Avis : Pirates des Caraïbes : Jusqu'au Bout du Monde - Page 7

Je mets tout juste un peu plus de la moyenne pour un bon jeu d'acteur et une super BO, mais le scénario traine en longueur... De belles scènes cependant. Pas le meilleur Pirates.

Longuet et prévisible, ce troisième opus est une déception. La simple succession de rebondissements peine à nous accrocher et la bataille finale bien que techniquement aboutie est convenue et sans originalité, on se demande où a bien pu passer le souffle épique du premier épisode.

Bon, il est vrai que je n'ai pas vu les deux premiers opus, mais cela ne m'a pas empêché de bien accrocher sur celui là. Je n'ai vraiment pas vu le temps passer, cela prouve bien que l'on ne s'ennuie vraiment pas. J'ai tout de suite accroché à ce superbe scénario qui nous à tous fait rêver lorsque nous étions plus jeune. J'ai adoré le personnage joué par Johnny Depp et tout se qui va avec. Chaque perso à son propre caractère, sa propre force, c'est un univers magique. Niveau visuel, c'est scotchant, il n'y a rien à redire. Les acteurs sont très bons, les scènes de combats sont convaincantes et l'idée est construite sur des bases solides. Je pensais pas que j'allais auatant aimer. Cependant, il reste quelques imperfections comme quelques exagérations mais bon on s'y fait. Personne n'est parfait. Je pense que ce long métrage ravira toutes les sortes de publics, alors bon film à toutes et à tous !

Inférieur à ses devanciers mais toujours agréable, ce troisième épisode souffre d'une durée un peu longue pour ce type de films. Cependant , les quelques défauts du film sont palliées paru une inventivité de tous les instants. Un suite des plus honorable.

Le troisieme opus de cette saga culte, et il est vraiment bien, Jack Sparow est de Retour ! Le dénouement du Secret du Coffre Maudit est super bien fait, en revanche la fin est bête (Will turner devient capitaine du Hollandais Volant) c'est dommage mais ce Film est beaucoup mieux que le deuxieme que j'avais quand même apprécier mais bon c'est vrai qu'il est mieux mais quand même il reste moins bien que le premier qui est le meilleur de la saga.

Sans doute le moins bon des trois premier. Le film a été fait selon moi un peu trop vite. Certains personnages paraissent un peu mou dans ce chapitre. Avec un grand plaisir on retrouve Barbossa. La bande sonore est toujours et encore magnifique. Le scénario est bon malgré que de temps en temps on finit par trouver le temps un peu long, les effets spéciaux magnifique ainsi que les décors. L'humour déjanté de Jack Sparow est toujours au rendez vous. Le meilleur reste quand même le premier. Cependant les fans retrouveront quand même la bonne ambiance des Pirates des Caraïbes.

L'histoire est plus entraînante que dans le deuxième film, certaines scènes sont magnifiquement tournées mais le film est très long. C'est beaucoup trop long pour qu'on accroche entièrement, il aurait pu être raccourci en ne gardant que l'essentiel et en supprimant les scènes censées nous apporter du suspens. Il n'y a pourtant pas de scènes inutiles mais peut-être simplement en raccourcir certaines n'auraient pas empêcher la compréhension du film tout en lui laissant une durée plus acceptable.

Moins bon que le 1er et plus ou moins du même niveau que le 2nd, on passe tout de même de bon moment et l'histoire avance un peu donc on peut pas blâmer Disney.

