Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Téssé
Macabre mais pas roublard pour un sou, Sommeil amer détonne par son humour et sa manière froide -c'est de rigueur- d'envisager la réalité de son lieu. Mohsen Amiryoussefi installe une telle proximité avec le vieux grincheux qui lui sert de héros qu'il parvient à jongler -acrobatie périlleuse- entre méchanceté bienveillante et douceur effroyable des situations. Belle surprise.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Voici une étrange comédie conceptuelle, un mélange de sensations diverses et contradictoires, une expérience à la fois abstraite et documentaire. Une surprise, un objet inattendu en provenance de la toujours passionnante cinématographie iranienne. [...] Et le film témoigne, vis-à-vis de la mort, d'une attitude particulière, où la réflexion et le rire se croisent dans un cocktail finalement assez inédit.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Philippe Scrine
En dépit de la gravité du sujet et du lieu où il se déroule, un cimetière et ses annexes, le film n'est ni ennuyeux ni macabre. Il offre même quelques moments d'humour, grâce notamment à des personnages truculents et attachants, interprétés par des acteurs non professionnels qui, pour la plupart, exercent dans la vie le rôle qu'ils interprètent à l'écran. Un sujet périlleux, une réalisation originale et un casting inattendu, le cinéaste a pris des risques pour son premier long métrage. Il réussit son examen de passage.
Cahiers du Cinéma
par Cyril Neyrat
Sommeil amer semble condenser les ingrédients du parfait écumeur de festivals : pittoresque, habileté du scénario, équilibre de profondeur métaphysique (...) et de légèreté cynique (...) Derrière sa séduction de façade, le premier long métrage risque pourtant une proposition : en articulant deux enjeux usés -fictions/docu, télé/cinéma- il dessine un territoire singulier au croisement du conte métaphysique et de la parabole politique.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) le film développe une vraie puissance métaphysique et témoigne de l'importance de la présence de la mort au coeur même de l'expérience humaine. L'humour grinçant alterne alors avec une tonalité tour à tour inquiétante, mélancolique, voire fantastique. (...) A cheval entre comédie burlesque, étude métaphysique, documentaire régionaliste et bouffées d'inquiétante étrangeté, Sommeil amer ne ressemble pas au cinéma iranien habituel ni à rien de connu sur la cinéplanisphère mondiale. Un véritable "ofni".
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
(...) une oeuvre insolite et pleine de malice.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Addison de Witt
En filigrane, le film évoque les tabous de la mort dans une société très ritualisée. Drôle et universel.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un beau patchwork de genres, adéquatement rythmé et agrémenté d'un volet politiquement correct qui ne mange pas de pain. Parfaitement superficiel et parfaitement jouissif.
Libération
par Philippe Azoury
Il n'est pas spécialement ennuyeux ni même contemplatif (comme semble l'exiger le genre), il ne donne pas beaucoup d'informations sur son pays, il est assez moche à l'image (...) Mais Sommeil amer est drôle. Si, si, drôle (...) Ce tour de malice est la première réalisation de Moshen Amiryoussefi, 34 ans seulement, petit maître en devenir de l'humour noir.
Ouest France
par La rédaction
Une production iranienne qui tente de prendre du recul par rapport à son sujet et à son contexte. Humour morbide et léger sur le thème de la mort. Et un résultat qui manque à la longue de consistance.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Gaël Golhen
Un film hybride passionnant et souvent déjanté. Mohsen Amiryoussefi réussit en tout cas son pari : 90 minutes dans un cimetière à parler de la mort et de ses petits tracas avec une ironie réjouissante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Pour son premier long métrage, l'Iranien Mohsen Amiryoussefi semble prêt à tout, mais il ne voit pas venir le risque : ne pas savoir exactement que ce qu'il nous montre, dans un univers aussi codé que celui des rites funèbres, empêche d'apprécier l'originalité de sa démarche.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Pour ce sommeil amer, opiacé, fantomatique et princier ; pour ce sommeil de Hamlet, il eût fallu tellement plus d'élégance, d'angélisme et de préciosité, tellement plus de divin ridicule, tellement plus de cynisme blessé ! Il eût fallu... Mais oui, c'est cela, il eût fallu Jean Cocteau !
