AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,7
70139 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Pirates des Caraïbes : Jusqu'au Bout du Monde ?
5
717 critiques
4
619 critiques
3
197 critiques
2
485 critiques
1
343 critiques
0
203 critiques
Trier par :
Filtrer par :
- Toutes les notes
-
-
-
-
-
-
Pas mal. Un peu long par moment. On tourne un peu en rond et des scènes un peu trop répétitives à mon goût. Un Johnny Depp au top de sa forme, c'est lui qui fait tout dans ce film. Les 2 autres acteurs principaux sont particulièrement agaçant.
Pirates des Caraibes 3 : Jusqu'au bout de mes capacités ! Voilà le titre qu'aurait pu porter ce dernier opus de la trilogie originelle affreusement long. 3h de spectacle, de grand spectacle par moment, mais 3h de scènes à n'en plus finir, d'intrigues parasites, de retournements de situation, de trahisons si bien que cela en est incompréhensible et plus drôle. Les producteurs ont voulu pousser leur franchise au maximum mais l'excès a été atteint, la simplicité du premier volet est oubliée et ce n'est pas la spectaculaire bataille finale qui sauvera ce film du naufrage. Un journaliste a dit on est bien chez Disney, 2h30 d'attente pour 10 minutes de plaisir, c'est tout à fait ça !
At World’s End était censé être dans la lignée directe de Dead Man’s Chest, une partie 2 presque, pourtant les deux films me semblent assez différents. Et ce troisième opus me paraît presque un rebond (relatif) du « coup de barre » opéré avec le second.
Quittant les Bahamas comme on quitterait un Poudlard occupé, Verbinski se tourne de l’autre côté du monde, à Singapour. Il y puise un univers visuel passionnant, comme s’il écrivait son histoire à l’encre des ombres. Et cela pour ensuite ouvrir un monde tout de blancheur, rappelant très fortement une scène de Rango (2011) où il transforme un désert de sel en une sorte de Valhalla pour home cinema. Ce côté expérimental, c’est la nouvelle ressource des Pirates des Caraïbes, mais cela renforce l’impression que le régisseur s’ennuie.
Le pire, je crois, c’est à quel point les décalages s’accentuent, et particulièrement la fracture entre le drame et l’humour ainsi que celle qui sépare le rationnel et le fantastique. Le deuxième élément de ces deux couplets était jusqu’ici gérés comme des tabous, des plaisirs qui permettaient au spectateur de s’encanailler auprès de ses pirates préférés. Avec At World’s End, cette pratique est totalement méprisée, ce qui endommeage beaucoup l’esprit de la saga. Les conflits, qui étaient encore tenus au bout des doigts dans le 2, sont hors de contrôle, et sont beaucoup trop résolus à coups de trahison.
Si j’ai raison de croire que Verbinski a expérimenté par ennui, c’est tout à son honneur. Cela ne lui permet pas seulement de donner un magnifique petit rôle à Keith Richards, mais lui évite aussi de marcher dans le plat, et l’ambiance au goût d’Au-delà de nos rêves (Vincent Ward, 1998) arrive à renouveler l’âme, faute d’innover. Car le film cherche encore ses propres équilibres et il est un peu tard pour ça. Enfin si, il y en a un qui est atteint : le procédé de la remise en cause est très loin du binaire qu’on peut en attendre ; il faut chercher loin pour trouver les vrais tenants et aboutissants des intérêts de chacun, et c’est assez palpitant (comme le cœur encoffré du grand méchant poulpe, d’ailleurs).
Donc oui, At World’s End perpétue les défauts de son prédécesseur, mais il n’y a pas de grosses gaffes (vous n’aurez pas à ramer non plus, rassurez-vous !) et la créativité prend un peu le pas ; juste ce qu’il faut pour lui faire garder le cap.
septiemeartetdemi.com
Quittant les Bahamas comme on quitterait un Poudlard occupé, Verbinski se tourne de l’autre côté du monde, à Singapour. Il y puise un univers visuel passionnant, comme s’il écrivait son histoire à l’encre des ombres. Et cela pour ensuite ouvrir un monde tout de blancheur, rappelant très fortement une scène de Rango (2011) où il transforme un désert de sel en une sorte de Valhalla pour home cinema. Ce côté expérimental, c’est la nouvelle ressource des Pirates des Caraïbes, mais cela renforce l’impression que le régisseur s’ennuie.
