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Votre avis sur Pirates des Caraïbes : Jusqu'au Bout du Monde ?
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Pas mal. Un peu long par moment. On tourne un peu en rond et des scènes un peu trop répétitives à mon goût. Un Johnny Depp au top de sa forme, c'est lui qui fait tout dans ce film. Les 2 autres acteurs principaux sont particulièrement agaçant.
Pirates des Caraibes 3 : Jusqu'au bout de mes capacités ! Voilà le titre qu'aurait pu porter ce dernier opus de la trilogie originelle affreusement long. 3h de spectacle, de grand spectacle par moment, mais 3h de scènes à n'en plus finir, d'intrigues parasites, de retournements de situation, de trahisons si bien que cela en est incompréhensible et plus drôle. Les producteurs ont voulu pousser leur franchise au maximum mais l'excès a été atteint, la simplicité du premier volet est oubliée et ce n'est pas la spectaculaire bataille finale qui sauvera ce film du naufrage. Un journaliste a dit on est bien chez Disney, 2h30 d'attente pour 10 minutes de plaisir, c'est tout à fait ça !
At World’s End était censé être dans la lignée directe de Dead Man’s Chest, une partie 2 presque, pourtant les deux films me semblent assez différents. Et ce troisième opus me paraît presque un rebond (relatif) du « coup de barre » opéré avec le second.
Quittant les Bahamas comme on quitterait un Poudlard occupé, Verbinski se tourne de l’autre côté du monde, à Singapour. Il y puise un univers visuel passionnant, comme s’il écrivait son histoire à l’encre des ombres. Et cela pour ensuite ouvrir un monde tout de blancheur, rappelant très fortement une scène de Rango (2011) où il transforme un désert de sel en une sorte de Valhalla pour home cinema. Ce côté expérimental, c’est la nouvelle ressource des Pirates des Caraïbes, mais cela renforce l’impression que le régisseur s’ennuie.
Le pire, je crois, c’est à quel point les décalages s’accentuent, et particulièrement la fracture entre le drame et l’humour ainsi que celle qui sépare le rationnel et le fantastique. Le deuxième élément de ces deux couplets était jusqu’ici gérés comme des tabous, des plaisirs qui permettaient au spectateur de s’encanailler auprès de ses pirates préférés. Avec At World’s End, cette pratique est totalement méprisée, ce qui endommeage beaucoup l’esprit de la saga. Les conflits, qui étaient encore tenus au bout des doigts dans le 2, sont hors de contrôle, et sont beaucoup trop résolus à coups de trahison.
Si j’ai raison de croire que Verbinski a expérimenté par ennui, c’est tout à son honneur. Cela ne lui permet pas seulement de donner un magnifique petit rôle à Keith Richards, mais lui évite aussi de marcher dans le plat, et l’ambiance au goût d’Au-delà de nos rêves (Vincent Ward, 1998) arrive à renouveler l’âme, faute d’innover. Car le film cherche encore ses propres équilibres et il est un peu tard pour ça. Enfin si, il y en a un qui est atteint : le procédé de la remise en cause est très loin du binaire qu’on peut en attendre ; il faut chercher loin pour trouver les vrais tenants et aboutissants des intérêts de chacun, et c’est assez palpitant (comme le cœur encoffré du grand méchant poulpe, d’ailleurs).
Donc oui, At World’s End perpétue les défauts de son prédécesseur, mais il n’y a pas de grosses gaffes (vous n’aurez pas à ramer non plus, rassurez-vous !) et la créativité prend un peu le pas ; juste ce qu’il faut pour lui faire garder le cap.
septiemeartetdemi.com
Quittant les Bahamas comme on quitterait un Poudlard occupé, Verbinski se tourne de l’autre côté du monde, à Singapour. Il y puise un univers visuel passionnant, comme s’il écrivait son histoire à l’encre des ombres. Et cela pour ensuite ouvrir un monde tout de blancheur, rappelant très fortement une scène de Rango (2011) où il transforme un désert de sel en une sorte de Valhalla pour home cinema. Ce côté expérimental, c’est la nouvelle ressource des Pirates des Caraïbes, mais cela renforce l’impression que le régisseur s’ennuie.