La critique complète est disponible sur le site Positif
Chronic'art.com
Macabre mais pas roublard pour un sou, Sommeil amer détonne par son humour et sa manière froide -c'est de rigueur- d'envisager la réalité de son lieu. Mohsen Amiryoussefi installe une telle proximité avec le vieux grincheux qui lui sert de héros qu'il parvient à jongler -acrobatie périlleuse- entre méchanceté bienveillante et douceur effroyable des situations. Belle surprise.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Voici une étrange comédie conceptuelle, un mélange de sensations diverses et contradictoires, une expérience à la fois abstraite et documentaire. Une surprise, un objet inattendu en provenance de la toujours passionnante cinématographie iranienne. [...] Et le film témoigne, vis-à-vis de la mort, d'une attitude particulière, où la réflexion et le rire se croisent dans un cocktail finalement assez inédit.
MCinéma.com
En dépit de la gravité du sujet et du lieu où il se déroule, un cimetière et ses annexes, le film n'est ni ennuyeux ni macabre. Il offre même quelques moments d'humour, grâce notamment à des personnages truculents et attachants, interprétés par des acteurs non professionnels qui, pour la plupart, exercent dans la vie le rôle qu'ils interprètent à l'écran. Un sujet périlleux, une réalisation originale et un casting inattendu, le cinéaste a pris des risques pour son premier long métrage. Il réussit son examen de passage.
Cahiers du Cinéma
Sommeil amer semble condenser les ingrédients du parfait écumeur de festivals : pittoresque, habileté du scénario, équilibre de profondeur métaphysique (...) et de légèreté cynique (...) Derrière sa séduction de façade, le premier long métrage risque pourtant une proposition : en articulant deux enjeux usés -fictions/docu, télé/cinéma- il dessine un territoire singulier au croisement du conte métaphysique et de la parabole politique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
(...) le film développe une vraie puissance métaphysique et témoigne de l'importance de la présence de la mort au coeur même de l'expérience humaine. L'humour grinçant alterne alors avec une tonalité tour à tour inquiétante, mélancolique, voire fantastique. (...) A cheval entre comédie burlesque, étude métaphysique, documentaire régionaliste et bouffées d'inquiétante étrangeté, Sommeil amer ne ressemble pas au cinéma iranien habituel ni à rien de connu sur la cinéplanisphère mondiale. Un véritable "ofni".
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) une oeuvre insolite et pleine de malice.
Zurban
En filigrane, le film évoque les tabous de la mort dans une société très ritualisée. Drôle et universel.
L'Humanité
Un beau patchwork de genres, adéquatement rythmé et agrémenté d'un volet politiquement correct qui ne mange pas de pain. Parfaitement superficiel et parfaitement jouissif.
Libération
Il n'est pas spécialement ennuyeux ni même contemplatif (comme semble l'exiger le genre), il ne donne pas beaucoup d'informations sur son pays, il est assez moche à l'image (...) Mais Sommeil amer est drôle. Si, si, drôle (...) Ce tour de malice est la première réalisation de Moshen Amiryoussefi, 34 ans seulement, petit maître en devenir de l'humour noir.
Ouest France
Une production iranienne qui tente de prendre du recul par rapport à son sujet et à son contexte. Humour morbide et léger sur le thème de la mort. Et un résultat qui manque à la longue de consistance.
Première
Un film hybride passionnant et souvent déjanté. Mohsen Amiryoussefi réussit en tout cas son pari : 90 minutes dans un cimetière à parler de la mort et de ses petits tracas avec une ironie réjouissante.
Télérama
Pour son premier long métrage, l'Iranien Mohsen Amiryoussefi semble prêt à tout, mais il ne voit pas venir le risque : ne pas savoir exactement que ce qu'il nous montre, dans un univers aussi codé que celui des rites funèbres, empêche d'apprécier l'originalité de sa démarche.
Positif
Pour ce sommeil amer, opiacé, fantomatique et princier ; pour ce sommeil de Hamlet, il eût fallu tellement plus d'élégance, d'angélisme et de préciosité, tellement plus de divin ridicule, tellement plus de cynisme blessé ! Il eût fallu... Mais oui, c'est cela, il eût fallu Jean Cocteau !