Le pire, je crois, c’est à quel point les décalages s’accentuent, et particulièrement la fracture entre le drame et l’humour ainsi que celle qui sépare le rationnel et le fantastique. Le deuxième élément de ces deux couplets était jusqu’ici gérés comme des tabous, des plaisirs qui permettaient au spectateur de s’encanailler auprès de ses pirates préférés. Avec At World’s End, cette pratique est totalement méprisée, ce qui endommeage beaucoup l’esprit de la saga. Les conflits, qui étaient encore tenus au bout des doigts dans le 2, sont hors de contrôle, et sont beaucoup trop résolus à coups de trahison.
Si j’ai raison de croire que Verbinski a expérimenté par ennui, c’est tout à son honneur. Cela ne lui permet pas seulement de donner un magnifique petit rôle à Keith Richards, mais lui évite aussi de marcher dans le plat, et l’ambiance au goût d’Au-delà de nos rêves (Vincent Ward, 1998) arrive à renouveler l’âme, faute d’innover. Car le film cherche encore ses propres équilibres et il est un peu tard pour ça. Enfin si, il y en a un qui est atteint : le procédé de la remise en cause est très loin du binaire qu’on peut en attendre ; il faut chercher loin pour trouver les vrais tenants et aboutissants des intérêts de chacun, et c’est assez palpitant (comme le cœur encoffré du grand méchant poulpe, d’ailleurs).
Donc oui, At World’s End perpétue les défauts de son prédécesseur, mais il n’y a pas de grosses gaffes (vous n’aurez pas à ramer non plus, rassurez-vous !) et la créativité prend un peu le pas ; juste ce qu’il faut pour lui faire garder le cap.
septiemeartetdemi.com
Gore Verbinski signe là son 3ème volets de ce que je considère être une TRILOGIE avec ce « Pirates des Caraïbes Jusqu’au bout du monde »
Certes un 4ème et 5ème sont sortis à l’heure où je poste ma critique mais pour moi hors contexte de ces 3 là.
Ce film est une nouvelle fois une totale réussite de la part de son réalisateur et de ses acteurs nous offrant encore un spectacle de toute beauté.
Si quelques longueurs viennent entacher un peu le film que je trouve beaucoup plus long comparé au 1er et 2ème, il semble néanmoins suivre une certaine logique, le scénario étant cohérent aux vues des 2 précédents.
On retrouve Jack Sparrow, prisonnier de l’antre de Davy Jones après avoir été englouti par le Kraken.
On retrouve spoiler: Le Capitaine Barbosa revenu à la vie grâce à la déesse Calypso,
Will Turner et Elizabeth Swann, Davy Jones spoiler: maintenant aux ordres de
Lord Cutler Buckett et La Compagnie des Indes, on découvre une confrérie de pirates aux nombres de 9, Le Gardien du codex des pirates spoiler: « Cptn Teague Sparrow » le père de Jack interprété par Keith Richards ^^ juste excellent cette apparition.
J’adore l’équipage du Black Pearl qui est quasi le même depuis le premier avec Gibbs, Pintel et Ragetti.
Johnny Deep porte son rôle à merveille même si je l’ai trouvé moins fringant cette fois-ci, moins de mimiques et moins de pitreries, on retrouve un Jacky tourmenté par ces dernières épreuves endurées et qui est tombé dans la folie (démence), n’empêche d’une pirouette il renverse toujours la situation, génie ou improvisation ?...
Cptn Barbosa (Geoffrey Rush) est hyper attachant comme personnage, j’aime beaucoup, il a énormément de charisme et avec Jack ils font la paire.
Les batailles navales toujours aussi réussies tout comme les effets spéciaux au rdv, des décors toujours au top.
Une bande sonore encore de grande qualité qui nous plonge bien dans l’univers des pirates surtout au début avec pour moi une grosse chair de poule.
Une saga de qualité qui ne faiblit pas jusqu’ici et un plaisir, me concernant qui reste intact.
Un peu trop long à mon avis 2h40.. mais le Pirates des Caraïbes 3 reste toutefois captivant ;)
Je ne sais pas si tout le monde regarde jusqu’à spoiler: la toute fin même après les crédits (l’outro) il arrive qu’il y’ait une scène ;)
3,5/5.
Je m’étais arrêté sur ce 3 vu lors de ça sortie en salle et re-revu par la suite tout comme toute cette trilogie que je connais par coeur à force, il me manque à voir « La Fontaine de Jouvence » et « La Vengeance de Salazar ».
J’espère ne pas être déçu sachant qu’un 6ème devrait sortir prochainement avec ou sans Johnny Deep pour l’instant rien n’est confirmé...
Certes un 4ème et 5ème sont sortis à l’heure où je poste ma critique mais pour moi hors contexte de ces 3 là.
Ce film est une nouvelle fois une totale réussite de la part de son réalisateur et de ses acteurs nous offrant encore un spectacle de toute beauté.
