Pas grand chose à dire sur ce film, à part que Campan et Bellucci y jouent rudement mal.... Juste 1 étoile pour la réalisation que j'ai beaucoup appréciée!
Le scénario semble intéressant sur le papier : un homme triste, sans espoirs dans la vie, malade du coeur au sens propre comme au sens figuré, va voir une prostituée en lui disant qu'il a gagné au loto et qu'il lui demande de devenir sa femme pour quelque temps.
Il est regrettable que l'on sombre vite dans le vulgaire et que tout soit motif à montrer Monica Bellucci nue. Après Malena, c'est le deuxième film que je vois avec elle et je trouve regrettable qu'elle se laisse enfermer dans des rôles où elle n'est là que pour montrer ses formes ultra-féminines dans des films éroticons car elle semble être une bonne actrice. Je serais curieux de voir sa prestation dans un rôle "normal".
Sinon, le film donne une impression de longueur et il est parfois décousu au point que l'on se demande où le réalisateur veut nous emmener.
C'est comme ça que les hommes vivent, d'amour et d'espoir. Blague à part j'ai passé un bon moment dans les bras de Monica, merci Monsieur Blier de nous rappeler l'essentiel, et tant pis pour les moches et les mal baisées (qui sont apparemment flores sur ce blog).
Un documentaire....! un documentaire sur Monica Bellucci! Voila ce qu'est ce film : des plans sur les magnifiques rondeurs de la belle sur sa poitrine en pleine lactation et c'est tout ! Deux personnages masculins, l'un en macho de base (Gérard Depardieu peu convaincant dans ce rôle), l'autre en "blaireau dépressif" ( Bernard Campan dont le jeu sauve le film). On voit bien que Bertrand Bier peut se payer ce qu'il veut comme histoire au cinéma, là il s'est fait plaisir ainsi qu'à Monica très certainement. Seule "la plastique poitrinaire" de La Bellucci justifierait le détour. C'est faible.....
La bande-annonce de ce film est trompeuse, car montée comme annonçant une comédie. La seule chose comique de ce café-théâtre lourdement porté sur écran, c'est de voir qu'après toutes ces années, Belluci demeure une exécrable actrice. Le film tournant autour d'elle, inutile de préciser combien il est vain d'en attendre quelque chose... Une belle étoile néanmoins pour Depardieu qui, sans aucun mal, prend toute la place à l'écran.
Combien tu m'aimes ? reste la peinture quasi-parfaite de la toute puissance dans notre vie de l'amour, de l'attrait de la beauté tel le papillon vers la lumière, et c'est surtout un film qui sait montrer avec une pudeur incroyable au vu de son contexte la réalité des choses vis-à-vis du grand amour, fort, grand, impossible à maîtriser, et aussi de la femme éternelle, car arrive un moment où l'on ne fait plus de différences entre la prostituée qui se vend dans un boudoir avec lampions et la femme d'intérieur qui pourrait être n'importe quelle femme, sa grande beauté mise à part. A voir, tout simplement.
Merci à Gérard Depardieu, et Jean-Pierre Darroussin, ils étaient le seul intérêt du film. Je me suis profondément ennuyée...Et le pire est sans doute Monica Bellucci, gnan-gnan au possible ! Grosse déception!
Malgré de bons dialogues, on s'ennuie ferme. Le film est lent, mou. Monica Bellucci est belle mais fade, limite énervante. Bernard Campan est bon mais ne semble pas à sa place. Seuls les seconds rôles font sourire. Ouf, la fin arrive et quelle fin ! Comme le film : ennuyeuse.
une oeuvre qui sort des sentiers battus de la tragi/comedie francaise, et des acteurs qui reussissent a rendre vie a des dialogues improbables. Peut-etre pas un grand film, mais un metteur en scene qui ose un zeste d'originalite et d'espieglerie dans un cinema francais tout de meme tres consensuel...et rien que pour ca, bravo mr Blier.
AU SECOURS ! sortez moi de là me suis je dis en me réveillant dans une salle somnolente... Mais pourquoi diable ont-ils fait ce film me suis-je aussitôt demandé ? et puis j'ai compris que les impôts foncier, taxe d'habitation et autre impôts sur le revenus étaient la cause de ce film... Sinon, je ne vois pas les raisons qui ont pu pousser Blier et ses valseuses, Campan qui ne se souvenait plus des belles choses et Depardieu qui ne savait plus qu'il avait habité au 36 quai des orfèvres... Je ne parle pas de la pseudo comédienne qui agrémente le film de son corps magnifique... mais hélas, même quand elle pleure dans ce film, cette pauvre Cléopâtre est risible. Allez Bertrand, les impôts sont payés, maintenant on se met vraiment au boulot pour nous préparer un film... un vrai !