance d'acteurs) a un petit goût sans saveur, comme si l'on avait tellement pris l'habitude de grossir le trait à Hollywood.
Rien de tout ça dans cette plongée dans l'horreur. On reste dramatiquement naturel pour ne pas dire vraisemblable. Inutile de dire que certaines faiblesses du film, techniques et autres, sont contre-balancées par le choix scénaristique qui est, je le répète car il m'a surpris, béton.
Méga nul, on s'ennuie, heureusement que j'avais vu le 2 avant de voir le 1 sinon je ne l'aurai jamais regardé. C'est incomparable
L'originalité de ce film, c'est de pouvoir tenir une heure quinze minutes avec une attente immobile, dans l'eau, des deux acteurs principaux. Il y a quelques moments angoissants (surtout à l'approche des requins) mais j'ai été un peu déçu par la fin. Bref, l'idée est originale et ambitieuse mais le résultat aurait pu être meilleurs.
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