L'histoire d'un gars qui revient de loin, car tous ces amis ne lui veulent que du bien, après l'avoir tué par tous les moyens.
Evidemment, c'est une bonne « franchise », évidemment il y a plein d'idées originales, dont les crabes pierre n'est pas la moins spectaculaire sinon la plus belle, évidemment il y a un peu d'humour, mais plus lourdingue, à la Disney, sauf deux ou trois gags franchement gores et adultes.
Mais l'effet de surprise ne joue plus, et comme le cinéma n'est pas la TV, et qu'un an sépare cet épisode du précédent (j'ai vu 200 films depuis !) le moins qu'on puisse dire est que la moitié du scénario a une logique et une subtilité qui est depuis longtemps oubliée et paraît finalement absconse.
Johnny Depp en arrive dans certaines scènes à s'auto parodier sans en prendre conscience (je ne parle pas des scènes de multiplication) et le script ne donne pas de prouesses à jouer.
Heureusement, il y a le joli minois de Keira, mais ça ne suffit pas à recréer le charme des deux premiers opus.
Les acteurs bouche trous font correctement leur job, ça fuse de partout et c'est parfois drôle, mais on sent que quelques gags sont typiquement anglo-saxons, et par là même intraduisibles donc nuls en Français.
Au moins la musique est correcte, et surtout pas trop présente ni forte comme dans Spiderman 3.
Malgré tout, on ne s'ennuie pas pendant deux heures trente, mais il y a moins d'action et les effets spéciaux sont moins maîtrisés que dans le passionnant deuxième.
Un bon film de divertissement sans plus, à cause d'un scénario trop basé sur l'effet de série, et d'une lassitude visible de Depp, qui n'est pas homme à prendre des habitudes. Les trois scènes d'anthologie du désert, du banc de sable et de la descente de l'escalier en bois ne suffisent pas à tenir sur la longueur.
PS : Contrairement, à 98% de la salle, il ne faut pas partir avant la fin du générique, avis aux cinéphiles du dimanche.

Suite et fin (?) des aventures de Jack Sparrow.Comme pour le deuxième volet,les scénaristes ne se sont pas foulés:ce "Pirates des Caraïbes" est une succession amusante de situations savoureuses autour de plusieurs personnages.Outre ce léger détail,ce nouveau chapitre parvient,ô miracle,à renouveler la trilogie grâce à des scènes burlesques et osées.La mise en scène se permet quelques audaces mais reste toujours aussi rythmée qu'avant (petites longueurs toutefois au début de la deuxième heure),et les acteurs sont les mêmes (tant mieux d'ailleurs).Orlando Bloom aussi,toujours aussi éteint et peu passionné,malheureusement.C'est bien le seul qu'on aurait voulu voir changer.Johnny Depp,lui,refait son numéro avec auto-satisfaction à la clé (mais quel acteur!),toujours aussi allumé et guignolesque,Geoffrey Rush refait surface après son absence lors du deuxième épisode,et c'est un plaisir tant il est consistant et crédible,et Keira Knightley,charmante demoiselle au centre de l'histoire d'amour,illumine de son image la gent féminine peu présente.A noter aussi la présence ultime de deux monstres sacrés: Chow Yun-Fat pour le cinoche,Keith Richards (enfin!!!) pour la zic'.Quel plaisir de les voir s'embarquer dans cette aventure palpitante!Certes,ce n'est pas du grand art,mais ce troisième volet (le meilleur des trois) reste très prenant (scènes d'action magnifiques,effets spéciaux gigantesques,humour par paquets de 10) et surprenant (vision de la solitude et de la mort qui flirte avec l'onirique et l'absurde,comme dans cette scène dans le sable blanc,étonnante d'intelligence pour un film à si gros budget),et parvient ainsi à se rapprocher de ce qui faisait le charme du premier volet.Tous les ingrédients sont là,peut-être y en a-t-il un peu trop,mais ils sont utilisés comme il le faut,pour un résultat encore une fois réussi (voilà une trilogie qui tient la route!),qui euphorisera les amateurs de Johnny Depp,d'aventures,de pirates et de grand spectacle.Objectif atteint.

Johnny Depp se déchaîne une fois de plus dans ce film d'aventure /humour teinté de fantastique. Pas mal du tout, surtout qu'on observe un certain renouvellement des idées par rapport aux autres films de la saga.

Que dire de ce 3 éme opus... des acteurs qui joue bien, des effets spéciaux plus que bon... mais que dire du scénario. C'est surtout le scénario qui m'as le plus déçus. Trop compliqué, tiré pas les cheveux, un peu blaclé. ceci est un bon film certe mais très décevant.

C'est vraiment un très bon film. On ne voit les 2h48 passé. Johnny Depp interprète à merveille le capitaine Jack Sparrow. La bataille finale est très bien faite, même
impressionnante ! Si vous ne ne l'avez pas vu, courez vite le voir !!

