Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Elle
par Elisabeth Quin
Il [Damien Odoul] a transformé le comédien [Pierre Richard] figé dans son image de comique lunaire en chatelin profondément mélancolique voire funébre. [...] Odoul compose des plans de toute beauté et le tout distille un vrai charme.
Libération
par Antoine de BAECQUE
C'est un film à la Tchekhov, plus proche du rire noir et macabre que de la petite musique doucereuse et mélancolique. Un film sur l'imposture aussi, puisque la troupe et Odoul n'ont rien à montrer d'autre que les "puissances trompeuses de l'amour". Contre-pieds, décalages : Odoul, en adepte du cadrage-débordement rugbystique, est là où on ne l'attend pas.
Les Inrockuptibles
par Vicent Ostria
Souvent très énervant, mais une telle générosité dans la dépense d'énergie est rare dans un contexte aussi balisé que celui du cinéma français, encadré, policé par les gardiens du PAF.
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Le début est amusant, puis on se lasse du côté globalement foutraque de l'affaire.
Télérama
par Jacques Morice
Arche ouverte aux quatre vents, En attendant le déluge tâtonne donc, cherche, lance des formules comme des bouteilles à la mer. Pas d'histoire, dites-vous ? Si, celle, par bribes, de son tournage. En réunissant des gens de tous horizons - une vedette, un ami simple d'esprit, une spécialiste de Cioran, un dramaturge -, Odoul défie l'ennui et la mort. Dans sa déraison, il a raison : à quoi sert le cinéma sinon à passionner la vie ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Le cinéma-potlatch demande certain alliage de rigueur et de démesure, dont le film ne toruve jamais la formule.
Ciné Live
par La rédaction
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
par Alexandre Mangin
Invoquer Dionysos. Faire la nique à la mort une dernière fois. Que du bric-à-brac de saynètes à velléités loufoques émerge une forme de poésie hédoniste. Louable intention. Mais pour un résultat confondant de bêtise suffisante. Avec l'inénarrable Pierre Richard et la charmante Anna Mouglalis embarqués sur cette arche de Noé déglinguée, on avait pourtant bien envie de se laisser séduire.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Isabelle Regnier
A l'excès et à l'abandon, à l'improvisation et à la liberté associés au mythe dionysiaque, Odoul oppose formalisme rigide, misanthropie, cynisme. Dans cette orgie d'artifices, les gesticulations de Pierre Richard sont aussi peu authentiques que celles de ses compagnons, et raisonnent comme les cris de détresse d'un acteur qui n'est manifestement pas à sa place.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Si Damien Odoul (...) a le cran d'aller jusqu'au bout de ses envies, saluons le pour cela, son égocentrisme forcené laisse pantois. Le seul dialogue que l'on retient vraiment, et qui sonne comme un accès subit de lucidité, se situe durant une répétition croquignolette au milieu d'un lac. Un personnage, devant le vide du projet, proclame : " ça sert à rien ce que l'on fait ". En effet.
Ouest France
par La rédaction
Révélé par Le souffle il y a cinq ans, Damien Odoul s'est depuis enfermé dans un cinéma abscons qui gâche toutes les promesses entrevues. Malgré ici Pierre Richard et Anna Mouglalis.
Première
par Gaël Golhen
Le résultat ne ressemble à rien: ce bordélique hymne à la vie et à l'amour se voudrait rabelaisien, mais, malgré quelques fulgurances loufoques, il est d'une vanité et d'un ennui mortels.
Score
par Anthony Wong
En dépit du fait que son film précédent, Errance, avait dérouté la majorité de se spectateurs, le cinéaste Damien Odoul récidive dans le film instinctif (on sent les improvisitons) mais hermétique (difficile de rentrer dans cet univers sans repère). Pourtant, le casting y croit. Nous moins.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Olivier Pélisson
Certes, le temps qui passnet va à merveille à Pierre Richard, drôlatique et émouvant. Mais l'écrin que lui offre Odoul manque d'étoffe. Dommage. En attendant le prochain opus du prolifique jeune cinéaste.
Elle
Il [Damien Odoul] a transformé le comédien [Pierre Richard] figé dans son image de comique lunaire en chatelin profondément mélancolique voire funébre. [...] Odoul compose des plans de toute beauté et le tout distille un vrai charme.
Libération
C'est un film à la Tchekhov, plus proche du rire noir et macabre que de la petite musique doucereuse et mélancolique. Un film sur l'imposture aussi, puisque la troupe et Odoul n'ont rien à montrer d'autre que les "puissances trompeuses de l'amour". Contre-pieds, décalages : Odoul, en adepte du cadrage-débordement rugbystique, est là où on ne l'attend pas.
Les Inrockuptibles
Souvent très énervant, mais une telle générosité dans la dépense d'énergie est rare dans un contexte aussi balisé que celui du cinéma français, encadré, policé par les gardiens du PAF.
TéléCinéObs
Le début est amusant, puis on se lasse du côté globalement foutraque de l'affaire.
Télérama
Arche ouverte aux quatre vents, En attendant le déluge tâtonne donc, cherche, lance des formules comme des bouteilles à la mer. Pas d'histoire, dites-vous ? Si, celle, par bribes, de son tournage. En réunissant des gens de tous horizons - une vedette, un ami simple d'esprit, une spécialiste de Cioran, un dramaturge -, Odoul défie l'ennui et la mort. Dans sa déraison, il a raison : à quoi sert le cinéma sinon à passionner la vie ?
Cahiers du Cinéma
Le cinéma-potlatch demande certain alliage de rigueur et de démesure, dont le film ne toruve jamais la formule.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
Invoquer Dionysos. Faire la nique à la mort une dernière fois. Que du bric-à-brac de saynètes à velléités loufoques émerge une forme de poésie hédoniste. Louable intention. Mais pour un résultat confondant de bêtise suffisante. Avec l'inénarrable Pierre Richard et la charmante Anna Mouglalis embarqués sur cette arche de Noé déglinguée, on avait pourtant bien envie de se laisser séduire.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
A l'excès et à l'abandon, à l'improvisation et à la liberté associés au mythe dionysiaque, Odoul oppose formalisme rigide, misanthropie, cynisme. Dans cette orgie d'artifices, les gesticulations de Pierre Richard sont aussi peu authentiques que celles de ses compagnons, et raisonnent comme les cris de détresse d'un acteur qui n'est manifestement pas à sa place.
MCinéma.com
Si Damien Odoul (...) a le cran d'aller jusqu'au bout de ses envies, saluons le pour cela, son égocentrisme forcené laisse pantois. Le seul dialogue que l'on retient vraiment, et qui sonne comme un accès subit de lucidité, se situe durant une répétition croquignolette au milieu d'un lac. Un personnage, devant le vide du projet, proclame : " ça sert à rien ce que l'on fait ". En effet.
Ouest France
Révélé par Le souffle il y a cinq ans, Damien Odoul s'est depuis enfermé dans un cinéma abscons qui gâche toutes les promesses entrevues. Malgré ici Pierre Richard et Anna Mouglalis.
Première
Le résultat ne ressemble à rien: ce bordélique hymne à la vie et à l'amour se voudrait rabelaisien, mais, malgré quelques fulgurances loufoques, il est d'une vanité et d'un ennui mortels.
Score
En dépit du fait que son film précédent, Errance, avait dérouté la majorité de se spectateurs, le cinéaste Damien Odoul récidive dans le film instinctif (on sent les improvisitons) mais hermétique (difficile de rentrer dans cet univers sans repère). Pourtant, le casting y croit. Nous moins.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Certes, le temps qui passnet va à merveille à Pierre Richard, drôlatique et émouvant. Mais l'écrin que lui offre Odoul manque d'étoffe. Dommage. En attendant le prochain opus du prolifique jeune cinéaste.