Si quelques longueurs viennent entacher un peu le film que je trouve beaucoup plus long comparé au 1er et 2ème, il semble néanmoins suivre une certaine logique, le scénario étant cohérent aux vues des 2 précédents.
On retrouve Jack Sparrow, prisonnier de l’antre de Davy Jones après avoir été englouti par le Kraken.
On retrouve spoiler: Le Capitaine Barbosa revenu à la vie grâce à la déesse Calypso,
Will Turner et Elizabeth Swann, Davy Jones spoiler: maintenant aux ordres de
Lord Cutler Buckett et La Compagnie des Indes, on découvre une confrérie de pirates aux nombres de 9, Le Gardien du codex des pirates spoiler: « Cptn Teague Sparrow » le père de Jack interprété par Keith Richards ^^ juste excellent cette apparition.
J’adore l’équipage du Black Pearl qui est quasi le même depuis le premier avec Gibbs, Pintel et Ragetti.
Johnny Deep porte son rôle à merveille même si je l’ai trouvé moins fringant cette fois-ci, moins de mimiques et moins de pitreries, on retrouve un Jacky tourmenté par ces dernières épreuves endurées et qui est tombé dans la folie (démence), n’empêche d’une pirouette il renverse toujours la situation, génie ou improvisation ?...
Cptn Barbosa (Geoffrey Rush) est hyper attachant comme personnage, j’aime beaucoup, il a énormément de charisme et avec Jack ils font la paire.
Les batailles navales toujours aussi réussies tout comme les effets spéciaux au rdv, des décors toujours au top.
Une bande sonore encore de grande qualité qui nous plonge bien dans l’univers des pirates surtout au début avec pour moi une grosse chair de poule.
Une saga de qualité qui ne faiblit pas jusqu’ici et un plaisir, me concernant qui reste intact.
Un peu trop long à mon avis 2h40.. mais le Pirates des Caraïbes 3 reste toutefois captivant ;)
Je ne sais pas si tout le monde regarde jusqu’à spoiler: la toute fin même après les crédits (l’outro) il arrive qu’il y’ait une scène ;)
3,5/5.
Je m’étais arrêté sur ce 3 vu lors de ça sortie en salle et re-revu par la suite tout comme toute cette trilogie que je connais par coeur à force, il me manque à voir « La Fontaine de Jouvence » et « La Vengeance de Salazar ».
J’espère ne pas être déçu sachant qu’un 6ème devrait sortir prochainement avec ou sans Johnny Deep pour l’instant rien n’est confirmé...
Elisabeth, Will et Barbosa partent chercher Jack Sparrow aux confins du monde pour le faire revenir parmi les vivants afin de mettre fin à la domination du Hollandais Volant sur les océans. Encore une grande aventure de pirates avec Jack Sparrow toujours aussi bien interprété par Johnny Depp
Gore Verbinski livre un troisième opus spectaculaire et monumental que l'on vit pendant près de trois heures avec quelques aspects et moments plutôt ridicules, quelques longueurs, des effets visuels plutôt saisissants, des scènes d'actions impressionnantes, des acteurs toujours au top et un scénario correct.
Troisième volet de la sage "Pirates des Caraïbes". Cette fois-ci, l'histoire se déroule à Singapour à la rencontre de Sao Feng, un pirate chinois. William Turner et Elisabeth Swann vont tenter de ramener Jack Sparrow, avec l'aide du capitaine Barbossa, prisonnier de l'antre de Davey Jones. Les répliques sont toujours aussi cultes et les scènes d'action toujours aussi réussies. On note un peu plus d'émotion dans ce film avec l'histoire d'amour entre Turner et Swann, ce qui rend les personnages plus attachants encore. Ce troisième opus est toujours aussi brillant mais cependant un ton en-dessous des deux premiers.
Troisième volet de la sage "Pirates des Caraïbes". Cette fois-ci, l'histoire se déroule à Singapour à la rencontre de Sao Feng, un pirate chinois. William Turner et Elisabeth Swann vont tenter de ramener Jack Sparrow, avec l'aide du capitaine Barbossa, prisonnier de l'antre de Davey Jones. Les répliques sont toujours aussi cultes et les scènes d'action toujours aussi réussies. On note un peu plus d'émotion dans ce film avec l'histoire d'amour entre Turner et Swann, ce qui rend les personnages plus attachants encore. Ce troisième opus est toujours aussi brillant mais cependant un peu en-dessous des deux premiers.