Pirates des Caraïbes : Jusqu’au bout du monde est un voyage cinématographique qui oscille constamment entre le sublime et le chaotique. Gore Verbinski, armé d’un budget colossal et d’une ambition débordante, livre une œuvre qui tente d’être tout à la fois : épique, intimiste, burlesque et tragique. Mais cette quête effrénée de grandeur finit par laisser un goût d’inachèvement, comme un trésor que l’on effleure sans jamais pouvoir saisir.

Le film s’ouvre sur une note sombre, établissant une atmosphère pesante où la piraterie est sur le point d’être éradiquée par la Compagnie des Indes orientales. Cette tonalité initiale est prometteuse, mais rapidement éclipsée par une avalanche d’intrigues et de retournements qui rendent l’ensemble confus. Si le deuxième opus avait déjà donné un avant-goût de cette tendance à l’excès, Jusqu’au bout du monde pousse cette logique à son paroxysme, souvent au détriment de la clarté narrative.

Johnny Depp, dans le rôle du capitaine Jack Sparrow, continue de captiver par son charisme unique et ses excentricités. Cependant, son personnage, autrefois imprévisible et ingénieux, semble ici prisonnier de ses propres tics. Sparrow devient un prétexte à des scènes surréalistes qui, bien que visuellement audacieuses, peinent à s’intégrer dans l’intrigue générale. L’épisode du casier de Davy Jones, avec ses hallucinations et ses dédoublements, illustre parfaitement cette dérive : une idée intéressante, mais exploitée de manière trop désordonnée pour marquer durablement.

Le duo formé par Will Turner (Orlando Bloom) et Elizabeth Swann (Keira Knightley) est relégué au second plan, dilué dans une multitude de sous-intrigues. Leur romance, censée être le fil rouge émotionnel de la trilogie, manque de l’intensité nécessaire pour émouvoir. Leur mariage improvisé lors de la bataille finale, bien qu’amusant dans son absurdité, souligne cette perte de gravité dans leur relation. L’arc narratif de Will, culminant dans son sacrifice, aurait pu être profondément poignant, mais il est précipité et manque d’impact émotionnel.

Les nouveaux personnages, comme Sao Feng (Chow Yun-fat) et le capitaine Teague (Keith Richards), apportent une certaine fraîcheur, mais leur potentiel est sous-exploité. Sao Feng, en particulier, est présenté comme un personnage clé, avant d’être rapidement écarté au profit d’autres intrigues. Cela reflète l’un des problèmes majeurs du film : un surpeuplement narratif où chaque personnage lutte pour exister.

Visuellement, le film est une réussite incontestable. Les décors sont somptueux, des ports asiatiques humides et oppressants aux étendues infinies et monochromes du casier de Davy Jones. La bataille finale dans un maelström déchaîné est un exploit technique, mêlant habilement effets pratiques et numériques. Pourtant, cette magnificence visuelle ne suffit pas à compenser le déséquilibre narratif. Trop souvent, le spectateur est laissé à admirer des tableaux spectaculaires sans véritablement comprendre ou ressentir l’enjeu émotionnel sous-jacent.

Hans Zimmer signe une bande originale qui accompagne magnifiquement ces moments de grandeur, avec des thèmes épiques et des motifs récurrents qui rappellent les meilleurs moments de la saga. Mais comme le film lui-même, la musique se perd parfois dans des excès, tentant de couvrir les fissures d’un récit surchargé.

En fin de compte, Jusqu’au bout du monde est une œuvre qui impressionne par son audace visuelle et ses ambitions thématiques, mais qui trébuche sous le poids de ses propres ambitions. Il y a des éclairs de génie, des moments où l’on retrouve l’esprit d’aventure et de camaraderie qui faisait le charme du premier film. Mais ces instants sont noyés dans une mer de décisions créatives inégales et d’une exécution trop dispersée.

Un spectacle grandiose mais imparfait, qui laisse le spectateur tiraillé entre l’émerveillement et la frustration. Jusqu’au bout du monde clôt la trilogie originale avec éclat, mais sans l’éclatante maîtrise que cette saga méritait.

Un film super bien fait comme d'habitude, avec Johnny Depp toujours aussi bon, à voir sans hésiter bien sur!