Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Brazil
par Christophe Goffette
On sourit (beaucoup), on marre même (un peu) et l'on est bien heureux, ici, de pouvoir encore défendre haut et fort les couleurs des armureries Blier, qui plie mais ne rompt jamais. Bravo à lui...
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Monica Bellucci n'a jamais été aussi fastueuse, et elle inspire visiblement le cinéaste, qui a retrouvé toute sa bizarrerie poétique.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Blier (...) lorsqu'il est savamment dosé,agit en profondeur sur les idées, fait brillerles personnages et les répliques. Belluccirayonne, Depardieu étincelle. Le résultatprend parfois l'allure d'une fanfare maisCampan y apporte une note sensible.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Alain Spira
Blier nous sert ici un de ses meilleurs plats. Dommage que, comme d'habitude, on ait un peu de mal à finir.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Fabien Baumann
Reste alors quoi ? Ces bas liserés que garde Monica dans l'offrande. Cette eau de pluie dans sa chevelure quand elle grimpe le gars en voiture. Son corps de femme écarté en croix dans le travers d'un lit bleu. Cette chaîne qui divague sur son cou au gré des coups de l'amour. Et puis l'opéra. Plein d'opéra.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Le cinéaste a retrouvé sa verve (...) avec le sens de l'humour et l'art de la provoc qui l'ont longtemps distingué.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Marine Landrot
Contre toute attente, la beaufitude cède soudain le pas à la béatitude, la vulgarité s'efface devant l'humanité (...) Moins clinquants qu'à l'accoutumée, mais tout aussi drôles et sournois, les dialogues restent une arme défensive de première efficacité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
Du pur Blier: situations distanciées, dialogues au cordeau, vision de l'humanité tranchante (...) Une oeuvre plus tranchante que les récentes Côtelettes.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Avec Combien tu m'aimes ?, [Blier] revient en meilleure forme, fort d'un casting charismatique. [L'intérêt du film ] est (...) dans le regard mature et complexe de son cinéaste qui derrière le ton de la comédie dévoile sa tristesse et sa peur de la solitude et du vieillissement.
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
Alliance de vulgarité popu et de grandiloquence plate, tutoiement du spectateur et de la caméra. Samuel Beckett meets Michel Audiard : Bertrand Blier restera le cinéaste d'un ticket parfois gagnant entre café-théâtre et modernité, Blier père et Godard (...), ou Ferreri.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Bertrand Blier est un auteur, doté d'un ton, d'une patte, d'un style repérable dès la première réplique. Combien tu m'aimes ? n'est pas son meilleur film ni son plus raté (...) On a déjà vu cela, parfois mieux, parfois vulgaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Blier (...) se montre un peu mieux inspiré que dans ses derniers films (...) Les dialogues ont gagné en sobriété (...) Le réalisateur se confronte plus frontalement à la minceur de son contenu et d'une certaine manière l'assume, honnêtement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Des dialogues ciselés et des situations absurdes, sur un fond de folie grivoise réjouissante. Le tout servi par des acteurs ahurissants d'aisance et de charisme. Malheureusement, cette absurdité latente, Blier en fait un spectacle indigeste, véritable trip psychédélique dans lequel les comédiens se mettent volontairement à jouer faux (...)
Ouest France
par La rédaction
Parfois bancale, décousue et hésitante, cette fantaisie amoureuse rêvée cherche son unité et son rythme. Blier est un peu paumé dans son nouveau costume, mais il ouvre son coeur pour quelques moments bouleversants (...)
Première
par Nicolas Schaller
"Combien tu m'aimes ?" développe un petit théâtre de l'absurde plutôt amusant, plein de répliques érectiles que les acteurs (...) ont bien en bouche.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le film [peut] presque être vu comme un documentaire dédié à [Monica Bellucci] (...). Le problème étant que, quand il cesse de la découvrir, de la caresser, de la révéler, le film n'a pas grand-chose à offrir (...).
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Gilles Renault
(...) puisqu'il s'agit de radotage et que les temps ont changé, ce qui voulait naguère choquer le bourgeois peut ici tout au plus l'émoustiller, et susciter une gêne qui n'est pas forcément celle escomptée.
Score
par Alex Masson
Seule nouveauté (...) une manière de filmer Bellucci qui assume ce que tous les metteurs en scène voudraient en faire : une madone et une pute. Dommage que cela ne soit pas suffisant pour revigorer un film qui bande mou du mot. Triste à dire : Blier est devenu flagada de la verve.
La critique complète est disponible sur le site Score
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Si l'amorce est plutôt engageante, cette réflexion crue, bavarde et finalement assez convenue (...) agace plus souvent qu'elle ne séduit, puis lasse... bien avant la fin.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Brazil
On sourit (beaucoup), on marre même (un peu) et l'on est bien heureux, ici, de pouvoir encore défendre haut et fort les couleurs des armureries Blier, qui plie mais ne rompt jamais. Bravo à lui...
Le Figaroscope
Monica Bellucci n'a jamais été aussi fastueuse, et elle inspire visiblement le cinéaste, qui a retrouvé toute sa bizarrerie poétique.
Le Parisien
Blier (...) lorsqu'il est savamment dosé,agit en profondeur sur les idées, fait brillerles personnages et les répliques. Belluccirayonne, Depardieu étincelle. Le résultatprend parfois l'allure d'une fanfare maisCampan y apporte une note sensible.
Paris Match
Blier nous sert ici un de ses meilleurs plats. Dommage que, comme d'habitude, on ait un peu de mal à finir.
Positif
Reste alors quoi ? Ces bas liserés que garde Monica dans l'offrande. Cette eau de pluie dans sa chevelure quand elle grimpe le gars en voiture. Son corps de femme écarté en croix dans le travers d'un lit bleu. Cette chaîne qui divague sur son cou au gré des coups de l'amour. Et puis l'opéra. Plein d'opéra.
TéléCinéObs
Le cinéaste a retrouvé sa verve (...) avec le sens de l'humour et l'art de la provoc qui l'ont longtemps distingué.
Télérama
Contre toute attente, la beaufitude cède soudain le pas à la béatitude, la vulgarité s'efface devant l'humanité (...) Moins clinquants qu'à l'accoutumée, mais tout aussi drôles et sournois, les dialogues restent une arme défensive de première efficacité.
Zurban
Du pur Blier: situations distanciées, dialogues au cordeau, vision de l'humanité tranchante (...) Une oeuvre plus tranchante que les récentes Côtelettes.
aVoir-aLire.com
Avec Combien tu m'aimes ?, [Blier] revient en meilleure forme, fort d'un casting charismatique. [L'intérêt du film ] est (...) dans le regard mature et complexe de son cinéaste qui derrière le ton de la comédie dévoile sa tristesse et sa peur de la solitude et du vieillissement.
Cahiers du Cinéma
Alliance de vulgarité popu et de grandiloquence plate, tutoiement du spectateur et de la caméra. Samuel Beckett meets Michel Audiard : Bertrand Blier restera le cinéaste d'un ticket parfois gagnant entre café-théâtre et modernité, Blier père et Godard (...), ou Ferreri.
Le Monde
Bertrand Blier est un auteur, doté d'un ton, d'une patte, d'un style repérable dès la première réplique. Combien tu m'aimes ? n'est pas son meilleur film ni son plus raté (...) On a déjà vu cela, parfois mieux, parfois vulgaire.
Les Inrockuptibles
Blier (...) se montre un peu mieux inspiré que dans ses derniers films (...) Les dialogues ont gagné en sobriété (...) Le réalisateur se confronte plus frontalement à la minceur de son contenu et d'une certaine manière l'assume, honnêtement.
MCinéma.com
Des dialogues ciselés et des situations absurdes, sur un fond de folie grivoise réjouissante. Le tout servi par des acteurs ahurissants d'aisance et de charisme. Malheureusement, cette absurdité latente, Blier en fait un spectacle indigeste, véritable trip psychédélique dans lequel les comédiens se mettent volontairement à jouer faux (...)
Ouest France
Parfois bancale, décousue et hésitante, cette fantaisie amoureuse rêvée cherche son unité et son rythme. Blier est un peu paumé dans son nouveau costume, mais il ouvre son coeur pour quelques moments bouleversants (...)
Première
"Combien tu m'aimes ?" développe un petit théâtre de l'absurde plutôt amusant, plein de répliques érectiles que les acteurs (...) ont bien en bouche.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Le film [peut] presque être vu comme un documentaire dédié à [Monica Bellucci] (...). Le problème étant que, quand il cesse de la découvrir, de la caresser, de la révéler, le film n'a pas grand-chose à offrir (...).
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
(...) puisqu'il s'agit de radotage et que les temps ont changé, ce qui voulait naguère choquer le bourgeois peut ici tout au plus l'émoustiller, et susciter une gêne qui n'est pas forcément celle escomptée.
Score
Seule nouveauté (...) une manière de filmer Bellucci qui assume ce que tous les metteurs en scène voudraient en faire : une madone et une pute. Dommage que cela ne soit pas suffisant pour revigorer un film qui bande mou du mot. Triste à dire : Blier est devenu flagada de la verve.
Télé 7 Jours
Si l'amorce est plutôt engageante, cette réflexion crue, bavarde et finalement assez convenue (...) agace plus souvent qu'elle ne séduit, puis lasse... bien avant la fin.