3e opus, suite directe du 2e qui dure 2H45, excusez du peu (!) mais on voit pas le temps passer et pour moi c'est l'un des meilleurs. Gros jeu d'acteur avec le passage ou il y a plusieurs Jack Sparrow, l'épisode le plus WTF de la saga ! 3,5/5
Gore Verbinski livre un troisième opus monumental que l'on vit pendant près de trois heures avec quelques aspects et moments plutôt ridicules, quelques longueurs, des effets visuels plutôt saisissants, des scènes d'actions impressionnantes, des acteurs toujours au top et un scénario correct qui tient la route.
Gore Verbinski livre un troisième opus monumental que l'on vit pendant près de trois heures avec quelques aspects et moments plutôt ridicules, quelques longueurs, des effets visuels plutôt saisissants, des scènes d'actions impressionnantes, des acteurs toujours au top et un scénario correct qui tient la route. C’est bien.
*Pirates des Caraïbes 3* est dans la lignée des précédents : un grand film d'aventure fantastique offrant de très belles images alimentées d'une part par des effets visuels à la pointe de la technologie et d'autre part par de fabuleux décors en dur. Les scènes s'y déroulant sont véritablement spectaculaires et Gore Verbinsky maîtrise parfaitement sa caméra. L'ensemble des acteurs fournissent toujours des prestations solides avec un humour bien dosé. Quant à la composition musicale, Hans Zimmer signe là l'une de ses meilleures partitions.
Malgré tout, *Jusqu'au bout du monde* est inférieur aux autres opus pour deux raisons. La première est que l'histoire est inutilement alambiquée et se permet trop d'excès fantaisistes (le retour de Jack, la transformation de Calypso). La deuxième est la surenchère d'effets spéciaux dans la scène finale (le maelström qui a du mal à se justifier) où le ton est hésitant entre mélodrame et humour (la demande en mariage en plein combat).
Malgré tout, *Jusqu'au bout du monde* est inférieur aux autres opus pour deux raisons. La première est que l'histoire est inutilement alambiquée et se permet trop d'excès fantaisistes (le retour de Jack, la transformation de Calypso). La deuxième est la surenchère d'effets spéciaux dans la scène finale (le maelström qui a du mal à se justifier) où le ton est hésitant entre mélodrame et humour (la demande en mariage en plein combat).
Pour moi, celui-ci, bien que très bon, l'est un peu moins que les deux précédents. L'ambiance alterne entre l'humour potache et fin des pirates et le glauque et horrifique des méchants qui sont prêt à tout.
Jack reste le personnage le plus libre et perso de l'histoire... Quoi que... L'on se demande si au final, tout ça n'est pas prévu...
Johnes se surprend à faire éprouver de la compassion...
Malgré tout, j'ai trouvé celui plus cliché mais gratuitement que les précédents... Un peu trop... Too much...
Mais il nous fait encore voyager et sourire. Il mérite d'être le troisième de cette saga.
Jack reste le personnage le plus libre et perso de l'histoire... Quoi que... L'on se demande si au final, tout ça n'est pas prévu...
Johnes se surprend à faire éprouver de la compassion...
Malgré tout, j'ai trouvé celui plus cliché mais gratuitement que les précédents... Un peu trop... Too much...
Mais il nous fait encore voyager et sourire. Il mérite d'être le troisième de cette saga.
Le troisième épisode de la saga "Pirates des Caraïbes" est plutôt réussi. Pour moi, il surpasse le deuxième sans toutefois atteindre les sommets du premier. Il y a évidemment du bon et du moins bon, commençons par le moins bon : il faut le dire, le couple Elizabeth-Will n'est pas très intéressant et devient lourd dans le scénario, allant jusqu'à s'expliquer en plein combat, ralentissant le rythme ou à se marier dans une scène complètement ratée selon moi. On a aussi le conseil des seigneurs qui en soit est cool mais qui sort de nul part, en mode "Il faut ressusciter Jack pour qu'il aille à ce conseil", la le scénario est faible et ça rend une première partie du film lourde notamment avec les moments ou Jack est dans sa tête particulièrement chiants. Le dernier gros défaut de ce film est sa longueur, 2h40, c'est trop long, vraiment. Passons maintenant aux côtés positifs, on a évidemment, comme dans tous les Pirates des Caraïbes, un film très beau avec des effets spéciaux toujours magnifiques. Le gros point fort de ce film reste surtout la bataille finale qui est très réussie et qui fait que ce film mérite bien un 3,5/5.
HamsterPsycho
Fin de trilogie en apothéose avec une débauche de scènes d'action, d'effets spectaculaires et de personnages hauts en couleurs. L'action a tendance à prendre le pas sur le reste, comme c'est souvent le cas dans les trilogies pour compenser la perte de l'effet de nouveauté. Un film très riche (parfois trop).
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse