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Un visiteur
3,5
Publiée le 24 juillet 2014
"Tu sais quel est le plus grand bonheur que j'ai eu, aujourd'hui ? J'ai eu la chance de tomber amoureux de toi une fois encore". Si la globalité du film n'a rien de transcendant, sa fin est proprement magnifique. Dans son avant-dernière séquence, cet opus final expose avec courage la tristesse sous-jacente de son héros et l'acharnement injuste vécu par le couple d'ogres, incarnation pas si implicite de l'amour anti-conformiste.
Compte tenu d’un précédent film pour le moins désappointant, l’hypothétique dernier volet de la franchise Shrek me faisant craindre le pire : à trop tirer sur la corde, la saga si fantastique à ses débuts allait-elle connaitre une fin passable, si ce n’est décevante ? Eh bien non, il n’en fut rien, l’intitulé Il était une fin m’ayant agréablement surpris tant dans son propos que vis-à-vis de ses prédécesseurs ; sur ce point bien qu’il n’égale pas les géniaux premier et second opus, il est parvenu à renouveler intelligemment un univers sans trop en faire, et il va sans dire qu’il surpasse sans peine aucune le tire-au-flanc de la tétralogie : Shrek le Troisième. Il n’est donc pas question ici de carence imaginative, le long-métrage nous proposant une intrigue pour le moins mouvementée, et dont l’univers toujours aussi déjanté se voit étoffé de nouvelles composantes efficaces. Au rang des points probants on peut donc citer la présence d’un nouveau méchant, certes classique au possible et dont l’introduction s’apparente plus à une grosse ficelle qu’un coup de génie, mais toutefois utilisé intelligemment : cet élément perturbateur en puissance permet la mise en place d’une trame simple comme entraînante, mais aussi de proposer un contenu inédit remettant sur le devant de la scène le couple Shrek/Fiona. En ce sens on retrouve là un peu de l’excellent premier film, Il était une fin parvenant à rendre la paire ogresque de nouveau touchante dans son traitement ; par ailleurs, le nouvel approfondissement du personnage central qu’est Shrek fait cette fois-ci mouche, tant l’on s’attache un peu plus à ce dernier. Enfin, qui dit Shrek dit visuel réussi (c’est le cas), mais aussi (et surtout) humour acide ; et l’on a beau ne pas atteindre les sommets de drôlerie proposés par le second opus, le fait d’auto-parodier des personnages-clés ou secondaires est d’une efficience indéniable, le Chat Potelé et consort fournissant alors quelques gags amusants, si ce n’est plus. En résumé, et à l’image d’un superbe dénouement tout en émotion, Shrek 4 est un volet des plus honorables : tout en assurant le divertissement, il aura su rattraper avec brio les errements du précédent opus, et proposer un semblant de conclusion des plus plaisants à la saga ogresque, véritable bijou de chez DreamWorks Animation. En l’état j’espère donc qu’il n’y aura pas de cinquième volet, de peur d’être une nouvelle fois déçu… mais qui sait ?
Ce nouvel et quatrième épisode de la saga Shrek est légèrement différent des précédents opus. Il y a certes, toujours autant d'humour, les personnages sont toujours aussi drôles et aussi cools, l'animation est comme à son habitude toujours réussi et il y a également beaucoup d'action et d'émotion, mais... comme je l'ai dit, cet épisode et différent car l'histoire change un peu des autres épisodes de cette saga et permet de donner un second souffle à la saga qui commençait légèrement à s'essouffler. La qualité de ce Shrek 4 me faisait un peu peur mais grâce à cette histoire plaisante qui change bien des autres ce n'est heureusement pas le cas et cela enlève la répétitivité de l'histoire qui faisait la faiblesse de cette saga en dehors du premier qui reste à mes yeux le meilleur opus de la saga, et de loin, grâce à son charme et l'ambiance qui au cours du temps a beaucoup diminué malheureusement.
Même avec une animation qui rappelle souvent la soupe visuellle désincarnée de Oui-Oui, même avec un enchaînement somme toute mécanique de gags forcément réchauffés maintenant que l'on est familier avec l'univers, il faut quand même reconnaître qu'il y a une vraie bonne idée de départ dans l'esprit de "La Vie est belle" (Frank Capra) qui ne pouvait pas mieux tomber pour se dire au revoir. Quelque chose de métaphysique dans cet épilogue qui ne gâche rien ou si peu... et puis j'ai aimé ce générique de fin (qui vaut pour la tétralogie), émouvant et transcendé par les notes aériennes de Stevie Wonder dans "For once In my life"... Donc un pari réussi sur le plan de l'honnêteté et d'une émotion que je sens incère malgré un côté forcément réchauffé et une animation pas vraiment au niveau ...
Clairement un épisode en trop dans l aventure Shrek. La parodie des livres de contes s est essoufflée; si les deux premiers épisodes étaient plein d idées et d irrévérence celui ci est poussif avec une histoire qui peine à convaincre et le comble une morale convenue et mollassonne.
Il était une fin. Les scénaristes ont bien compris qu’il fallait vite s’arrêter à produire un film si on a plus d’idée. Et bien chapeau, ils ont épuisé leur stock avec celui-là, et pas avant. Et en plus, ils nous montrent qu’ils sont raisonnables. Merci de ne pas gâcher un si beau dessin animé. 3,5/5
4ème et dernier volet de la saga shrek . Shrek en a marre de sa vie actuelle avec ses gosses qui lui en font voir de toute les couleurs et les villageois qui n'on plus peur de lui . Il regrette le bon temps de sa vie calme , tranquille et solitaire ou il faisait peur a tout le monde. Il aimerait revivre au moins une fois l'une de ses journée .il conclu alors un pacte avec un sorcier nommer tracassin . Tracassin lui propose de revivre une journée ou il était un ogre qui faisait peur a tout le monde . En échange shrek doit donner n'importe qu'elle jour de sa vie a tracassin . Mais ce dernier l'arnaque en prenant le jour de sa naissance . Shrek se retrouve alors dans un monde parallèle ou il n'a jamais exister , un monde ou tracassin est devenu le roi de fort fort lointain et ou il traque les ogres pour les emprisonner , un monde ou fiona n'a jamais rencontrer shrek et est devenu la chef de la résistance des orgres contre la tyrannie de tracassin... Un 4ème volet un peu décevant . L'histoire est certe originale avec cette histoire de monde parallèle mais le film manque cruellement d'humour par moment . Ce film n'est pas aussi jubilatoire que les précédents , dommage . Malgré tout sa reste un film d'animation sympathique avec tout de même quelques touches d'humour sympa ( le chat potelée ) .De plus l'animation reste de bonne qualité . Bref le moins bon film de la saga mais sympa quand même . Sa se laisse regarder . Le film conclu bien la saga .
Bon, si je mets cinq étoiles c'est surtout par solidarité. J'ai lu beaucoup de critiques qui disaient qu'il était nul. Mais moi, personnellement, je ne suis pas d'accord!!!!!Je me suis beaucoup amusée devant ce quatrième volet. J'ai trouvé entrainante et bien écrite. Et j'ai rigolé à plusieurs reprises! Le petit nain tracassin est méchant, mais attachant. C'est mon deuxième Shrek préféré, après " Shrek 2".
Quand même un peu drôle mais pas assez pour cacher l’évidence: "Shrek 4" est un coup pour rien et DreamWorks a sans doute fait le tour de cette licence.
Le Meilleur Volet des Shrek: Humour, fantaisie, scénario... tout y est! Un film d'animation réussie... je ne comprend pas qu'il y'est autant de critiques négatives. Bravo
Probablement eux aussi en pleine crise de la quarantaine, les scénaristes nous ont fait un bel hommage à la "Vie est belle" de Capra version Shrek, dans la lignée des précédents opus de l'ogre le moins "Disney" des films pour enfants des années 2000. Les fans ne seront pas déçus.
Voilà une belle fin pour une saga qui a bien commencer avec dans chaque film un méchant différent et géniale et dans ce dernier un méchant inédit : tracassin