Un peu moins bien que les trois autres, j'ai rigolé a certains moment j'ai un peu l'impression que le filon s'essouffle un petit peu mais ça conclut bien la saga.
Surement le meilleur volet de Shrek. Dommage qu'il ait mit 4 opus avant de créer une magie plus aboutie. On aime l'humour, et le gag. Un peu moralisateur, mais bon...
Enfin! La saga se termine par ce QUATRIEME shrek alors qu'elle aurait du s'arrêter au premier. Néanmoins, cette fin est divertissante, ça aurait pu être une catastrophe. Plutôt moyen.
La franchise Shrek tente de se racheter après le calamiteux 3ème épisode. Ca marche au début, puis sa retombe un peu à plat. C'est tout de même nettement meilleur que l'opus précédent.
Il y a presque dix ans sortait Shrek, film d'animation des studios DreamWorks concurrençant avec brio les géants Pixar. Le long-métrage était drôle, épique, bien réalisé et aux personnages attachants, le tout bien rythmé par des parodies incessantes et une musique entrainante. Sa suite en 2004 fut également excellente, poussant encore plus loin les parodies en tous genres, ajoutant de nouveaux personnages tordants et narrant un scénario des plus originaux. Arrivé au troisième opus, on s'ennuyait déjà pas mal, les scénaristes ne souhaitant plus parodier qui que se soit et restaient dans les clous pour une histoire basique sans panache ni réels gags. Et bien on recommence encore une fois avec ce quatrième opus où Shrek en a encore marre d'être sage et fait encore une boulette. Il va encore tenter de changer les choses, rencontrer encore des nouveaux personnages (immédiatement oubliables) et tout rentrera encore une fois dans l'ordre. Lassant, parfois ennuyeux, très peu drôle et aux gags parodiques encore une fois inexistants (si ce n'est une chanson de Renaud et trois calembours), Shrek 4 : Il était une fin possède surtout une histoire sympathique mais pas folichonne non plus, les scénariste tombant de plus en bas dans leurs trouvailles. Ainsi, ce dernier opus est tout au plus regardable voire plaisant pour les gosses mais n'arrive pas à la cheville des deux premiers films ni même au niveau scénaristique de son prédécesseur, c'est dire. Le dernier chapitre, vrai de vrai ?
Le troisième opus m'avait laissé sur ma faim, malgré sa ribambelle de nouveaux personnages. Avec le quatrième épisode, on retrouve enfin un scénario et un humour dignes de ce nom. En outre, les personnages ont été revus et corrigés ce qui relance l'intérêt de la série. Le spectateur s'était habitué à voir encore et toujours les mêmes conneries des uns et des autres, d'où une lassitude inévitable. L'idée du "Chat potelé" est peut-être la meilleure trouvaille du film. Bien sûr, tout n'est pas parfait. L'esthétique shrekienne n'a, comme toujours, rien d'extraordinaire. C'est gênant quand on connaît l'importance que revêt aujourd'hui ce critère. Les Pixars restent intouchables dans ce domaine. Le recours à la 3D ne constitue qu'un artifice visant à atténuer la pauvreté technique du dessin. Autre bémol de "Shrek 4", le manque de références culturelles. Le but initial de "l'opération Shrek" était quand même, à mon sens, de tourner en dérision les mythes folkloriques issus du Moyen-Age. Or, dans ce quatrième volet, les scénaristes se sont guère servis de ce formidable réservoir à idée, ayant uniquement recours au joueur de flûte. Les spectateurs ayant un minimum de culture et surtout amateurs de références littéraires seront donc déçus. Un bon divertissement malgré tout.
Moins drôle que les précedents opus, ce dernier Shrek possède tout de même son lot de scènes hilarantes, comme celle où l'âne se met des yeux dans les narines.