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    En attendant le déluge
    Note moyenne
    2,4
    16 titres de presse
    • Elle
    • Libération
    • Les Inrockuptibles
    • TéléCinéObs
    • Télérama
    • Cahiers du Cinéma
    • Ciné Live
    • Cinéastes
    • L'Express
    • Le Monde
    • MCinéma.com
    • Ouest France
    • Première
    • Score
    • Studio Magazine
    • Zurban

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    16 critiques presse

    Elle

    par Elisabeth Quin

    Il [Damien Odoul] a transformé le comédien [Pierre Richard] figé dans son image de comique lunaire en chatelin profondément mélancolique voire funébre. [...] Odoul compose des plans de toute beauté et le tout distille un vrai charme.

    Libération

    par Antoine de BAECQUE

    C'est un film à la Tchekhov, plus proche du rire noir et macabre que de la petite musique doucereuse et mélancolique. Un film sur l'imposture aussi, puisque la troupe et Odoul n'ont rien à montrer d'autre que les "puissances trompeuses de l'amour". Contre-pieds, décalages : Odoul, en adepte du cadrage-débordement rugbystique, est là où on ne l'attend pas.

    Les Inrockuptibles

    par Vicent Ostria

    Souvent très énervant, mais une telle générosité dans la dépense d'énergie est rare dans un contexte aussi balisé que celui du cinéma français, encadré, policé par les gardiens du PAF.

    TéléCinéObs

    par Elodie Lepage

    Le début est amusant, puis on se lasse du côté globalement foutraque de l'affaire.

    Télérama

    par Jacques Morice

    Arche ouverte aux quatre vents, En attendant le déluge tâtonne donc, cherche, lance des formules comme des bouteilles à la mer. Pas d'histoire, dites-vous ? Si, celle, par bribes, de son tournage. En réunissant des gens de tous horizons - une vedette, un ami simple d'esprit, une spécialiste de Cioran, un dramaturge -, Odoul défie l'ennui et la mort. Dans sa déraison, il a raison : à quoi sert le cinéma sinon à passionner la vie ?

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Cahiers du Cinéma

    par Jean-Michel Frodon

    Le cinéma-potlatch demande certain alliage de rigueur et de démesure, dont le film ne toruve jamais la formule.

    Ciné Live

    par La rédaction

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    Cinéastes

    par Alexandre Mangin

    Invoquer Dionysos. Faire la nique à la mort une dernière fois. Que du bric-à-brac de saynètes à velléités loufoques émerge une forme de poésie hédoniste. Louable intention. Mais pour un résultat confondant de bêtise suffisante. Avec l'inénarrable Pierre Richard et la charmante Anna Mouglalis embarqués sur cette arche de Noé déglinguée, on avait pourtant bien envie de se laisser séduire.

    La critique complète est disponible sur le site Cinéastes

    L'Express

    par Julien Welter

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    Le Monde

    par Isabelle Regnier

    A l'excès et à l'abandon, à l'improvisation et à la liberté associés au mythe dionysiaque, Odoul oppose formalisme rigide, misanthropie, cynisme. Dans cette orgie d'artifices, les gesticulations de Pierre Richard sont aussi peu authentiques que celles de ses compagnons, et raisonnent comme les cris de détresse d'un acteur qui n'est manifestement pas à sa place.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    MCinéma.com

    par Rémy Batteault

    Si Damien Odoul (...) a le cran d'aller jusqu'au bout de ses envies, saluons le pour cela, son égocentrisme forcené laisse pantois. Le seul dialogue que l'on retient vraiment, et qui sonne comme un accès subit de lucidité, se situe durant une répétition croquignolette au milieu d'un lac. Un personnage, devant le vide du projet, proclame : " ça sert à rien ce que l'on fait ". En effet.

    Ouest France

    par La rédaction

    Révélé par Le souffle il y a cinq ans, Damien Odoul s'est depuis enfermé dans un cinéma abscons qui gâche toutes les promesses entrevues. Malgré ici Pierre Richard et Anna Mouglalis.

    Première

    par Gaël Golhen

    Le résultat ne ressemble à rien: ce bordélique hymne à la vie et à l'amour se voudrait rabelaisien, mais, malgré quelques fulgurances loufoques, il est d'une vanité et d'un ennui mortels.

    Score

    par Anthony Wong

    En dépit du fait que son film précédent, Errance, avait dérouté la majorité de se spectateurs, le cinéaste Damien Odoul récidive dans le film instinctif (on sent les improvisitons) mais hermétique (difficile de rentrer dans cet univers sans repère). Pourtant, le casting y croit. Nous moins.

    La critique complète est disponible sur le site Score

    Studio Magazine

    par Thierry Cheze

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    Zurban

    par Olivier Pélisson

    Certes, le temps qui passnet va à merveille à Pierre Richard, drôlatique et émouvant. Mais l'écrin que lui offre Odoul manque d'étoffe. Dommage. En attendant le prochain opus du prolifique jeune cinéaste.

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