Le pire, je crois, c’est à quel point les décalages s’accentuent, et particulièrement la fracture entre le drame et l’humour ainsi que celle qui sépare le rationnel et le fantastique. Le deuxième élément de ces deux couplets était jusqu’ici gérés comme des tabous, des plaisirs qui permettaient au spectateur de s’encanailler auprès de ses pirates préférés. Avec At World’s End, cette pratique est totalement méprisée, ce qui endommeage beaucoup l’esprit de la saga. Les conflits, qui étaient encore tenus au bout des doigts dans le 2, sont hors de contrôle, et sont beaucoup trop résolus à coups de trahison.
Si j’ai raison de croire que Verbinski a expérimenté par ennui, c’est tout à son honneur. Cela ne lui permet pas seulement de donner un magnifique petit rôle à Keith Richards, mais lui évite aussi de marcher dans le plat, et l’ambiance au goût d’Au-delà de nos rêves (Vincent Ward, 1998) arrive à renouveler l’âme, faute d’innover. Car le film cherche encore ses propres équilibres et il est un peu tard pour ça. Enfin si, il y en a un qui est atteint : le procédé de la remise en cause est très loin du binaire qu’on peut en attendre ; il faut chercher loin pour trouver les vrais tenants et aboutissants des intérêts de chacun, et c’est assez palpitant (comme le cœur encoffré du grand méchant poulpe, d’ailleurs).
Donc oui, At World’s End perpétue les défauts de son prédécesseur, mais il n’y a pas de grosses gaffes (vous n’aurez pas à ramer non plus, rassurez-vous !) et la créativité prend un peu le pas ; juste ce qu’il faut pour lui faire garder le cap.
septiemeartetdemi.com
RealPrime
Troisième aventure de piraterie et d'aventure à travers les mers et bien sûr océans, cette volée 3ème du nom est presque plus sombre
spoiler:
mais tout aussi romanesque quant à la relation de plus en plus sérieuse de nos 2 héros secondaires.
Un jeu toujours aussi parfait, une beauté visuelle toujours aussi magistrale, une bande-son culte et un ensemble technique des plus grands, cette désormais trilogie s'inscrit officiellement dans la cours des grands du cinéma. Un début nous offrant la version très lointaine d'une chine ou japon aujourd'hui ou presque révolue. spoiler: Une scène du conseil de la piraterie impeccable mais démocratiquement à côté de la plaque.
Un duel légendaire à la fois entre 2 vaisseaux désormais mythique et 2 ennemis de toujours pour un seul but ou presque même 2 et si l'on est bien fou, plus si affinité.
Des évolutions légères par contre pour chacun des personnage car au bout du 3, on pourrait en voir un chouilla plus mais patiente après tout. Des scènes toujours mémorable et une artistique du choc. Une affiche et même plusieurs devenus même emblématique, qui à l'époque de leur sortie avaient pour le moins bien fait tenir leur promesse de campagne. Un 3ème chef d'oeuvre pour un choc des titans... du bout du monde.
Un jeu toujours aussi parfait, une beauté visuelle toujours aussi magistrale, une bande-son culte et un ensemble technique des plus grands, cette désormais trilogie s'inscrit officiellement dans la cours des grands du cinéma. Un début nous offrant la version très lointaine d'une chine ou japon aujourd'hui ou presque révolue. spoiler: Une scène du conseil de la piraterie impeccable mais démocratiquement à côté de la plaque.
Un duel légendaire à la fois entre 2 vaisseaux désormais mythique et 2 ennemis de toujours pour un seul but ou presque même 2 et si l'on est bien fou, plus si affinité.
Des évolutions légères par contre pour chacun des personnage car au bout du 3, on pourrait en voir un chouilla plus mais patiente après tout. Des scènes toujours mémorable et une artistique du choc. Une affiche et même plusieurs devenus même emblématique, qui à l'époque de leur sortie avaient pour le moins bien fait tenir leur promesse de campagne. Un 3ème chef d'oeuvre pour un choc des titans... du bout du monde.
Un troisième film qui est plein de rebondissements scénaristiques ainsi que de nombreux effets visuels fantastiques. Malgré une prestation peu marquante de Chow Yun-Fat (dans le rôle de Sao Feng), on retrouve Geoffrey Rush (Hector Barbossa) qui m'a séduit une fois de plus. En ce qui concerne les nouveaux personnage, j'ai apprécié la prestation de Stellan Skarsgard (Bill Turner) mais surtout celle de Keith Richards (Teague Sparrow) qui est pour moi interprète son personnage de façon extraordinaire bein qu'on ne le voit peu de temps. Côté scénario, rien à redire puisque ce troisième volet nous tient en halène du début jusqu'à la fin.
Ce troisième volet fait fort: il réussit à être encore plus mauvais que son grand frère et ça, il fallait le faire. D'ailleurs, le film ne fait pas illusion bien longtemps. En plus, l'apparition tardive de Johnny Depp finit de le flinguer rapidement. Le fait que la saga est totalement dépendante de Depp est désormais un fait acquis. Parce que ce n'est pas Keira Knightley (pourtant capable de bien mieux) et Orlando Bloom qui sont capables de tirer tout ça vers le haut. Verbinski laisse passer un temps fou avant de lancer l'action. Quand elle arrive, c'est trop tard, le mal est déjà fait depuis bien longtemps. "Pirates des Caraïbes 3", jusqu'au bout de l'ennui, du vide du début à la fin. Et, il paraît que le quatrième volet est encore pire.
Même si il manque le charme du premier opus, ce 3ème volet multiplie les idées folles, les joutes verbales et les combats jouissifs !
Généreux.
Généreux.
"Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde est donc un excellent film, mais surtout une excellente conclusion à la trilogie entamée en 2003. Encore une fois, l'intrigue est réellement captivante. L'univers et les personnages sont très bien développés. Les scènes d'action et les effets spéciaux sont très bons. La bataille finale est même l'une des meilleures scènes d'action que j'ai pu voir au cinéma. l'ambiance est toujours aussi bien maîtrisée. Le casting est vraiment très bon. Et les décors ainsi que la musique sont très bien réalisés. Au niveau des défauts, je regrette juste un retour de Jack Sparrow trop facile et quelques longueurs en début de film. Autrement, Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde conclut dignement la trilogie entamée 4 ans plus tôt."
Critique complète sur cineomax.over-blog.com
Critique complète sur cineomax.over-blog.com
Encore un très bon volet donc 3 énormes films signé ce génie de Gore Verbinski. Johnny Depp encore plus loufoque et plus drôle que les volets précédents, il se surpasse dans ce nouveau volet dans le rôle de Jack Sparrow. Génial de retrouver aussi Geoffrey Rush dans le rôle de Hector Barbossa ainsi que Orlando Bloom et Keira Knightley qui reprennent leur rôle également. Lord Beckett détient dés a présent le hollandais vollant dont Davy Jones et sous son commandement. Les pirates sont en danger, Barbossa n'aura pas d'autre choix de venir cherché Jack Sparrow dans l'au-delà afin de réunir les 9 seigneurs de la piraterie afin de combattre Beckett et le terrible Davy Jones.
spoiler: J'ai trouvé la scène ou l'équipage fait tourner le black pearl tellement bien foutu et très réussit avec une petite musique bien trouvé, j'ai adoré cette scène. J'ai beaucoup aimé l'humour de Jack Sparrow avec ces hallucinations assez délirante
.
spoiler: La scène final est très réussit avec la bataille naval entre le black pearl et le hollandais vollant, sans parlé du combat entre Jack Sparrow et Davy Jones, un final épique.
J'ai trouvé les musiques encore meilleurs que les 2 précédents volets, on a beaucoup plus de musique et qui vont bien avec les scènes du film. Le film est bombardé de musique du super Han Zimmer.
Le petit coté négative, je dirais que c'est qu'il y a pas mal de scène un peu chelou spoiler: comme l'antre de Davy Jones et la façon que les crabes ramène le black pearl ainsi que la libération de Calypso
. Il y aussi un peu un manque d'actions, on peut un peu s'ennuie par moment a partir du tribunal de la confrérie mais bon Jack Sparrow toujours aussi incroyable car il réussit toujours a ses fins comme élire spoiler: Elisabeth roi des pirates
afin de pouvoir d'accéder à son plan. Gore Verbinski a encore fait une superbe réalisation. 3 Films réaliser à merveille. Moins bon que les 2 premiers mais reste une parfaite réalisation. De bonnes scènes d'actions, de superbes musiques, beaucoup d'humour, de bons acteurs et de bon effets spéciaux.Un film à absolument voir et revoir mais il peut déplaire car un film avec des scènes étranges qui peut déplaire aux spectateur mais aussi avec la durée du film mais, tout de même, beaucoup d'humour et un très beau final.
spoiler: J'ai trouvé la scène ou l'équipage fait tourner le black pearl tellement bien foutu et très réussit avec une petite musique bien trouvé, j'ai adoré cette scène. J'ai beaucoup aimé l'humour de Jack Sparrow avec ces hallucinations assez délirante
.
spoiler: La scène final est très réussit avec la bataille naval entre le black pearl et le hollandais vollant, sans parlé du combat entre Jack Sparrow et Davy Jones, un final épique.
J'ai trouvé les musiques encore meilleurs que les 2 précédents volets, on a beaucoup plus de musique et qui vont bien avec les scènes du film. Le film est bombardé de musique du super Han Zimmer.
Le petit coté négative, je dirais que c'est qu'il y a pas mal de scène un peu chelou spoiler: comme l'antre de Davy Jones et la façon que les crabes ramène le black pearl ainsi que la libération de Calypso
. Il y aussi un peu un manque d'actions, on peut un peu s'ennuie par moment a partir du tribunal de la confrérie mais bon Jack Sparrow toujours aussi incroyable car il réussit toujours a ses fins comme élire spoiler: Elisabeth roi des pirates
afin de pouvoir d'accéder à son plan. Gore Verbinski a encore fait une superbe réalisation. 3 Films réaliser à merveille. Moins bon que les 2 premiers mais reste une parfaite réalisation. De bonnes scènes d'actions, de superbes musiques, beaucoup d'humour, de bons acteurs et de bon effets spéciaux.Un film à absolument voir et revoir mais il peut déplaire car un film avec des scènes étranges qui peut déplaire aux spectateur mais aussi avec la durée du film mais, tout de même, beaucoup d'humour et un très beau final.
Le meilleur de la saga Pirates des Caraïbes
Scénario et suspens au top
La scène finale (combat entre le Pearl et le Hollandais Volant) est mythique.
Sans oublier la fameuse scène de la mort de Norringhton "L'amiral est mort"
Scénario et suspens au top
La scène finale (combat entre le Pearl et le Hollandais Volant) est mythique.
Sans oublier la fameuse scène de la mort de Norringhton "L'amiral est mort"
At world’s end marque la fin de cette superbe trilogie qui a su redorer les films de pirates.
La trilogie est excellente, mais les effets spéciaux du 3e volet nous plongent définitivement dans la magie de cette univers. La fin du film est très émouvante, il est agréable de voir une romance se terminer de cette façon. Un incontournable!
keep a weather eye on the horizon ☠�
La trilogie est excellente, mais les effets spéciaux du 3e volet nous plongent définitivement dans la magie de cette univers. La fin du film est très émouvante, il est agréable de voir une romance se terminer de cette façon. Un incontournable!
keep a weather eye on the horizon ☠�
Les effets spéciaux, les décors et les paysages magnifiques des Bahamas, les costumes, le maquillage, on est époustouflé.
Les scènes de bataille navale, spectaculaire.
Un peu mou par moment, le personnage de Jack Sparrow reste captivant et amusant, grâce à Johnny Deep on passe un super moment.
Gore Verbinski réalise une troisième mise en scène stupéfiante.
Les scènes de bataille navale, spectaculaire.
Un peu mou par moment, le personnage de Jack Sparrow reste captivant et amusant, grâce à Johnny Deep on passe un super moment.
Gore Verbinski réalise une troisième mise en scène stupéfiante.
Et voilà, il ne fallait pas rêver…Pirates des Caraïbes ne réalise pas la passe de trois, avec un 3ème opus bâclé, moins de 9 mois après la sortie du précédent. A trop vouloir surfer sur le succès de la franchise, Gore Verbinski à cette fois-ci oublié l’essentiel : le scénario. Manque d’originalité, confusion dans les histoires, insuffisance d’explications et faiblesse des scènes d’action, seul Johnny Depp sauve une fois encore le tout par sa performance, toujours plus décalée. Malheureusement, il ne suffit pas à transporter le film au niveau des précédents puisque, pour la première fois depuis le début de la saga, son personnage est sous-exploité et remis au niveau des autres, Jack Sparrow n’est plus au centre de l’intrigue…et le film en pâtit clairement. De plus, l’histoire traîne en longueurs et devient soporifique à de nombreuses reprises, n’arrivant aucunement à justifier ces 2h45 de durée.
En résumé, on sent que la saga s’essouffle et on regrette que le réalisateur se soit précipité pour réaliser ce dernier volet, sans se pencher davantage sur son scénario. On aurait pu lui pardonner (en partie) ce manque de qualité car il n’est jamais évident de réaliser des suites, mais il se tire une balle dans le pied en reléguant Johnny Depp au second plan alors qu’il représentait l’atout majeur de la franchise.
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
En résumé, on sent que la saga s’essouffle et on regrette que le réalisateur se soit précipité pour réaliser ce dernier volet, sans se pencher davantage sur son scénario. On aurait pu lui pardonner (en partie) ce manque de qualité car il n’est jamais évident de réaliser des suites, mais il se tire une balle dans le pied en reléguant Johnny Depp au second plan alors qu’il représentait l’atout majeur de la franchise.
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
Gore Verbinski signe l’apothéose de sa trilogie. Depuis le temps qu'on frôlait la perfection, voila qui est chose faite. D'une manière plus générale, Pirates des Caraïbes est une saga si culte que la perfection s'impose d'elle-même. L'intrigue se dévoile progressivement avec une certaine intelligence scénaristique et beaucoup de subtilité. Les personnalités se précisent et des alliances se créent. L'unique constat est que la cohérence est demeurée intacte du début à la fin. Mieux vaut ne pas perdre le fil. Calypso et son monde inversé est une belle façon de conclure cette épopée épique de la piraterie.
spoiler:
Lorsque le Black Pearl fait face au Hollandais volant dans un gigantesque maelstrom, la tension atteint son paroxysme.
Cette scène reste d'ailleurs l'une des plus spectaculaires. C'est la grande débandade sur l'océan. Les neuf seigneurs de la piraterie s'unissent pour la liberté en une flotte hétéroclite face à un ennemis commun et de taille: la compagnie britannique des Indes. Autant se heurter face à un mur si l'on n'est pas aussi rusé que Jack Sparrow. Orlando Bloom gagne en charisme, et Keira Knightley prend du gallon. On retrouve bien évidemment toute une panoplie de personnages secondaires, mais pas moins emblématiques. Une épopée légendaire où trahison et union forment un savoureux mélange. Toujours est-il qu'on n'est pas prêt d'oublier cette bande de forbans. 5/5
Cette scène reste d'ailleurs l'une des plus spectaculaires. C'est la grande débandade sur l'océan. Les neuf seigneurs de la piraterie s'unissent pour la liberté en une flotte hétéroclite face à un ennemis commun et de taille: la compagnie britannique des Indes. Autant se heurter face à un mur si l'on n'est pas aussi rusé que Jack Sparrow. Orlando Bloom gagne en charisme, et Keira Knightley prend du gallon. On retrouve bien évidemment toute une panoplie de personnages secondaires, mais pas moins emblématiques. Une épopée légendaire où trahison et union forment un savoureux mélange. Toujours est-il qu'on n'est pas prêt d'oublier cette bande de forbans. 5/5
Mon volet préféré de la trilogie. Les batailles sont excellentes, l’intrigue est bien conclu. Johnny Depp toujours aussi plaisant.
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