Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Elle
par Anne Diatkine
La force d'Isabelle Huppert et de Pascal Gréggory est de faire de leur couple un suspense, alors que les jeux sont faits. D'être palpitants en dépit de leur antipathie mutuelle. Et la force du film, d'être bouleversant malgré une stylisation revendiquée.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Positif
par Pierre Eisenreich
Chéreau adapte de façon magistrale une nouvelle atypique de Joseph Conrad.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Zurban
par N.T. Binh
Avec Gabrielle, adapté d'une nouvelle de Joseph Conrad, Chéreau se livre à une implacable radioscopie du couple. Interprétée par deux grands comédiens.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Dominique Widemann
Ni vaudeville ni drame bourgeois, Gabrielle s'inscrit dans la tragédie en procédant à une descente aux enfers de cette relation de couple et des visages qu'elle offre.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
(...) il arrive parfois que le propos s'étouffe sous les flots de velours et les dédales de lacets. Cela n'empêche pas toutefois une prestation magnifique d'Isabelle Huppert (...) et de Pascal Greggory, magistral dans le rôle de cet homme bardé de certitudes dont le monde s'effondre soudainement.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Tout ce qui, au fil du XXe siècle, scanda innocemment l'histoire du septième art est ici réutilisé malicieusement, autant en hommage aux origines qu'en un langage adapté au sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Tout participe (...) dans ce beau travail de cinéma à faire le portrait d'une société bourgeoise, de ses conventions, de ses masques, mais aussi de la violence de ses dynamitages.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Gérard Lefort
Adaptation d'une nouvelle de Joseph Conrad, Gabrielle de Patrice Chéreau effectue une plongée suffocante dans les déchirements d'un couple.
Ouest France
par La rédaction
Ce formalisme semble parfois contraignant et artificiel, tout comme l'alternance de la couleur et du noir et blanc filmée dans le grand large du format scope. Mais il y a toujours la fièvre des interprètes pour le faire éclater.
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Patrice Chéreau s'inspire d'une nouvelle de Joseph Conrad et cisèle avec élégance un drame intimiste dont Isabelle Huppert (...) est l'âme fiévreuse.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Louis Guichard
A rebours des fictions, nombreuses et diverses ces dernières années (...) qui dynamitent le couple bourgeois pour mieux le reconstituer in extremis, celle-ci ose la fêlure fatale, l'amertume absolue, les aveux et gestes irréversibles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Pour : Chéreau, touché par le génie, filme des instants de disgrâce matrimoniale, extirpant de la douleur du couple la quintessence même du sublime cinématographique. L'un des plus beaux films de l'année...
Première
par Gérard Delorme
C'est un défi cinématographique de retranscrire un parcours aussi intérieur (...) mais il y a un brusque décrochement au moment où (Patrice Chéreau) adopte le point de vue de Gabrielle. A partir de là, l'élan est cassé, il n'y a plus d'énigme, et on perd le fil.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
La réflexion sur le couple a des accents berg-maniens, les comédiens sont excellents. Seul bémol : une mise en scène qui frise le maniérisme par ses choix extrêmes (...)
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
Patrice Chéreau semble raconter ici une histoire qui n'est pas pour lui (...) "Gabrielle" tient principalement de sa hardiesse formelle : texte qui s'imprime sur l'écran, alternance de couleur et de noir et blanc, voix off prolixe.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
La froideur et la noirceur de l'intrigue de Gabrielle se cristallisent dans une artificialité de mise en scène qui n'a d'égale que la certitude, constante chez Chéreau, d'être au-dessus de tout son petit monde.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Un ennui distingué, il va de soi, nous sommes entre gens de bonne compagnie et de bonne intelligence, mais un vrai ennui quand même.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Gabrielle est un film surfilmé, à la limite du kitsch, que sa mise en scène tente en vain de sauver de l'académisme en le parsemant de babioles modernes (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Camille Brun
(...) dans son ensemble, le film ne parvient que trop rarement à transmettre au spectateur une quelconque émotion (...) Et au cinéma, quand on n'est pas ému, on n'est jamais très loin de l'ennui...
Score
par Yara de Lima
Dommage qu'à l'arrivée la mise en image de cette fable n'ait qu'un effet quasi soporifique sur le spectateur. On assiste finalement à une bonne grosse scène de ménage tout ce qu'il y a de plus classique, bavardage littéraire et ampoulé en plus.
La critique complète est disponible sur le site Score
aVoir-aLire.com
par Rania Hoballah
Contre : Chéreau se fourvoie dans un petit drame bourgeois superficiel et pompeux.
Elle
La force d'Isabelle Huppert et de Pascal Gréggory est de faire de leur couple un suspense, alors que les jeux sont faits. D'être palpitants en dépit de leur antipathie mutuelle. Et la force du film, d'être bouleversant malgré une stylisation revendiquée.
Positif
Chéreau adapte de façon magistrale une nouvelle atypique de Joseph Conrad.
Zurban
Avec Gabrielle, adapté d'une nouvelle de Joseph Conrad, Chéreau se livre à une implacable radioscopie du couple. Interprétée par deux grands comédiens.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Ni vaudeville ni drame bourgeois, Gabrielle s'inscrit dans la tragédie en procédant à une descente aux enfers de cette relation de couple et des visages qu'elle offre.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
(...) il arrive parfois que le propos s'étouffe sous les flots de velours et les dédales de lacets. Cela n'empêche pas toutefois une prestation magnifique d'Isabelle Huppert (...) et de Pascal Greggory, magistral dans le rôle de cet homme bardé de certitudes dont le monde s'effondre soudainement.
Le Monde
Tout ce qui, au fil du XXe siècle, scanda innocemment l'histoire du septième art est ici réutilisé malicieusement, autant en hommage aux origines qu'en un langage adapté au sujet.
Le Parisien
Tout participe (...) dans ce beau travail de cinéma à faire le portrait d'une société bourgeoise, de ses conventions, de ses masques, mais aussi de la violence de ses dynamitages.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Adaptation d'une nouvelle de Joseph Conrad, Gabrielle de Patrice Chéreau effectue une plongée suffocante dans les déchirements d'un couple.
Ouest France
Ce formalisme semble parfois contraignant et artificiel, tout comme l'alternance de la couleur et du noir et blanc filmée dans le grand large du format scope. Mais il y a toujours la fièvre des interprètes pour le faire éclater.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Patrice Chéreau s'inspire d'une nouvelle de Joseph Conrad et cisèle avec élégance un drame intimiste dont Isabelle Huppert (...) est l'âme fiévreuse.
Télérama
A rebours des fictions, nombreuses et diverses ces dernières années (...) qui dynamitent le couple bourgeois pour mieux le reconstituer in extremis, celle-ci ose la fêlure fatale, l'amertume absolue, les aveux et gestes irréversibles.
aVoir-aLire.com
Pour : Chéreau, touché par le génie, filme des instants de disgrâce matrimoniale, extirpant de la douleur du couple la quintessence même du sublime cinématographique. L'un des plus beaux films de l'année...
Première
C'est un défi cinématographique de retranscrire un parcours aussi intérieur (...) mais il y a un brusque décrochement au moment où (Patrice Chéreau) adopte le point de vue de Gabrielle. A partir de là, l'élan est cassé, il n'y a plus d'énigme, et on perd le fil.
TéléCinéObs
La réflexion sur le couple a des accents berg-maniens, les comédiens sont excellents. Seul bémol : une mise en scène qui frise le maniérisme par ses choix extrêmes (...)
Cahiers du Cinéma
Patrice Chéreau semble raconter ici une histoire qui n'est pas pour lui (...) "Gabrielle" tient principalement de sa hardiesse formelle : texte qui s'imprime sur l'écran, alternance de couleur et de noir et blanc, voix off prolixe.
Chronic'art.com
La froideur et la noirceur de l'intrigue de Gabrielle se cristallisent dans une artificialité de mise en scène qui n'a d'égale que la certitude, constante chez Chéreau, d'être au-dessus de tout son petit monde.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Un ennui distingué, il va de soi, nous sommes entre gens de bonne compagnie et de bonne intelligence, mais un vrai ennui quand même.
Les Inrockuptibles
Gabrielle est un film surfilmé, à la limite du kitsch, que sa mise en scène tente en vain de sauver de l'académisme en le parsemant de babioles modernes (...)
MCinéma.com
(...) dans son ensemble, le film ne parvient que trop rarement à transmettre au spectateur une quelconque émotion (...) Et au cinéma, quand on n'est pas ému, on n'est jamais très loin de l'ennui...
Score
Dommage qu'à l'arrivée la mise en image de cette fable n'ait qu'un effet quasi soporifique sur le spectateur. On assiste finalement à une bonne grosse scène de ménage tout ce qu'il y a de plus classique, bavardage littéraire et ampoulé en plus.
aVoir-aLire.com
Contre : Chéreau se fourvoie dans un petit drame bourgeois superficiel et pompeux.